Note de la fic :
Publié le 14/09/2010 à 20:10:56 par Games
Chap1 :
J-7 avant déclenchement des fusées.
Le silence régnait dans l’assemblée. Un homme joufflus et mal rasé pris la parole.
-Nous devons impérativement contré cette révolution sinon les parts de richesse vont être perdus et c’est la mort de la compagnie ! La Corée du Nord a déjà rompus notre traité d’alliance et la Chine se retranche en bloquant les entrés et les sorties pour les capitaux, nous somme dans une mauvaise passe !
-Voyons mon cher Pratts, calmez-vous. La compagnie va assurer la sécurité des entrepôts sur toute la côte Chinoise.
-Non ! Je ne suis pas d’accord !
Une femme brune venait de se lever. Son tailleur gris clair lui donnait des formes délicates et appréciables. Tous se tournèrent vers elle et un homme barbu la calma.
-Asseyez-vous mademoiselle Yagi, ce n’est pas un comportement à adopter en réunion. Je sais bien que ce n’est que la deuxième fois que vous assistez à un conseil d’administration mais veuillez ne pas vous démarquez autant sinon nous serons obligé d’agir comme avec le précédent propriétaire de votre siège.
Tous les membres retinrent leur souffle quelques secondes. La jeune femme se rassis péniblement perdu dans ses pensées.
-Bien ! Alors maintenant veuillez donner l’ordre aux sections d’assaut de créer des périmètres de sécurité autour des entrepôts. Tout le monde approuve ?
Ils levèrent la main et dirent d’une voix à l’unisson : « Nous approuvons ! »
-Vous pouvez disposez, la séance est levée.
Pratts sortis en premier. Transpirant à grosse goutte, Il courait presque dans les couloirs du siège de la société. Il tourna en direction des toilettes et entra dans l’une des cabines blanche. La réunion était pour lui un soulagement. Cela faisait une semaine qu’il n’avait pas pus renouer le contact avec le reste de la compagnie. Il entendit du bruit derrière la porte et un sifflotement puis plus rien, le silence perturbé par le personnel qui arpentait les larges couloirs au-dehors. Soudain, la porte vola en éclat et un homme avec une cagoule et en vêtement noir pointa son pistolet-silencieux sur la tête de Pratts. Deux balles suffirent pour le tué. L’homme rangea calmement sa cagoule et ses vêtements puis son 9mm. Il sortit lentement des toilettes et suivis le mouvement de foule.
Quelques heures plus tard, la police avait cerné l’endroit et commençait à étudier les faits. L’annonce passait aux infos le soir même. Et l’enterrement une semaine plus tard.
La frontière avec la Corée du Sud semblait paisible en ces heures sombres.
« - Maman regarde ! Il y a des soldats dehors ! »
« - Quoi ?! Mais qu’est-ce que tu raconte ? Il n’y à rien mon chéris. »
Une explosion détruisit la moitié de la maison et une autre la grange en face. L’enfant se releva péniblement. Il avait mal au bras droit et ses vêtements étaient en lambeaux.
« -Maman ?! »
Elle était là, recouverte de sang et d’éclat de bois. Une vision d’horreur pour un enfant de dix ans. Il s’arrêta net, son cœur aussi. Il commença à pleurer puis il courut loin en direction de la forêt. Une seconde explosion retentit près de lui puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Le garçon s’arrêta quelque instant, se retournant pour regarder son foyer qui déjà était la proie aux flammes. Une déflagration détruisit le reste de la maison et le souffle fit voler l’enfant sur quelque mètre. Il ne se releva pas, trop de souffrance, trop de tristesse en une seule journée, une vision approximative des gens qui l’entouraient. Des gens autour de lui ? Il ne comprenait pas. Une sensation de flotter dans les airs se fit sentir, il était bien, il n’entendait plus rien autour de lui. Il ferma les yeux lentement, apaisé.
J-7 avant déclenchement des fusées.
Le silence régnait dans l’assemblée. Un homme joufflus et mal rasé pris la parole.
