Note de la fic :
Publié le 10/12/2008 à 20:44:28 par VonBabatus
Au début, les cris de la foules couvrirent le hurlement, mais l’horreur de la situation fut bientôt évidente aux yeux de tous : des infectés avaient, on ne sait comment, réussis à pénétrer dans la foule. Peut être des personnes avaient t’elles succombé aux bousculades qui agitaient la foule ? Cela avait en fait peu d’importance pour ceux dont la chair était dévorée par des choses dont elles cherchaient il y a peine quelques minutes à défendre les « droits ».
La terreur s’empara rapidement des manifestants les plus proches des créatures, qui cherchaient par tous les moyens de s’écarter de celles-ci, mais étaient inexorablement repoussés vers celle-ci par ceux situés en périphérie, qui ignoraient la présence d’une telle menace. La confusion était maitresse, a mesures que de plus en plus de personnes s’écroulaient, la gorge lacérée, ou étaient prises de panique.
Le point de rupture fut atteint lorsque, apeurés, certain se mirent en tête d’escalader les grilles pour se réfugier à l’intérieur du Palais Bourbon. Les premiers coups de feu partirent, probablement parce que les policiers, a bout de nerfs, avaient décidés de défendre coute que coute les membres du corps législatif, et les quelques tirs isolés se transformèrent rapidement en une véritable fusillade. En direct, les journalistes, qui se tenaient prudemment depuis le début à l’écart des manifestants, filmèrent l’hécatombe, les silhouettes s’effondrant, fauchés par les tirs.
En quelques minute, et sans que quiconque ne pensent à arrêter le flot de ses images infâmes diffusées sur toutes les chaines, la place redevint calme. Tant bien que mal, la foule paniquée avait finit par fuir, laissant sur places plusieurs dizaines de corps, mutilés ou piétinés.
Le comble de l’horreur fut atteint, lorsque les agents des forces de l’ordre, médusé, virent des silhouettes titubantes se relever et commencer lentement à se diriger vers le Palais Bourbon, comme si les manifestants abattus cherchaient une ultime revanche dans la mort. C’en fut trop pour plusieurs défenseurs de l’assemblée, qui s’effondrèrent en pleurant, tandis que les autres ouvrirent a nouveau le feu, en prenant soin de viser la tête.
C’est a ce moment là que les caméras cessèrent de filmer, soit parce que les chaines avaient enfin réagis en cessant de diffuser ces images, soit parce que les caméramans avaient finalement décidés de prendre la fuite, quelques minutes après le gros de la foule. Il fut plus tard annoncé que le quartier avait été bouclé, et que les forces de l’ordre procédaient au nettoyage des environs ainsi qu’a l’évacuation des parlementaires, qui avaient ratifié l’état d’urgence.
La terreur s’empara rapidement des manifestants les plus proches des créatures, qui cherchaient par tous les moyens de s’écarter de celles-ci, mais étaient inexorablement repoussés vers celle-ci par ceux situés en périphérie, qui ignoraient la présence d’une telle menace. La confusion était maitresse, a mesures que de plus en plus de personnes s’écroulaient, la gorge lacérée, ou étaient prises de panique.
Le point de rupture fut atteint lorsque, apeurés, certain se mirent en tête d’escalader les grilles pour se réfugier à l’intérieur du Palais Bourbon. Les premiers coups de feu partirent, probablement parce que les policiers, a bout de nerfs, avaient décidés de défendre coute que coute les membres du corps législatif, et les quelques tirs isolés se transformèrent rapidement en une véritable fusillade. En direct, les journalistes, qui se tenaient prudemment depuis le début à l’écart des manifestants, filmèrent l’hécatombe, les silhouettes s’effondrant, fauchés par les tirs.
En quelques minute, et sans que quiconque ne pensent à arrêter le flot de ses images infâmes diffusées sur toutes les chaines, la place redevint calme. Tant bien que mal, la foule paniquée avait finit par fuir, laissant sur places plusieurs dizaines de corps, mutilés ou piétinés.
Le comble de l’horreur fut atteint, lorsque les agents des forces de l’ordre, médusé, virent des silhouettes titubantes se relever et commencer lentement à se diriger vers le Palais Bourbon, comme si les manifestants abattus cherchaient une ultime revanche dans la mort. C’en fut trop pour plusieurs défenseurs de l’assemblée, qui s’effondrèrent en pleurant, tandis que les autres ouvrirent a nouveau le feu, en prenant soin de viser la tête.
C’est a ce moment là que les caméras cessèrent de filmer, soit parce que les chaines avaient enfin réagis en cessant de diffuser ces images, soit parce que les caméramans avaient finalement décidés de prendre la fuite, quelques minutes après le gros de la foule. Il fut plus tard annoncé que le quartier avait été bouclé, et que les forces de l’ordre procédaient au nettoyage des environs ainsi qu’a l’évacuation des parlementaires, qui avaient ratifié l’état d’urgence.
Commentaires
- Pseudo supprimé
11/12/2008 à 16:05:36
need la sweet
- Pseudo supprimé
11/12/2008 à 13:53:44
sweet!
- neilujjulien
10/12/2008 à 21:09:57
Sweet