Note de la fic :
Mon nom est Niko Bellic
Par : Boa313
Genre : Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Avant Liberty City
Publié le 23/10/2010 à 13:08:08 par Boa313
Je m'appelle Niko Bellic, j'ai 29 ans et ceci est mon histoire.
Je suis né en Serbie, je parles couramment l'anglais et le serbe. Lorsque je vivais encore chez mes parents, dans cette maisons dont l'électricité n'est arrivée que lors de mes quinze ans et à l'époque où je voyais encore en moi un avenir d'astronaute, j'ai le souvenir de mon père alcoolique, violent qui maltraitais ma mère et me battais. Ce détail n'était rien comparé à mes voisins chez qui on entendais souvent des coups de feux. Mon père mourut abattu par des policiers alors qu'il essayait de leur échapper, après avoir braqué un café pour nous nourrir, moi et ma mère. Bizarrement je n'ai rien ressentit. Ni tristesse, ni joie. Ma mère, Milica, a toujours regretté que je grandisse dans de pareilles conditions, durant les guerres yougoslaves. Je remarquait à chaque fois la détresse dans son regard quand fois qu'elle me parlais, elle qui avais déjà perdu un mari et un fils. C'est sûrement pour cela que je la considérais comme une victime de la vie, et que j'ai été principalement élevé par la mère de mon cousin Roman, qui a toujours rêvé d'aller à Liberty City avec sa cousine, mais n'y ai jamais parvenu à cause de la guerre. Roman, lui par contre y est parvenu, pour des affaires, disait-il. Quelques jours après son départ à Liberty City, je retrouvai sa mère assassinée froidement après avoir été violée. Je ne lui ai jamais parlé du viol.
Puis les années passèrent, je m'engageai dans l'armée Serbe. J'étais jeune et en colère, repenser à cette période est un véritable enfer pour moi. En une année j'ai dû voir et commettre plus d’atrocités que Staline dans toute sa vie, et quelles atrocités... Je me mord encore les doigts lorsque je repense à mon unité, devenue une famille secondaire pour moi, entièrement décimée à cause d'une embuscade que j'ai fuie lâchement. Entièrement... ou presque. Deux personnes s'en sont tirées : Florian Cravic et Darko Brevic. J'en ai vite conclu que cet embuscade était en fait un coup monté et que l'un des deux était à l'origine de tout ça. À cause de son caractère impitoyable envers l'ennemi, Florian Cravic était mon suspect numéro un et devait payer pour ça. Ma traque commençait dès que je sus, non pas seulement pour me venger, mais aussi pour effacer mon passé.
Après la guerre, j'ai eu beaucoup de mal à retrouver un emplois. De fil en aiguille, la vie me mena au crime organisé. Je travaillais pour la mafia en Europe pendant les dix années à suivre jusqu'à mon arrestation et mon incarcération. Après ma libération, j'ai été engagé par M. Rodislav Bulgarin, qui faisais passer des clandestins en Italie par la mer Adriatique. J'ai tout de suite compris que le crime me collerais à la peau toute ma vie. Malheureusement, alors que je m'occupais des clandestins, le navire coula. Je fus forcé de nager jusqu'à terre pour sauver ma vie. M. Bulgarin m'accusa d'avoir volontairement fait coulé le navire à mon retour. Je niai tout sans relâche jusqu'à fuir et m'essayer dans la marine. Je repensais à Roman mon cousin, qui m'avait expliqué dans une lettre que tout lui réussissait à Liberty City, qu'il vivait désormais ce qu'ils appelaient là bas le rêve américain et qu'il voulait que je le rejoigne. Les grosses voitures, les appartements de luxe, les filles, il avait tout !
Pour quelqu'un qui travaillait dans la marine, ce fût une chose facile que de trouver le Platypus, navire en direction de ma nouvelle vie : Liberty City.