-Nous devons impérativement contré cette révolution sinon les parts de richesse vont être perdus et c’est la mort de la compagnie ! La Corée du Nord a déjà rompus notre traité d’alliance et la Chine se retranche en bloquant les entrés et les sorties pour les capitaux, nous somme dans une mauvaise passe !
-Voyons mon cher Pratts, calmez-vous. La compagnie va assurer la sécurité des entrepôts sur toute la côte Chinoise.
-Non ! Je ne suis pas d’accord !
Une femme brune venait de se lever. Son tailleur gris clair lui donnait des formes délicates et appréciables. Tous se tournèrent vers elle et un homme barbu la calma.
-Asseyez-vous mademoiselle Yagi, ce n’est pas un comportement à adopter en réunion. Je sais bien que ce n’est que la deuxième fois que vous assistez à un conseil d’administration mais veuillez ne pas vous démarquez autant sinon nous serons obligé d’agir comme avec le précédent propriétaire de votre siège.
Tous les membres retinrent leur souffle quelques secondes. La jeune femme se rassis péniblement perdu dans ses pensées.
-Bien ! Alors maintenant veuillez donner l’ordre aux sections d’assaut de créer des périmètres de sécurité autour des entrepôts. Tout le monde approuve ?
Ils levèrent la main et dirent d’une voix à l’unisson : « Nous approuvons ! »
-Vous pouvez disposez, la séance est levée.
Pratts sortis en premier. Transpirant à grosse goutte, Il courait presque dans les couloirs du siège de la société. Il tourna en direction des toilettes et entra dans l’une des cabines blanche. La réunion était pour lui un soulagement. Cela faisait une semaine qu’il n’avait pas pus renouer le contact avec le reste de la compagnie. Il entendit du bruit derrière la porte et un sifflotement puis plus rien, le silence perturbé par le personnel qui arpentait les larges couloirs au-dehors. Soudain, la porte vola en éclat et un homme avec une cagoule et en vêtement noir pointa son pistolet-silencieux sur la tête de Pratts. Deux balles suffirent pour le tué. L’homme rangea calmement sa cagoule et ses vêtements puis son 9mm. Il sortit lentement des toilettes et suivis le mouvement de foule.
Quelques heures plus tard, la police avait cerné l’endroit et commençait à étudier les faits. L’annonce passait aux infos le soir même. Et l’enterrement une semaine plus tard.
La frontière avec la Corée du Sud semblait paisible en ces heures sombres.
« - Maman regarde ! Il y a des soldats dehors ! »
« - Quoi ?! Mais qu’est-ce que tu raconte ? Il n’y à rien mon chéris. »
Une explosion détruisit la moitié de la maison et une autre la grange en face. L’enfant se releva péniblement. Il avait mal au bras droit et ses vêtements étaient en lambeaux.
« -Maman ?! »
Elle était là, recouverte de sang et d’éclat de bois. Une vision d’horreur pour un enfant de dix ans. Il s’arrêta net, son cœur aussi. Il commença à pleurer puis il courut loin en direction de la forêt. Une seconde explosion retentit près de lui puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Le garçon s’arrêta quelque instant, se retournant pour regarder son foyer qui déjà était la proie aux flammes. Une déflagration détruisit le reste de la maison et le souffle fit voler l’enfant sur quelque mètre. Il ne se releva pas, trop de souffrance, trop de tristesse en une seule journée, une vision approximative des gens qui l’entouraient. Des gens autour de lui ? Il ne comprenait pas. Une sensation de flotter dans les airs se fit sentir, il était bien, il n’entendait plus rien autour de lui. Il ferma les yeux lentement, apaisé.
Commentaires
- Pseudo supprimé
13/10/2010 à 21:54:46
Merde. J'ai rien à dire.
- Gamer4Life54
16/09/2010 à 23:00:48
C'est très sympa, tu décris pas mal et on voit que tu aimes bien écrire ce que tu écris.
Fais tout de même attention au terminaisons.
Voilà et comme tu le désires ( )
Sweet!! J'adore!!