À mettre tout le long du OS. Si la musique se finit, recommencez-là.

Un soulier noir se posa. Son frère le devança. C’était une personne qui marchait. Elle portait un manteau brun très foncé. avec une capuche cachant son visage. Une mèche brune qui passait inaperçu sur le manteau sortait du trou permettant à son utilisateur de voir à l’extérieur. Le vent soufflait en cette soirée sombre et lugubre. La Lune s’était montré plus tôt que d’habitude en ce mois d’Avril.

Une branche craqua sous l’un des pas de cette personne. Un arbre essaya de bloquer cette être vivant qui le contourna. D’autres immeubles de la nature voulurent aussi, mais ratèrent. Rien ne semblait arrêter l’être encapuchonné et enveloppé de tissu. Pas même les rochers, l’eau et autres cadeaux d’Arceus et de ses créations. La personne ruminait dans ses pensées.

« Saleté, Saleté! Il va payer. Il va souffrir. Il n’aurait jamais dû faire ça. Il va souffrir pendant des minutes voire des heures. Ce salaud, ce con. Je vais l’emprisonner. Non, mieux. Il souffrira dans la nature devant ses victimes. Il n’avait qu’à pas faire cela. Cela va lui apprendre à ce connard, à cette imbécile, à ce maudit con, à cette erreur de l’humanité. Ce putain d’imbécile va crever... »

Pendant que l’être humain se perdait dans ses pensées cruelles, une forme chevaleresque se montra devant la personne. Le cheval fonça vers l’être encapuchonné et enveloppé de tissu. Dès que l’animal fût presque à sa hauteur, elle sortit un couteau à la lame mauve foncé et il tendit son bras, la lame pointue droit vers le le transporteur du Moyen Age.
Le cou du cheval se planta directement dedans. La personne retira sa lame et fit tomber le cheval avec son pied. Le sang rouge coulait à flot de la blessure mortelle. La forme adulte d’un poney n’avait qu’à pas se mettre sur son chemin.

À coté d’une grotte de la rivière, suivant le chemin de la personne, se trouvait un homme en costard. Une cravate blanche sortait du costume noir. La noirceur des lieux ne permettait pas de voir les traits de l’inconnu. L’homme chic se mit à parler.

« -Je vois que tu es venu.
-...
-Écoute, je m’excuse. C’était un accident.
-Un accident, mon oeil, fit une voix masculine sortant de la capuche.
-Je te le jure sur m... Haaaaaaa. »

La personne dont le capuchon descendit venait de courir vers l’homme costard plantant sa lame dans en plein centre du ventre. Il monta sa lame vers le centre de ses pectoraux. Du sang rouge coulait. Le ‘con’ souffrait et criait comme un cochon qu’on égorge. Le tueur retira sa lame et la planta dans les parties génitales du blessé. Il criait encore plus fort que tous les animaux des environs venaient voir le spectacle.

« -Regarde comme tes victimes te regardent. Regarde que tes bulldozers auraient pu détruire cet endroit. Regarde que je fais ça pour eux. Regarde comment tu souffre. »

L’homme anciennement capuchonné et toujours enveloppé de son manteau se mit lui couper les doigts et les orteils. Le costard était sali de sang rouge foncé.

« Ça, c’était pour ma soeur que tu as tué alors qu’elle protègent les forets que tu as détruites. De plus, cela ne sert à rien de crier sinon pour mon plaisir car les chutes couvrent tes cris avec l’eau qui descend. »

Le tueur planta la lame dans la cervelle de sa victime. Il partit en laissant la lame sur le cadavre.

« Maintenant, tu es mort, je me suis vengé et ce n’est pas un poisson d’Avril. »

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C'est un vieux OS. Il était fa çon Pokémon donc j'ai corrigé pour la mettre normale