Note de la fic :
Publié le 15/11/2010 à 12:32:07 par Paraphrase
On était parti. Je suivais Pierre et Jean. Ah, au fait, je m'appelle Teddy. Mais surnommez-moi Ted. Bref, les balles ennemies fusaient. La vision de l'homme actuel était claire. A cette époque, la paix s'obtenait par un bon bain de sang, et quelques mensonges.
Les corps gisaient.
Rêvassant, m'évadant, pensant à ma famille, délibérant avec moi-même sur les circonstances d'une telle agonie, une balle siffla et transperça l'épaule gauche de Jean. Jean, horrifié, perdait une trop grosse quantité de sang.
Pierre, sidéré, nous fit signe de déguerpir, déguerpir pour survivre.
Il fallait s'enfuir. Je courais de toutes mes forces, de toute mon énergie, une énergie, une source inépuisable, inébranlable. L'idée en tête d'un monde parfait. Mais le pire n'était pas encore arrivé pour autant.
La course pour la survie était déclarée.
Des larmes coulaient. L'horreur d'une nation entière. L'horreur de tout un peuple. L'horreur de notre époque. Pierre, quand à lui, était déjà loin de moi.
D'une voix lointaine et étouffée, il lança :
- Ted... dépêche-toi, cours bon sang !
Je ne savais que faire. Mon corps ne répondait plus. Mes jambes étaient flasques. J'étais aux aguets, pourtant. L'espoir fait vivre, m'a toujours dit Pierre.
- Non.. merci. Merci Pierre. me dis-je.
Je m'évanouissais. Je mourrais littéralement. Une balle se logea dans ma jambe et sans conscience, me laissai tomber, en espérant survivre.
Je m'appelle Ted, et ma vie s'arrête.
J'avais raison.
Les corps gisaient.
Rêvassant, m'évadant, pensant à ma famille, délibérant avec moi-même sur les circonstances d'une telle agonie, une balle siffla et transperça l'épaule gauche de Jean. Jean, horrifié, perdait une trop grosse quantité de sang.
Pierre, sidéré, nous fit signe de déguerpir, déguerpir pour survivre.
Il fallait s'enfuir. Je courais de toutes mes forces, de toute mon énergie, une énergie, une source inépuisable, inébranlable. L'idée en tête d'un monde parfait. Mais le pire n'était pas encore arrivé pour autant.
La course pour la survie était déclarée.
Des larmes coulaient. L'horreur d'une nation entière. L'horreur de tout un peuple. L'horreur de notre époque. Pierre, quand à lui, était déjà loin de moi.
D'une voix lointaine et étouffée, il lança :
- Ted... dépêche-toi, cours bon sang !
Je ne savais que faire. Mon corps ne répondait plus. Mes jambes étaient flasques. J'étais aux aguets, pourtant. L'espoir fait vivre, m'a toujours dit Pierre.
- Non.. merci. Merci Pierre. me dis-je.
Je m'évanouissais. Je mourrais littéralement. Une balle se logea dans ma jambe et sans conscience, me laissai tomber, en espérant survivre.
Je m'appelle Ted, et ma vie s'arrête.
J'avais raison.
Commentaires
- Nirvana
15/11/2010 à 18:48:42
J'ai pas compris le un noel... Faudrait qu'on m'explique la