Note de la fic :
Publié le 18/10/2010 à 21:44:38 par Avalanche
Qui l'aurait cru ? En quelques heures peut-être, tout Philadelphie semblait morte. Je demanda à Jacob où était sa voiture. Il me montra un camion noir de l'autre côté de la route, avec en gros le nom de la société de livraison où il travaille.
Fréderic - Allons-y, il faut sortir de la ville le plus vite possible.
Jacob sorta de sa poche les clés du camion..
Jacob - Vous savez conduire ?
Fréderic - Oui, mais je préfère vous laissez le faire !
Jacob - Ok, c'est parti....
Nous sommes montés dans le camion. Le fait que Jacob conduisait ce camion depuis longtemps s'est vu tout de suite car même pas le temps de s'installer nous étions déjà partis.
Fréderic - Allez vers l'est, sur le pont Benjamin Franklin. C'est le chemin le plus près.
Sur le chemin, tout était désert. A part les corps, aucun signe de vie. Quand nous sommes arrivés dans l'avenue vers le pont, le premier signe fit son apparition. Au loin, nous pouvions voir des barrages militaires, sans doute à cause de ce qui se passait.
Frédéric - Plus vite ! J'ai l'impression qu'ils ferment le barrage !
C'était le cas. Plus nous avancions, plus le barrage militaire se fermait devant nos yeux.
Jacob - C'est quoi ça ?
Fréderic - Tu crois que je le sais ?
Quand nous sommes arrivés au pont, c'était trop tard. Le barrage était fermé. Jacob sorta du camion.
Jacob - Vous faîtes quoi là ?! On veut sortir d'ici !!
Un militaire se présenta derrière le barrage.
Militaire - Plus personne ne sortira de Philadelphie sans autorisation et ordre du président.
Fréderic - C'est quoi cette histoire ? Vous avez pas vu ce que nous on a vu dans cette ville ou quoi ?
Militaire - C'est bien pour ça qu'on ferme, on ne veut voir personne sortir d'ici.
Jacob - Et vous allez nous laisser crever ici ?!
Militaire - Désolé, mais pour l'instant, vous ne pouvez plus sortir.
Tout le monde se tut. Nous avions bien compris que ça ne servirait à rien d'aller vers les autres sorties de la ville, surement bloquées aussi par l'armée.
Fréderic - Le mieux maintenant, c'est de chercher des personnes encore saines d'esprit.
Jacob - C'est vrai, on n'est sans doute pas les seuls ici...
________________________________________
Désolé pour le retard, depuis la rentrée j'ai jamais eu le temps de faire la suite
Fréderic - Allons-y, il faut sortir de la ville le plus vite possible.
Jacob sorta de sa poche les clés du camion..
Jacob - Vous savez conduire ?
Fréderic - Oui, mais je préfère vous laissez le faire !
Jacob - Ok, c'est parti....
Nous sommes montés dans le camion. Le fait que Jacob conduisait ce camion depuis longtemps s'est vu tout de suite car même pas le temps de s'installer nous étions déjà partis.
Fréderic - Allez vers l'est, sur le pont Benjamin Franklin. C'est le chemin le plus près.
Sur le chemin, tout était désert. A part les corps, aucun signe de vie. Quand nous sommes arrivés dans l'avenue vers le pont, le premier signe fit son apparition. Au loin, nous pouvions voir des barrages militaires, sans doute à cause de ce qui se passait.
Frédéric - Plus vite ! J'ai l'impression qu'ils ferment le barrage !
C'était le cas. Plus nous avancions, plus le barrage militaire se fermait devant nos yeux.
Jacob - C'est quoi ça ?
Fréderic - Tu crois que je le sais ?
Quand nous sommes arrivés au pont, c'était trop tard. Le barrage était fermé. Jacob sorta du camion.
Jacob - Vous faîtes quoi là ?! On veut sortir d'ici !!
Un militaire se présenta derrière le barrage.
Militaire - Plus personne ne sortira de Philadelphie sans autorisation et ordre du président.
Fréderic - C'est quoi cette histoire ? Vous avez pas vu ce que nous on a vu dans cette ville ou quoi ?
Militaire - C'est bien pour ça qu'on ferme, on ne veut voir personne sortir d'ici.
Jacob - Et vous allez nous laisser crever ici ?!
Militaire - Désolé, mais pour l'instant, vous ne pouvez plus sortir.
Tout le monde se tut. Nous avions bien compris que ça ne servirait à rien d'aller vers les autres sorties de la ville, surement bloquées aussi par l'armée.
Fréderic - Le mieux maintenant, c'est de chercher des personnes encore saines d'esprit.
Jacob - C'est vrai, on n'est sans doute pas les seuls ici...
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Désolé pour le retard, depuis la rentrée j'ai jamais eu le temps de faire la suite
Commentaires
- Pseudo supprimé
19/10/2010 à 09:52:24
T'as un souci avec les dialogues ?