Note de la fic :
MotherShip Zeta [Rewritte]
Par : ponahoum
Genre : Action, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3
Publié le 19/08/2013 à 01:15:26 par ponahoum
Chapitre 3
"Mon General les deux Apaches ont eté abattus avec les cinq hommes du Sergent Peterssen"
"Et lui est il mort?"
"Mon General sergent Peterssen au rapport, je suis vivant j'ai été touché par une balle 5.52 qui a transpersé ma jambe gauche au point 5.36 il me faut un medecin sur place je ne pourrai pas me deplacer Peterssen terminé"
« D’accord Peterssen, on arrive »
« Merde, cet enculé s’en est sortit, va falloir trouver mieu mon general »
« Oui va falloir faire mieu, moi je ferai mieu mais pas vous »
« Quoi ?... »
Pan Pan Pan, Le general ayant sortir son magnum 44 cala 2 douilles dans les cranes de ses 2 larbins.
« T’in bordel de merde, je le ferai clamser ce putain d’enculé »
Peterssen quant a lui était tres mal en point, un trou de 5 cm dans la jambe, il souffrait le martyre, la seul chose qui le maintenait en vie c’est l’idée qu’il avait derriere la tete, develloper ses photos avec son grand ami de toujours le caporal Mathew, qui lui aussi avait survecu a leur embuscade. La lumiere commenca a disparaitre, une tache noire envhaissa peut a peu sa vue jusqu'à s’etendre de plus en plus. Le souffle devenait dur, de plus en plus dur jusqu'à ne plus venir. Le noir ayant obscursi la vue de Peterssen, il tomba a la reverse, le souffle fuyant et le poumon ralant. Peterssen se reveilla dans une sale blanche, la lumiere eclatante lui piqua les yeux, il tourna la tete et vis les scalpels d’avant guerre rouillé avec lequel on l’avait operé, il se leva, enfin essaya de se lever, il était retenu par deux paire de menottes.
« Pourquoi suis-je attaché ? »
« Comme on se retrouve Peterssen. »
« Arthur ? Mais tu es mort ? »
« Et non, tu m’as laissé pour mort dans le Sahara, 45 jours a me nourrir de vautour que j’abattais, et a boire ma propre pisse, maintenant je suis revenu et l’etat major m’a embauché. »
« Bah libere moi connard ! »
« Tu as serieusement cru que j’allais te liberer alors que j’ai pour mission de te torturé sauvagement pour te faire souffrir comme j’ai souffert. »
« Mais tu etais allongé, mort, aucun signe vitaux. »
« Faux ! Maintenant tu vas payer »
Arthur s’avanca vers Peterssen perceuse a la main, un cigard dans la bouche.
« Par quoi on va commencer ? A ce cigard est tellement bon, il faut que j’en garde ! »
Arthur ota le cigard de sa bouche et alla l’ecraser sur le bras droit decouvert de Peterssen qui cacha sa douleur, pour ne pas faiblir devant son ancien camarrade. Il fallait chercher un plan vite, vite, tres vite sinon Peterssen finira brulé comme un charbon dans un barbecue, il tomba sur une epingle disposé par Mathew qui l’avait disposé la pour qu’il se serve de son habituelle habileté.Il prit l’epingle detacha ses menottes et au moment ou Arthur voulu percer les genoux de Peterssen mit un coup de boule a Arthur, prit la perceuse et la mit dans le bide d’arthur, ses tripes sortirent broyé pour s’eclater sur le sol blanc. Peterssen s’habilla pris ses armes et alla chercher Mathew qui avait eu le temps de devellopper ses photos, lui aussi prit ses armes et tous deux s’echapperent du QG de l’etat Major. Direction ? Je ne sais pas mais une chose était sur, l’etat major etat contre eux et n’était pas en sureté dans ces base, il y avait une seule chose pour aller se planquer, Stupratown, un bidon-ville geant servant de capitale a ce pays.
« Mon general ils se sont echappé »
« Bien, cela nous facilitera les choses »
« Comment vous allez faire, Arthur est mort »
« Bien ils a replie sa mission, sa famille sera payé »
« Vous avez joué avec la vie d’un homme general, cela ne vous ressemble pas ! »
« Un marine est un marine, 100 engagés toute les semaine, crois tu que j’en ai a foutre de la vie d’un pauvre enfoiré ? »
« …. »
« Pauvre merde tu sers a rien, pour tout mes assistant sont des bon a rien ! »
« Mais mon General »
« Chut, pas la peine de te justifier »
« J’ai une femme et des gosses s’il vous plait »
« Rien a foutre ! » PAN !
Le crane explosé, le mur ensanglanté pour l’hemoglobine de ce dernier.
