Puis les parents d'Halley devaient aussi s’en allez chez des amis diner. Ils étaient embêtés de me laisser seul. Je les rassure en leur disant que tout va bien, je vais regarder la télé, un film... Finalement ils s’en vont et me laissent alors seul dans leur grande maison.
Je mis mes couverts dans le lave-vaisselle, puis chercha un bon DVD à regarder en attendant l’arrivée d’Halley.

Il n'arriva qu’une heure après, il avait sonné et cognais à la porte. Inquiet, je regarde par le judas et je vois Halley qui se tient maladroitement à deux copains. Je leur ouvre la porte et là Halley, complètement saoul et recouvert visiblement de vomi. Ses deux amis me le laissèrent et me rendirent les clefs de la voiture d’Halley. Ils l’avaient ramené et ramené sa voiture sympa !

Il me glissa un simple, et s’écroula de tout son poids contre moi.
-"Sarah is aaaaaaaaaaa biatch..."

Et il s’endormit sur moi. Avec difficultés je parviens à le pousser. Je vais mouillé un torchon et lui passe sur la tête...ça n’a pas beaucoup d’effet, en même temps si un torchon permettait de dessaouler rapidement ça se saurait. Peu à peu et à force de petites claques, il se réveilla, se releva doucement et là se vomi dessus et c'est une infection...je manque de vomir aussi mais prend sur moi et le supporte jusqu’à la salle de bain. Je le pause dans la douche. Et lui dit
-« Come on ! Take a shower ! Wake up ! » (Allé prend une douche ! lève toi !)
Pris de remords, je me dit :
« Bon je vais pas le laissez comme ça...si ses parents le voit comme ça, ça va encore être notre fête...Bon allez je lui enlève sa chemise et son pantalon ! Le reste il se démerde ! Je ne suis pas un garde malade non plus ! » J'ouvre le robinet, dirige le jet sur sa tête. Ahhhh ça fait de l’effet ! Il ouvre les yeux ! Mais bon, il continu toujours de vomir, c’est bizarre...allez c’est toujours mieux dehors que dedans. Une fois toutes les traces de vomis évanouies dans le siphon, je le sèche grossièrement et le sort de la douche, je lui passe son bras autour de mon cou, et avec grandes difficultés je tente de le hisser et de le forcer à marche pour l’envoyer dans sa chambre. Il en tient une bonne le Halley, putain !

Après plusieurs essais, Halley était couché dans son lit, semi trempé. Je mis un seau prés du lit et ferma la porte.
A peine elle était fermée que je l’entends vomir de plus belle. Bon...là il se démerde...

Le lendemain matin Halley était cloué au lit par une « méchante grippe intestinale »...c'est le père d'Halley qui me conduisit a l'école...