Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

La Tuerie Dans Le Lycée


Par : LeFiqueur
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 16


Publié le 15/10/2010 à 15:53:14 par LeFiqueur

-André: Gérard, t'es un vrai branloy.
-Gérard: Quoi? mais... C'est comme ça que tu me remerci d'avoir un fais un coup de winner?
-Albert: Oh my god, dire qu'on se fouttait de la gueule de Michel...
Tiens au fait, Michel était totalement sorti de mon esprit divertis par des événements inattendu, que dis-je, est-ce tout ceci était vraiment attendu? Mais bref, que devient Mi...
*PAN! PAN!!!*
Quoi?!! Qu'était-ce bruit si brutal qui se précipitait à mes oreilles feu de mes frissons.
Je me retournais tout bourru vers l'origine du son quand je vis très justement Michel, debout sur un flot de flac rouge qui s'étendait le long du son comme une infection... c'était Jennifer qui était à ses pieds...

Michel lui, avait l'air vraiment... macabre, comment dire... ces yeux avaient l'air vide, il était lui même plongé dans le vide semblait-il, un vide très profond pour un moment bien agité, je pense qu'il était sur un choque...Albert l'avait compris, il alla assidument le soulager, il avait bien raison, dans un tel etat il pourrait passer de détendu à berserk.
-Albert: Michel, c'est bon... c'est bon viens... détends toi. lui dit-il doucement.
-Michel: Désolé, je...je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça... j'en avais envie c'est tout... je ... je...
-Albert: C'est pas grave j'ai dit, aujourd'hui est différent pour nous tous.
Différent, et pourtant combien nous l'aimions cet aujourd'hui, nous l'idolâtrons, en général les "différence" pouvait être très mauvaise, les choses qui changeaient subitement ce sont des étapes de la vie, il faut s'y faire quoi qu'il soit.
Vous savez ces étapes qui sont très mémorable, qui marqueront votre pour toujours, à un tel points où deux choses s'en dénoterons: L'avant, et l'après, cette étape.

-Gérard: Bon ! ça commence à bien faire maintenant, André je crois que tu as un compte à finir avant l'arrivé de la police.
Mon Dieu, mais bien sûr! comment avais-je pu oublier!
-André: SEEEEEEEEEERGE!!!

Cet appel fit virvolter toute la classe, de certains cri de surprise à des sursauts plus ou moins mémorables!
Serge n'en trahissait pas pour le moins sa véritable nature de cochon et de traître, il continuait bien à se cacher sous la table croyant que je ne l'avais pas vu.
J'en avais marre de lui, et si je le finissais simplement? c'est bien jouissif de faire durer tout cela mais à quoi bon? j'ai tout démontré aujourd'hui, TOUT!
Demain, plus personne ne me verras comme avant, ils me verront tous comme ce que j'ai toujours voulu être...
-André: SERGE! Viens ici! ta cru que j'allais t'oublier hein? On va voir qui est la lavette maintenant.

Il me fixait abasourdi, je ressentais finalement plus de peine à la esquisse de ses spasmes qui le pétrirent, guère de fierté j'en aurais pu tiré.
-André: Je vois tu ne veux pas sortir? Bon bah j'arrive...

Mais... mon côté sadique fit tout soudainement surface et si...
-André: Non! j'ai une meilleur idée. disais-je en me retournant vers mes alliés.

Les amis! Et si je vous faisais profiter de cet instant? Après tout Serge est bien le batard qui nous a à chacun malmené depuis des années n'est-ce pas?

-Gérard: Là je te retrouve mon cochon! aller on va lui faire sa fête venez les gars.
-Albert: je reste un moment avec Michel mais mettez lui en une de se part justement à Michel. Moi j'ai aucun compte avec lui.

Et finalement la proie manifestait enfin des sons de désespoirs:
-Serge: Les gars! je vous... je vous en supplie! Je vous jure que je ne recommencerai plus...je...je...

-Gérard: Ta gueule! Bien sûr que tu recommenceras avec ce qu'on va te mettre. Tu te rappels quand NOUS on te suppliait? Tu disais quoi hein? Tu te souviens toi André de ce qu'il disait?
Comment aurais-je pu oublier? Comme si nous n'avions était rabaissé à ce point qu'une seule fois dans notre vie.

D'un mouvement empressé et solennel, je rangeai mon pistolet pour sortir enfin mon fusil de chasse, enfin "mon", je veux dire celui de mon vieux et je pointait le bout du canon, le trou qui voyait la fin de toute chose à l'horizon, en direction de Serge. Gérard fit de même avec son fusil...

-André: Oui, il disait: " Hein quoi? j'ai rien entendu petite pédé!"

Nous chargeâmes les chambres de nos canons en tirant la culasse et nous appuyâmes sur la détente...:

*TARATATATATATATATATA!!!!*


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