Note de la fic :
Publié le 06/11/2008 à 23:56:23 par Rym0
13 Janvier 2022
Le lendemain, je me réveillai en sursaut, en sueur. Les larmes ne mirent pas longtemps à couler, puis mourir sur mes joues désormais creuses à cause de la faim. La vie en elle même est un cauchemar, il ne manque plus que mes rêves les deviennent aussi...
*TLING TLING TLING...* Dargor désormais gardien et chef de la sécurité avait une sale manie de nous réveiller en cognant son 'arme de service', un magnifique Desert Eagle doré, sur les barreaux de nos cellules. Puis de sa voix grasse et rauque :
«-On se réveille les BOUSEUX !!!
-Ferme la sale porc, tu te crois tout permis avec ton gun à la noix ? Sale raclure, les gens comme toi me donnent vraiment la gerbe, tu me dégoutes...»
Je levai brusquement la tête, surpris de la réponse d'un de mes camarade de cellule. A ma grande surprise, c'était Vuze, celui qui nous avait trahis mais depuis le temps, on l'avait tous pardonné. Je lui dis alors rapidement :
«-Qu'est-ce que tu fous bordel, tu veux te retrouver au lobomisateur ou quoi ?!
-T'inquiètes pas mon frère, on se reverra bientôt... très bientôt. Fais moi confiance...»
Qu'est-ce qu'il lui prend ? Il est taré ! Le lobomisateur, comme son nom si doux l'indique est un lieu dont personne ne ressort intact. J'y suis jamais aller mais ceux qui y ont fait un tour n'ont plus jamais dit un mot... allez savoir ce qu'il y a dans cette pièce. Certains parlent de torture mentale à base de Tokio Hotel durant une année complète... rien qu'à y penser, j'en ai des frissons. Dargor, prenant son Desert Eagle en main et demandant des renforts fut arrosé d'un crachat jaune, bien gras tout droit sortit des nasales de Vuze. Il venait de signer son arrêt de mort mais toute, je dis bien TOUTE la prison se mit à crier, à rire à gorge déployée, à se moquer crument de Dargor, rouge de honte essayant tant bien que mal d'essuyer ses lunettes désormais souillés. Vuze se prit une balle dans la cuisse puis fut transporter vers le lobomisateur...
*BOUM... BOUM... BOUM..." Tout d'un coup, la terre se mit à trembler. Ce bruit de pas... c'est certainement un maître de la défense venu tout droit d'Europe à bord du nouveau moyen de transport à la mode : Le robot bipède géant pour voir si tout allait bien ici, à la cité n°1518. Kenobide, mon second compagnon de cellule m'interpella dans mes pensées :
«-T'imagines si un jour on prend les commandes de cet engin ?
-Pwahhh ! On ferait un de ces carnage !!!
-La roue tourne, mon frère, la roue tourne et un jour, nous les Noelistes, nous redorerons du blason... on régneras sur toute la cité puis une fois le continent à nous, on visera l'Europe toute entière !
-Ouai, tu l'as dit...»
Cela peut paraître totalement insensé mais il y avait une réel conviction dans la voix du hacker qui avait été mis en échec par Cisla et Chocobodor. Une voix de femme, sortit des hauts-parleurs éparpillés dans toute la prison nous dit d'un ton moqueur :
«C'est l'heure de la promenade !»
Kenobide me dit alors :
«-Si je la voyait devant moi celle là... oulala, croit moi qu'elle ferait pas long feu !!!
-Tu l'as dit haha !»
On sortit tous dehors, attachés par des chaînes reliés par une nouvelle forme d'énergie nommée le Curoliom par ces imbéciles de scientifiques. La promenade consistait à tourner en rond autour de la prison histoire de se dégourdir les jambes. On aimait se raconter des anecdotes et des blagues bien gores :
«-Hé les racl' ! Vous savez ce qu'est un...»
Le prisonnier n'eut pas le temps de finir sa phrase...
*BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUM* Une énooorme explosion éclata dans la prison projetant de gros débris dans tous les sens. Certains gardiens furent écrasés comme de minables mouches. D'autres se mirent à courir pour échapper aux projectiles mais la plupart des gardiens étaient encore là à nous garder bien serré. On se regarda tous dans les yeux... on avait vrai-semblablement tous la même idée en tête :
«-C'EST NOTRE CHANCE ! NOEL VAINCRAAA !»
Droite, gauche, des coups plut de tous les sens. J'assenai moi même un violent coup de genou au gardien se trouvant en face de moi le laissant par terre. Il se tortillait de douleur comme un ver de terre... Le combat ne dura pas pour moi, une seconde explosion retenti alors surprenant tout le monde. Un projectile me frappa violemment la tête. Je m'évanouis alors laissant mes camarades décider de notre destin...
