Note de la fic :
Publié le 29/10/2008 à 22:22:23 par [O-Kay]
Partie 3 :
Morts : Tarra
Amastu...
Je suis Amatsu. Moi et mes potes, on s'était donné rendez-vous à l'est de l'île. Alors que j'approchai de mes comparses, je vit, derrière la cabane...
... Un type bondir, je fis des grands signes à Donzay, malheureusement il se retourna trop tard, et Slaj, une racaille d'1 mètre 85, fondait sur lui avec une corde de piano. Il enserra mon pauvre ami qui commençait à suffoquer. Ni une ni deux je dégaina mon tazer, et DrEnfer sortit son petit pistolet, il hésita à tirer car la racaille se servait de donzay comme bouclier, et il commençait à devenir bleu... Je me trouvais plus qu'à 10 mètres de slaj, qui relâchait un peu sa prise pour sortir d'une poche un disque de métal... Une mine ! Il me la jeta dessus et d'un revers de la main je l'expédia dans la cabane. Décontenancé, il ne fit aucun mouvement au moment pendant que j'abattais mon tazer sur sa gorge. Il fut pris de violent spasme puis tomba par terre en fumant. Il tremblai encore lorsque DrEnfer l'acheva avec dégoût de plusieurs plombs dans le torse. C'était limite, Donzay toussait pour reprendre sa respiration.
« ça va Donzay? Demandai-je
Il à l'air d'aller, répondit D'enfer »
En guise de réponse Donzay secoua la tête pour signifier que c'était bon.
« Je vais chercher les provisions dans la cabane. Fit DrEnfer. J'avais malheureusement une intuition concernant ça.. la cabane.. la cabane? LA MINE !
D'Enfre ! NON ! »
Il était visiblement trop tard, D'enfer essaya de courir dans l'autre sens mais les capteurs de la mine étaient déjà activés... La cabane vola en éclat dans un tonnerre de débris et de flamme. Le souffle de l'explosion me projeta avec Donzay en arrière, la chaleur me piqua le visage, je ferma les yeux...
Middle...
J'étais sorti depuis 1 heures environ, avec mon P90... Je devais rejoindre Méthane, petite Culotte, Inazuma, foley et Junoke à environ 4 km du complexe vers le nord. Je consultai Ma carte et ma boussole... plus que 500 mètre et je me retrouverai dans une ferme, où il devrait avoir les autres. Soudain, j'entendis un bruit sourd venant de l'est.. Une bombe, ça se bastonnait déjà. Franchement, à quoi bon se tuer, il faut s'allier !
Je vis au loin la ferme, et, alors que j'allai sortir de la forêt, entendis un craquement de branche dans mon dos... Je m'accroupis et serra mon arme dans la paume de la main. Un autre bruit... à gauche ! Je me levai et pointa mon arbre vers un épais buisson. Un type se leva, c'était habdo, un qui s'amusait à martyriser les petits au bahut. Ce bâtard avait pointait sur moi un gros flingue argenté, la peur se lisait dans ses yeux. Il tira alors sans que je ne puisse bouger, mais ne savant manier une arme, la détente de son gros calibre couplé à sa position vacillante le déstabilisa lors du tir, me ratant de beaucoup et manquant de tomber.
Il avait eu sa chance, j'allais avoir la mienne, je me cramponna à mon P90 et appuya sur la détente. L'arme n'ayant pas une grosse puissance, je ne trembla presque pas.. Je vibrai au rythme des munitions qui provoquai un bruit aigu. Le corps de Habdo fut strié de petit point rouge qui commençai à se couvrir de sang. Dans le feu de l'action, je n'enleva mon doigt de la détente bien après qu'il soit mort, comme lorsque sur un deux roues on veux s'arrêter mais pris de panique on reste le poing à fond sur l'accélérateur.
J'approchai de son cadavre et lui fermai les yeux, je pris également ses armes : son magnum et ses allumettes, qui peuvent toujours être utiles.
Je repris mon chemin, puis, je vis la tête de Petite culotte, le mascara séché sur ses joues, au travers d'un fenêtre. Cette vision me réconforta, par contre, ce qui me réconfortai moins c'était les ombres, de l'autre côté de la barque, qui s'insinuait dans notre repère...
