Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Pour elle


Par : Skiizoboy
Genre : Fantastique, Polar
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2 : Chapitre 1


Publié le 04/12/2010 à 17:45:03 par Skiizoboy

6 ans plus tard.

Je m'appelle Jérémy Liam Finn, et a tout juste 26 ans, je me suis créé un veritable empire financier. Je suis a la tête d'une entreprise ou tout le monde rêverait de travailler. Je reçois des dizaines de lettre de motivation par jour et je n'en lis bien evidemment aucune, je paie des gens pour le faire a ma place. J'ai des conseillers que je n'écoute pas, et un conseil d'administrtation ou tout les sièges sont occupés par de vieux requins ne rêvant que de voir mes ailes fondrent comme Icare pour recuperer leur part du gateau. Ma secretaire personnelle est la seule personne de l'entreprise en qui j'ai vraiment confiance, elle est d'ailleurs la seule a ne m'appeller "Monsieur", car avant d'être ma secretaire, c'est ma meilleure amie, peut être même la seule desormais. Mon salaire mensuel comporte plus de 0 que le salaire annuel de certaines personnes, et mon compte en banque doit être l'équivalent du P.I.B d'un pays en voie de développement. Beaucoup de monde parle de moi en bien. Et encore plus en mal. Je suis devenu ce que tout le monde rêverait de devenir... Un jeune homme plein de pouvoir et de fric. Et le pire dans tout ça, c'est que j'aime vraiment ça...
Mais ma plus grande fierté ne réside pas dans ma réussite professionnelle. Je suis l'homme le plus comblé qu'il soit depuis 4 ans. Elle a pour prénom Jessy. Un regard vert petillant de malice, une chevelure noir de jais, et une frimousse d'ange. Quand je la regarde, j'ai enfin une vision du vrai bonheur. Quand je m'abandonne sur mon piano, mes plus belles mélodies ne sont que pour elle. Elle est ma seule raison de vivre... Et elle m'appelle "Papa".
Voila en résumé qui je suis a présent. Bien loin de mes rêves de jeune adulte ou je n'aspirai qu'a une vie tranquille. Je suis devenu un requin parmi les requins. En journée je donne des ordres, méprise et contrôle des dizaines de personnes. Mais quand je rentre le soir chez moi, je suis le père aimant, et ce n'est pas un rôle. Jessy est mon juste milieu. La lumière qui éclaircit les ténébres qui me consume depuis de nombreuses années. Je n'ai pas besoin d'une armada de nounous pour elever mon enfant, c'est mon travail. Encore plus que mon entreprise. Et rien n'y personne ne m'empecherai jamais de le faire. Dumoins, c'est ce que je croyais...