Le lendemain, je me réveillai en sursaut, en sueur. Les larmes ne mirent pas longtemps à couler, puis mourir sur mes joues désormais creuses à cause de la faim. La vie en elle même est un cauchemar, il ne manque plus que mes rêves les deviennent aussi...
*TLING TLING TLING...* Dargor désormais gardien et chef de la sécurité avait une sale manie de nous réveiller en cognant son 'arme de service', un magnifique Desert Eagle doré, sur les barreaux de nos cellules. Puis de sa voix grasse et rauque :
«-On se réveille les BOUSEUX !!!
-Ferme la sale porc, tu te crois tout permis avec ton gun à la noix ? Sale raclure, les gens comme toi me donnent vraiment la gerbe, tu me dégoutes...»
Je levai brusquement la tête, surpris de la réponse d'un de mes camarade de cellule. A ma grande surprise, c'était Vuze, celui qui nous avait trahis mais depuis le temps, on l'avait tous pardonné. Je lui dis alors rapidement :
«-Qu'est-ce que tu fous bordel, tu veux te retrouver au lobomisateur ou quoi ?!
-T'inquiètes pas mon frère, on se reverra bientôt... très bientôt. Fais moi confiance...»
Qu'est-ce qu'il lui prend ? Il est taré ! Le lobomisateur, comme son nom si doux l'indique est un lieu dont personne ne ressort intact. J'y suis jamais aller mais ceux qui y ont fait un tour n'ont plus jamais dit un mot... allez savoir ce qu'il y a dans cette pièce. Certains parlent de torture mentale à base de Tokio Hotel durant une année complète... rien qu'à y penser, j'en ai des frissons. Dargor, prenant son Desert Eagle en main et demandant des renforts fut arrosé d'un crachat jaune, bien gras tout droit sortit des nasales de Vuze. Il venait de signer son arrêt de mort mais toute, je dis bien TOUTE la prison se mit à crier, à rire à gorge déployée, à se moquer crument de Dargor, rouge de honte essayant tant bien que mal d'essuyer ses lunettes désormais souillés. Vuze se prit une balle dans la cuisse puis fut transporter vers le lobomisateur...
*BOUM... BOUM... BOUM..." Tout d'un coup, la terre se mit à trembler. Ce bruit de pas... c'est certainement un maître de la défense venu tout droit d'Europe à bord du nouveau moyen de transport à la mode : Le robot bipède géant pour voir si tout allait bien ici, à la cité n°1518. Kenobide, mon second compagnon de cellule m'interpella dans mes pensées :
«-T'imagines si un jour on prend les commandes de cet engin ?
-Pwahhh ! On ferait un de ces carnage !!!
-La roue tourne, mon frère, la roue tourne et un jour, nous les Noelistes, nous redorerons du blason... on régneras sur toute la cité puis une fois le continent à nous, on visera l'Europe toute entière !
-Ouai, tu l'as dit...»
Cela peut paraître totalement insensé mais il y avait une réel conviction dans la voix du hacker qui avait été mis en échec par Cisla et Chocobodor. Une voix de femme, sortit des hauts-parleurs éparpillés dans toute la prison nous dit d'un ton moqueur :
«C'est l'heure de la promenade !»
Kenobide me dit alors :
«-Si je la voyait devant moi celle là... oulala, croit moi qu'elle ferait pas long feu !!!
-Tu l'as dit haha !»
On sortit tous dehors, attachés par des chaînes reliés par une nouvelle forme d'énergie nommée le Curoliom par ces imbéciles de scientifiques. La promenade consistait à tourner en rond autour de la prison histoire de se dégourdir les jambes. On aimait se raconter des anecdotes et des blagues bien gores :
«-Hé les racl' ! Vous savez ce qu'est un...»
Le prisonnier n'eut pas le temps de finir sa phrase...
*BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUM* Une énooorme explosion éclata dans la prison projetant de gros débris dans tous les sens. Certains gardiens furent écrasés comme de minables mouches. D'autres se mirent à courir pour échapper aux projectiles mais la plupart des gardiens étaient encore là à nous garder bien serré. On se regarda tous dans les yeux... on avait vrai-semblablement tous la même idée en tête :
«-C'EST NOTRE CHANCE ! NOEL VAINCRAAA !»
Droite, gauche, des coups plut de tous les sens. J'assenai moi même un violent coup de genou au gardien se trouvant en face de moi le laissant par terre. Il se tortillait de douleur comme un ver de terre... Le combat ne dura pas pour moi, une seconde explosion retenti alors surprenant tout le monde. Un projectile me frappa violemment la tête. Je m'évanouis alors laissant mes camarades décider de notre destin...
Commentaires
- Pseudo supprimé
07/11/2008 à 22:29:28
Je suis pas si méchant finalement
- Pseudo supprimé
07/11/2008 à 12:22:14
Sweet
- Ben
07/11/2008 à 02:45:59
Sweet
- Fossoyeur_minimi
07/11/2008 à 00:09:17
Suite.....