Je suis né en Serbie, je parles couramment l'anglais et le serbe. Lorsque je vivais encore chez mes parents, dans cette maisons dont l'électricité n'est arrivée que lors de mes quinze ans et à l'époque où je voyais encore en moi un avenir d'astronaute, j'ai le souvenir de mon père alcoolique, violent qui maltraitais ma mère et me battais. Ce détail n'était rien comparé à mes voisins chez qui on entendais souvent des coups de feux. Mon père mourut abattu par des policiers alors qu'il essayait de leur échapper, après avoir braqué un café pour nous nourrir, moi et ma mère. Bizarrement je n'ai rien ressentit. Ni tristesse, ni joie. Ma mère, Milica, a toujours regretté que je grandisse dans de pareilles conditions, durant les guerres yougoslaves. Je remarquait à chaque fois la détresse dans son regard quand fois qu'elle me parlais, elle qui avais déjà perdu un mari et un fils. C'est sûrement pour cela que je la considérais comme une victime de la vie, et que j'ai été principalement élevé par la mère de mon cousin Roman, qui a toujours rêvé d'aller à Liberty City avec sa cousine, mais n'y ai jamais parvenu à cause de la guerre. Roman, lui par contre y est parvenu, pour des affaires, disait-il. Quelques jours après son départ à Liberty City, je retrouvai sa mère assassinée froidement après avoir été violée. Je ne lui ai jamais parlé du viol.
Puis les années passèrent, je m'engageai dans l'armée Serbe. J'étais jeune et en colère, repenser à cette période est un véritable enfer pour moi. En une année j'ai dû voir et commettre plus d’atrocités que Staline dans toute sa vie, et quelles atrocités... Je me mord encore les doigts lorsque je repense à mon unité, devenue une famille secondaire pour moi, entièrement décimée à cause d'une embuscade que j'ai fuie lâchement. Entièrement... ou presque. Deux personnes s'en sont tirées : Florian Cravic et Darko Brevic. J'en ai vite conclu que cet embuscade était en fait un coup monté et que l'un des deux était à l'origine de tout ça. À cause de son caractère impitoyable envers l'ennemi, Florian Cravic était mon suspect numéro un et devait payer pour ça. Ma traque commençait dès que je sus, non pas seulement pour me venger, mais aussi pour effacer mon passé.
Après la guerre, j'ai eu beaucoup de mal à retrouver un emplois. De fil en aiguille, la vie me mena au crime organisé. Je travaillais pour la mafia en Europe pendant les dix années à suivre jusqu'à mon arrestation et mon incarcération. Après ma libération, j'ai été engagé par M. Rodislav Bulgarin, qui faisais passer des clandestins en Italie par la mer Adriatique. J'ai tout de suite compris que le crime me collerais à la peau toute ma vie. Malheureusement, alors que je m'occupais des clandestins, le navire coula. Je fus forcé de nager jusqu'à terre pour sauver ma vie. M. Bulgarin m'accusa d'avoir volontairement fait coulé le navire à mon retour. Je niai tout sans relâche jusqu'à fuir et m'essayer dans la marine. Je repensais à Roman mon cousin, qui m'avait expliqué dans une lettre que tout lui réussissait à Liberty City, qu'il vivait désormais ce qu'ils appelaient là bas le rêve américain et qu'il voulait que je le rejoigne. Les grosses voitures, les appartements de luxe, les filles, il avait tout !
Pour quelqu'un qui travaillait dans la marine, ce fût une chose facile que de trouver le Platypus, navire en direction de ma nouvelle vie : Liberty City.
Commentaires
- Boa313
24/10/2010 à 23:19:11
ça un pavé ?
- Pseudo supprimé
23/10/2010 à 22:04:23
OMG ce pavé
- Pseudo supprimé
23/10/2010 à 20:22:50
Tu m'as coupé l'envie de jouer à GTA IV...
- pierre12000
23/10/2010 à 14:06:38
je voulais lire et quand j'ai vu que t'avais juste fais un putain de pavé j'ai abandonnée
- Pseudo supprimé
23/10/2010 à 13:14:26
Non, non et non.
Tu ne feras pas un copié/Coller de GTA. - Boa313
23/10/2010 à 13:10:03
merde j'me suis gourré dans le genre désolé
- GreenStatik
23/10/2010 à 13:09:07
Réalisme !
Un peu de documentation :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Réalisme_(littérature)
Onche.