Morts : Tarra
Amastu...
Je suis Amatsu. Moi et mes potes, on s'était donné rendez-vous à l'est de l'île. Alors que j'approchai de mes comparses, je vit, derrière la cabane...
... Un type bondir, je fis des grands signes à Donzay, malheureusement il se retourna trop tard, et Slaj, une racaille d'1 mètre 85, fondait sur lui avec une corde de piano. Il enserra mon pauvre ami qui commençait à suffoquer. Ni une ni deux je dégaina mon tazer, et DrEnfer sortit son petit pistolet, il hésita à tirer car la racaille se servait de donzay comme bouclier, et il commençait à devenir bleu... Je me trouvais plus qu'à 10 mètres de slaj, qui relâchait un peu sa prise pour sortir d'une poche un disque de métal... Une mine ! Il me la jeta dessus et d'un revers de la main je l'expédia dans la cabane. Décontenancé, il ne fit aucun mouvement au moment pendant que j'abattais mon tazer sur sa gorge. Il fut pris de violent spasme puis tomba par terre en fumant. Il tremblai encore lorsque DrEnfer l'acheva avec dégoût de plusieurs plombs dans le torse. C'était limite, Donzay toussait pour reprendre sa respiration.
« ça va Donzay? Demandai-je
Il à l'air d'aller, répondit D'enfer »
En guise de réponse Donzay secoua la tête pour signifier que c'était bon.
« Je vais chercher les provisions dans la cabane. Fit DrEnfer. J'avais malheureusement une intuition concernant ça.. la cabane.. la cabane? LA MINE !
D'Enfre ! NON ! »
Il était visiblement trop tard, D'enfer essaya de courir dans l'autre sens mais les capteurs de la mine étaient déjà activés... La cabane vola en éclat dans un tonnerre de débris et de flamme. Le souffle de l'explosion me projeta avec Donzay en arrière, la chaleur me piqua le visage, je ferma les yeux...
Middle...
J'étais sorti depuis 1 heures environ, avec mon P90... Je devais rejoindre Méthane, petite Culotte, Inazuma, foley et Junoke à environ 4 km du complexe vers le nord. Je consultai Ma carte et ma boussole... plus que 500 mètre et je me retrouverai dans une ferme, où il devrait avoir les autres. Soudain, j'entendis un bruit sourd venant de l'est.. Une bombe, ça se bastonnait déjà. Franchement, à quoi bon se tuer, il faut s'allier !
Je vis au loin la ferme, et, alors que j'allai sortir de la forêt, entendis un craquement de branche dans mon dos... Je m'accroupis et serra mon arme dans la paume de la main. Un autre bruit... à gauche ! Je me levai et pointa mon arbre vers un épais buisson. Un type se leva, c'était habdo, un qui s'amusait à martyriser les petits au bahut. Ce bâtard avait pointait sur moi un gros flingue argenté, la peur se lisait dans ses yeux. Il tira alors sans que je ne puisse bouger, mais ne savant manier une arme, la détente de son gros calibre couplé à sa position vacillante le déstabilisa lors du tir, me ratant de beaucoup et manquant de tomber.
Il avait eu sa chance, j'allais avoir la mienne, je me cramponna à mon P90 et appuya sur la détente. L'arme n'ayant pas une grosse puissance, je ne trembla presque pas.. Je vibrai au rythme des munitions qui provoquai un bruit aigu. Le corps de Habdo fut strié de petit point rouge qui commençai à se couvrir de sang. Dans le feu de l'action, je n'enleva mon doigt de la détente bien après qu'il soit mort, comme lorsque sur un deux roues on veux s'arrêter mais pris de panique on reste le poing à fond sur l'accélérateur.
J'approchai de son cadavre et lui fermai les yeux, je pris également ses armes : son magnum et ses allumettes, qui peuvent toujours être utiles.
Je repris mon chemin, puis, je vis la tête de Petite culotte, le mascara séché sur ses joues, au travers d'un fenêtre. Cette vision me réconforta, par contre, ce qui me réconfortai moins c'était les ombres, de l'autre côté de la barque, qui s'insinuait dans notre repère...