C'était un matin comme un autre, il été 7 heures, la journée promettai d'être belle et comme toujours chargée. Comme tout les matins. Une petite fille montait dans le lit de son père pour le reveiller avec la douceur des anges. Dumoins, façon de parler...
_PAPA ! Debout !!! Aujourd'hui c'est la visite au Zoo à l'école !
Je retint un baillement, et ouvrit les yeux doucement pour tomber nez a nez avec une peluche de Simba, remué dans tout les sens par deux petites mains impatientes.
_Chérie, déclarais-je en me redressant a demi, tu le connais par coeur le zoo.
_Oui mais les copines non ! Je vais jouer la guide touristique ! Repondit elle avec un sourire charmant avant de se jeter dans mes bras.
Nous avons ri. Il n'y a pas meilleure façon de commencer une journée.
Même pas 30mn plus tard, nous étions tout deux habillés, et atablé dans la cuisine. Elle mangeant ses céréales préférés, moi buvant mon café. Elle regardant les dessins animés, moi lisant mon journal. L'horloge affichait sept heures quarante cinq quand nous avons quitté la villa. Malgré mes moyens, j'avais choisi de rester simple dans mon style de vie. Une villa avec un grand jardin me suffisait amplement, et même si beaucoup d'entrepreneur immobilier m'avait proposé des manoirs ou des habitations du genre, je n'avais toujours fait que refuser. Même l'argent ne m'avais pas fait a ce point devenir un autre homme. Ma situation professionnelle et financière, a défaut d'une aisance envié de beaucoup, m'avait fait perdre beaucoup d'amis. Certains s'étaient félicité de mon ascension fulgurante, puis avait tiré de mauvais jugements de mes abscences. Il était évident que je ne pouvais plus maintenant sortir et profiter de ma jeunesse autant qu'eux, étant toujours en réunion ou en diner d'affaire. Certains anciens amis, les plus médisant, avait dit que je ne me conciderais plus de leur monde et que je me croyais mieu qu'eux. Tout cela m'avait profondemment atristé. Puis le temps a passé, et ceux qui étaient resté ce sont peu a peu eloigné. Nous nous revoyons de temps en temps, mais rien n'est pareil. Ils n'arrivent plus a me voir comme le jeune adulte que j'étais il y a quelques années. Mais je ne leur en veut pas, comment le pourrait il ? Quand vous recevez une personne que vous avez vu la vieille a la télévision en interview et qui est annoncé comme le jeune homme le plus puissant de la génération, est il encore possible de voir en lui l'ami avec qui vous plaisentiez il n'y a même pas 5 ans? Biensûr que non. Une seule de mes anciennes connaissance m'était rester d'une amitié indéfectible. C'est ainsi pour ca que je l'ai embauché comme secretaire personnelle. Elle seule me rappelle qui j'étais avant de devenir ce requin. Elle seule ose me remettre en place. Elle s'appelle Clarisse Vitani. Une véritalble beauté italienne, une parfaite femme fatale.
_ Papa ? demanda Jessy en me voyant perdu dans mes pensées et prenant place dans son siège auto.
_Oui chérie ? Excuse moi, je pensais a autre chose. Répondis-je en l'attachant et m'installant derrière le volant.
_ Ce soir, tu as prévu quelque chose a manger ?
J'eus malgré moi un sourire en la regardant rougir dans le retroviseur. Ce genre de question insinué souvent une idée toute tracé auquel je ne pouvais que céder.
_ Hum, répondis-je en feintant d'y réflechir. Je voulais te faire des choux de bruxelles ce soir.
_ Berk. Déclara t'elle en grimacant. Non ! Les choux de bruxelles, c'est pas bon ! Moi je voulais de la Pizza !
Je ne put retenir un rire. Elle était si mignonne, et je ne pouvais rien y refuser.
_ C'est d'accord ma puce, a la maison ou au restaurant ?
J'avais pris pour habitude d'ammener Jessy au restaurant dès son plus jeune âge, et de lui faire découvrir le plus de mets différent afin d'eveiller ses papilles. Mais comme pour tout les enfants, les pizzas et les hamburgers-frites était le top de la degustation.
_ A la maison. Et on pourrait inviter Tatie et Clarisse ? Proposa Jessy avec sa gentillesse enfantine.
L'idée était loin d'être mauvaise. Cela faisait un éternité que je n'avais pas vu ma soeur, Virginie. Elle est ma cadette de 2 ans, et une avocate réputé. Nos emploie respectifs nous empechent souvent de nous voir aussi souvent que nous le voudrions, mais j'esperai qu'elle puisse se liberer pour ce soir. Je branchai aussitôt le kit main libre de mon portable et composé son numéro. Elle répondit au troisième bip.
_Virginie Anne Finn j'écoute ?
_ Bonjour mademoiselle, Jérémy Liam Finn a l'appareil.
Un rire se fit automatiquement entendre dans l'oreillette.
_ Nos deformation professionnelle font vraiment pitié a voir... Déclara t'elle. Tu vas bien petit frère ?
_ Parfaitement bien ma Vinie, repondis je affectueusement. Je t'appelle de la part du petit démon que j'ai pour fille, elle voudrait savoir si sa Tatie voulait bien venir manger une pizza avec nous ce soir.
_ Excellent ! Je serai là a 19heures ! s'écria t'elle. Juste nous 3 ?
_ Clarisse sera aussi presente normalement.
_Parfait parfait ! On se voit ce soir alors Liam ? Un bisous a Jess de ma part.
_Soit a l'heure Virgy. Bisous ma belle. Répondis je en raccrochant.
Nos conversations téléphonique était toujours vite expédié. Elle comme moi travaillons d'arrache pied, et bien souvent jour et nuit. Seul ça avait pu séparer notre fratie si unie auparavant.
Le trajet pour deposer Jessy ne prenais qu'un quart d'heure, et pour lui faire plaisir, comme chaque matin, je lui laissais choisir le programme musical, du temps que je révisais mentalement mon emploi du temps de la journée.
_Sois bien sage ma puce, lui sussurais-je en l'accompagnant au portail de son école. Je passe te prendre a 16h30.
J'eus pour toute réponse un large sourire. Quelques secondes plus tard, j'étais assis derrière mon volant. Ma fille venait de rentrer dans l'enceinte de l'établissement. La sonnerie de mon portable m'arracha a mes pensées. C'était le bureau qui m'appelait et, en moins d'une minute, le père modèle redevenait l'impitoyable homme d'affaires.


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