Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:11:02 par maxarus
« C'est ce monde infâme lui est apparut... Mais les mirages ne peuvent montrer qu'une chose qui existe réellement... Ce pays dont tu rêve est proche... Très proche... Garde... L... Espoir... »
Qu'était donc ce murmure ? Il lui avait toujours dit la vérités, avertie de dangers réel... Il devait avoir raison cette fois encore. Peut être ce royaume existait-il vraiment ?
Mais à quoi pensait elle ?
Ce pays existait ! Il l'attendait... Elle venait.
La petite fille se releva et repartie en direction de ce qu'elle pensait être son objectif. Elle marcha, pas après pas, trainant ses pieds dans la poussière. Avançant lentement, encore... Toujours... Sous l'œil ténébreux de l'obscur oiseau qui planait dans les cieux.
Tout autours d'elle s'étalait le sable, à perte de vue... Et la soif aussi, la chaleur, le soleil... Le soleil, cet astre écrasant, véritable incendie flottant dans les ciels ardents, dardant le désert de ses innombrables rayons enflammés. Embrasant le sables, qui bouillonnait, fumait, brulait... Calcinant les pauvres pieds de la petite fille qui marchait encore et encore, sans relâche, pensant toujours à ce merveilleux pays. Ce rêve impossible, cette utopie formidable.
Ses forces la quittait peu à peu. Elle était sur le point de s'évanouir, lorsqu'elle remarqua que la couche de braise, sur laquelle elle appuyait ses pas, refroidissait. Elle commençait même à trembler. Relevant le regard, elle vit avec surprise une haute montagne...
Un sommet, qui réfléchissait l'éblouissant éclat du soleil, le reflétant dans ses glaces éternelles. Émerveillée, elle resta un moment à contempler le spectacle, d'un air ahuri. Mais un léger bruit la sortie de sa rêverie. Tendant l'oreille, elle entendit un léger clapotement. Mais oui !
Puisant dans ses dernières forces, elle courut en direction du son. Avec stupéfaction, elle écarquilla les yeux, ébahie.
Devant elle, s'étalait un petit ruisseau, qui courait le long de la plaine enneigée. Un petit ruisseau, oui... mais... plein d'eau ! Plus de cette douce liqueur qu'elle n'en avait jamais vue de toute sa vie !
Criant de joie, elle se jeta à genoux et bu comme jamais elle n'avait auparavant, comme jamais personne de son village n'aurait osé le faire, de par la rareté du précieux liquide.
Elle était heureuse, enfin, elle avait trouvée le pays. Mais la voix s'imposa une nouvelle fois, dans un tourbillon de flocons.
« Viens, suis moi »
Elle s'élança donc à la poursuite de celle qui l'avait aidée jusque la. Elyne était aux anges. Elle s'amusait de tout, poussant de petit cris de joie en voyant son premier sapin, riant de ses empreintes qui se figeaient dans la douce neige, essayant d'attraper des flocons à pleine main...
Tant et si bien, qu'elle n'entendit pas la brise lui dire de se mettre à l'abri. Elle ne se rendit compte du danger, qu'au moment ou une masse, filante à vive allure, la projeta à terre.
La petite fille s'écrasa mollement dans la neige gelée, tandis que le monstre ténébreux poussait un cri phénoménal. Le son suraigu fusa, traversant l'air de part en part, à une vitesse effroyable. Le bruit se répercuta, courant à travers la neige, résonant dans les longues vallées, s'amplifiant à travers la glace des grands lacs, il atteignit les neiges éternelles avec une puissance accru, une force hallucinante.
Puis, un grondement sourd se fit entendre, d'énormes roulements de tambours, semblant se rapprocher vite... trop vite...
La main sur ses oreilles, la petite fille se releva, et contempla, avec horreur, une immense paroi neigeuse, qui se ruait dans sa direction. Un mur titanesque, roulant sur le sable blanc, devenant plus grand à chaque instants.
Qu'était donc ce murmure ? Il lui avait toujours dit la vérités, avertie de dangers réel... Il devait avoir raison cette fois encore. Peut être ce royaume existait-il vraiment ?
Mais à quoi pensait elle ?
Ce pays existait ! Il l'attendait... Elle venait.
La petite fille se releva et repartie en direction de ce qu'elle pensait être son objectif. Elle marcha, pas après pas, trainant ses pieds dans la poussière. Avançant lentement, encore... Toujours... Sous l'œil ténébreux de l'obscur oiseau qui planait dans les cieux.
Tout autours d'elle s'étalait le sable, à perte de vue... Et la soif aussi, la chaleur, le soleil... Le soleil, cet astre écrasant, véritable incendie flottant dans les ciels ardents, dardant le désert de ses innombrables rayons enflammés. Embrasant le sables, qui bouillonnait, fumait, brulait... Calcinant les pauvres pieds de la petite fille qui marchait encore et encore, sans relâche, pensant toujours à ce merveilleux pays. Ce rêve impossible, cette utopie formidable.
Ses forces la quittait peu à peu. Elle était sur le point de s'évanouir, lorsqu'elle remarqua que la couche de braise, sur laquelle elle appuyait ses pas, refroidissait. Elle commençait même à trembler. Relevant le regard, elle vit avec surprise une haute montagne...
Un sommet, qui réfléchissait l'éblouissant éclat du soleil, le reflétant dans ses glaces éternelles. Émerveillée, elle resta un moment à contempler le spectacle, d'un air ahuri. Mais un léger bruit la sortie de sa rêverie. Tendant l'oreille, elle entendit un léger clapotement. Mais oui !
Puisant dans ses dernières forces, elle courut en direction du son. Avec stupéfaction, elle écarquilla les yeux, ébahie.
Devant elle, s'étalait un petit ruisseau, qui courait le long de la plaine enneigée. Un petit ruisseau, oui... mais... plein d'eau ! Plus de cette douce liqueur qu'elle n'en avait jamais vue de toute sa vie !
Criant de joie, elle se jeta à genoux et bu comme jamais elle n'avait auparavant, comme jamais personne de son village n'aurait osé le faire, de par la rareté du précieux liquide.
Elle était heureuse, enfin, elle avait trouvée le pays. Mais la voix s'imposa une nouvelle fois, dans un tourbillon de flocons.
« Viens, suis moi »
Elle s'élança donc à la poursuite de celle qui l'avait aidée jusque la. Elyne était aux anges. Elle s'amusait de tout, poussant de petit cris de joie en voyant son premier sapin, riant de ses empreintes qui se figeaient dans la douce neige, essayant d'attraper des flocons à pleine main...
Tant et si bien, qu'elle n'entendit pas la brise lui dire de se mettre à l'abri. Elle ne se rendit compte du danger, qu'au moment ou une masse, filante à vive allure, la projeta à terre.
La petite fille s'écrasa mollement dans la neige gelée, tandis que le monstre ténébreux poussait un cri phénoménal. Le son suraigu fusa, traversant l'air de part en part, à une vitesse effroyable. Le bruit se répercuta, courant à travers la neige, résonant dans les longues vallées, s'amplifiant à travers la glace des grands lacs, il atteignit les neiges éternelles avec une puissance accru, une force hallucinante.
Puis, un grondement sourd se fit entendre, d'énormes roulements de tambours, semblant se rapprocher vite... trop vite...
La main sur ses oreilles, la petite fille se releva, et contempla, avec horreur, une immense paroi neigeuse, qui se ruait dans sa direction. Un mur titanesque, roulant sur le sable blanc, devenant plus grand à chaque instants.