« On va se le faire ce peterssen !! J’en fais une affaire personelle »
"Mon General les deux Apaches ont eté abattus avec les cinq hommes du Sergent Peterssen"
"Et lui est il mort?"
"Mon General sergent Peterssen au rapport, je suis vivant j'ai été touché par une balle 5.52 qui a transpersé ma jambe gauche au point 5.36 il me faut un medecin sur place je ne pourrai pas me deplacer Peterssen terminé"
« D’accord Peterssen, on arrive »
« Merde, cet enculé s’en est sortit, va falloir trouver mieu mon general »
« Oui va falloir faire mieu, moi je ferai mieu mais pas vous »
« Quoi ?... »
Pan Pan Pan, Le general ayant sortir son magnum 44 cala 2 douilles dans les cranes de ses 2 larbins.
« T’in bordel de merde, je le ferai clamser ce putain d’enculé »
Peterssen quant a lui était tres mal en point, un trou de 5 cm dans la jambe, il souffrait le martyre, la seul chose qui le maintenait en vie c’est l’idée qu’il avait derriere la tete, develloper ses photos avec son grand ami de toujours le caporal Mathew, qui lui aussi avait survecu a leur embuscade. La lumiere commenca a disparaitre, une tache noire envhaissa peut a peu sa vue jusqu'à s’etendre de plus en plus. Le souffle devenait dur, de plus en plus dur jusqu'à ne plus venir. Le noir ayant obscursi la vue de Peterssen, il tomba a la reverse, le souffle fuyant et le poumon ralant. Peterssen se reveilla dans une sale blanche, la lumiere eclatante lui piqua les yeux, il tourna la tete et vis les scalpels d’avant guerre rouillé avec lequel on l’avait operé, il se leva, enfin essaya de se lever, il était retenu par deux paire de menottes.
« Pourquoi suis-je attaché ? »
« Comme on se retrouve Peterssen. »
« Arthur ? Mais tu es mort ? »
« Et non, tu m’as laissé pour mort dans le Sahara, 45 jours a me nourrir de vautour que j’abattais, et a boire ma propre pisse, maintenant je suis revenu et l’etat major m’a embauché. »
« Bah libere moi connard ! »
« Tu as serieusement cru que j’allais te liberer alors que j’ai pour mission de te torturé sauvagement pour te faire souffrir comme j’ai souffert. »
« Mais tu etais allongé, mort, aucun signe vitaux. »
« Faux ! Maintenant tu vas payer »
Arthur s’avanca vers Peterssen perceuse a la main, un cigard dans la bouche.
« Par quoi on va commencer ? A ce cigard est tellement bon, il faut que j’en garde ! »
Arthur ota le cigard de sa bouche et alla l’ecraser sur le bras droit decouvert de Peterssen qui cacha sa douleur, pour ne pas faiblir devant son ancien camarrade. Il fallait chercher un plan vite, vite, tres vite sinon Peterssen finira brulé comme un charbon dans un barbecue, il tomba sur une epingle disposé par Mathew qui l’avait disposé la pour qu’il se serve de son habituelle habileté.Il prit l’epingle detacha ses menottes et au moment ou Arthur voulu percer les genoux de Peterssen mit un coup de boule a Arthur, prit la perceuse et la mit dans le bide d’arthur, ses tripes sortirent broyé pour s’eclater sur le sol blanc. Peterssen s’habilla pris ses armes et alla chercher Mathew qui avait eu le temps de devellopper ses photos, lui aussi prit ses armes et tous deux s’echapperent du QG de l’etat Major. Direction ? Je ne sais pas mais une chose était sur, l’etat major etat contre eux et n’était pas en sureté dans ces base, il y avait une seule chose pour aller se planquer, Stupratown, un bidon-ville geant servant de capitale a ce pays.
« Mon general ils se sont echappé »
« Bien, cela nous facilitera les choses »
« Comment vous allez faire, Arthur est mort »
« Bien ils a replie sa mission, sa famille sera payé »
« Vous avez joué avec la vie d’un homme general, cela ne vous ressemble pas ! »
« Un marine est un marine, 100 engagés toute les semaine, crois tu que j’en ai a foutre de la vie d’un pauvre enfoiré ? »
« …. »
« Pauvre merde tu sers a rien, pour tout mes assistant sont des bon a rien ! »
« Mais mon General »
« Chut, pas la peine de te justifier »
« J’ai une femme et des gosses s’il vous plait »
« Rien a foutre ! » PAN !
Le crane explosé, le mur ensanglanté pour l’hemoglobine de ce dernier.
« On va se le faire ce peterssen !! J’en fais une affaire personelle »