Note de la fic :
Publié le 30/10/2008 à 09:34:42 par []REC[]
Toujours cette pluie qui descend des cieux en trombe. JE regarde, posé sur le rebord de la fenêtre, les gouttes d'eau dévalait le chemin du paradis a l'enfer ou nous sommes. Puis elle s'éclate et se divise en plusieurs gouttes. Des flaques jonchent le sol, et la boue a prit place dans le village. Il n'y plus de route, l'armée l'a détruite en bombardant les zombies. C'est des chemins de terre qui serpentent dans le village. Des chemins de boues quand il pleut. Mais j'aime la pluie. On les entends arrivés comme sa.
"Tu fais quoi Myke?"
JE me retourne en sursautant. Ma mère qui se tient sur le pas de la porte, les mains sur les hanches et un regard soucieux.
"JE regarde dehors si il reste personne..."
"L'armée a déjà fait le tour, y'a que des rôdeurs."
"Mais si il reste quelqu'un? Si il y'avait un survivant?"
"Il n'y a aucun survivant Myke, aucun."
"Pourquoi tu n'as plus d'espoir?"
"...."
"On dirait que tu a décroché a la vie. Je sens qu'il y'a un survivant maman. Il va arrivé alors crois moi."
"...Si j'ai décroché a la vie c'est parce que la mort a pris possession de la terre."
Et elle s'en va en tournant les talons. Je me demande pourquoi elle a tout abandonné. Je jette un dernier regard dehors.
Des rôdeurs. JE ne les vois pas mais je devine leurs mouvement. Des ombres brèves qui défilent dans la rue. Des seaux qui se renversent et des rires furtifs. Puis un silence. La pluie aussi c'est arrêté. JE regarde dans la rue, et je l'aperçois.
Une femme blonde, surement 20ans. Elle marche en boitant et du sang coule de son visage et de sa jambe. On dirait qu'elle est prête a s'écrouler a tous moments. Sur l'effet de la surprise je ne réagit pas mais une pensée me prend:
"Maman!"
J'entend ma mère arrivé a toute vitesse dans ma chambre.
"Qu'est-ce qu'il y'a?!"
"Regarde dehors!"
Elle s'approche a la fenêtre et regard avec surprise la survivante.
"Une survivante!"
"Il faut la sauver!"
J'ouvre la fenêtre et lui hurle:
"Venez!"
Elle s'arrête au milieu de la place et lève la tête. Trop tard. Un rôdeur arrive a toute vitesse, saute en l'air, lui décoche un coup de pied dans le visage, et se la met sur l'épaule, inconsciente. Puis le rôdeur s'arrête, regarde en notre direction et nous lance d'une voix grave :
"Cette ville est a nous!"
Et il s'en va en courant dans l'obscurité.
"On fais quoi Myke?"
"...On va la chercher."
"Tu fais quoi Myke?"
JE me retourne en sursautant. Ma mère qui se tient sur le pas de la porte, les mains sur les hanches et un regard soucieux.
"JE regarde dehors si il reste personne..."
"L'armée a déjà fait le tour, y'a que des rôdeurs."
"Mais si il reste quelqu'un? Si il y'avait un survivant?"
"Il n'y a aucun survivant Myke, aucun."
"Pourquoi tu n'as plus d'espoir?"
"...."
"On dirait que tu a décroché a la vie. Je sens qu'il y'a un survivant maman. Il va arrivé alors crois moi."
"...Si j'ai décroché a la vie c'est parce que la mort a pris possession de la terre."
Et elle s'en va en tournant les talons. Je me demande pourquoi elle a tout abandonné. Je jette un dernier regard dehors.
Des rôdeurs. JE ne les vois pas mais je devine leurs mouvement. Des ombres brèves qui défilent dans la rue. Des seaux qui se renversent et des rires furtifs. Puis un silence. La pluie aussi c'est arrêté. JE regarde dans la rue, et je l'aperçois.
Une femme blonde, surement 20ans. Elle marche en boitant et du sang coule de son visage et de sa jambe. On dirait qu'elle est prête a s'écrouler a tous moments. Sur l'effet de la surprise je ne réagit pas mais une pensée me prend:
"Maman!"
J'entend ma mère arrivé a toute vitesse dans ma chambre.
"Qu'est-ce qu'il y'a?!"
"Regarde dehors!"
Elle s'approche a la fenêtre et regard avec surprise la survivante.
"Une survivante!"
"Il faut la sauver!"
J'ouvre la fenêtre et lui hurle:
"Venez!"
Elle s'arrête au milieu de la place et lève la tête. Trop tard. Un rôdeur arrive a toute vitesse, saute en l'air, lui décoche un coup de pied dans le visage, et se la met sur l'épaule, inconsciente. Puis le rôdeur s'arrête, regarde en notre direction et nous lance d'une voix grave :
"Cette ville est a nous!"
Et il s'en va en courant dans l'obscurité.
"On fais quoi Myke?"
"...On va la chercher."
Commentaires
- Pseudo supprimé
30/10/2008 à 09:59:24
S
W
E
E
T