Note de la fic :
Publié le 18/04/2010 à 17:44:22 par guydark
La migraine, une douleur qui me fait prendre conscience de mon état, je suis réveillé…
J’ouvre les yeux, rien…
Une pièce très sombre, le plafond parait haut, je ne le vois pas, d’autant plus que l’obscurité n’aide pas.
Je me rends compte que je suis dans un des angles de la pièce, les murs et le sol sont glacés, me gelant les articulations.
Je tente de me relever, mais une chose me coince, comme le froid me bloque les sensations j’ai du mal à comprendre mais je déduis de ma liberté de mouvement limité que mes poignets sont liés, mais pas mes pieds.
D’un mouvement souple, je me relève et me met debout.
Je tâte les murs avec mon pied, le bruit que j’ai en retour est le bruit d’un mur comble, bien solide, un peu comme du béton…
Je continue en faisant le tour de la pièce mais à un moment le bruit change, un mur creux, du bois, et pas bien épais…
Je commence à m’acharner dessus a coup de pied, au bout d’une dizaine de coups, le panneau de bois lâche, laissant entrer la lumière dans la pièce, mais ne permettant toujours pas de voir le plafond.
Je me débrouille pour passer par le trou et profite des éclats de bois qui dépasse pour couper les liens qui m’entravent les mains.
La pièce dans laquelle j’arrive est assez spacieuse, mais complètement vide, un peu comme un gymnase.
Il y a un escalier tout au bout, je m’y dirige mais arrivé au pied de l’escalier j’entends des éclats de voix, je tends l’oreille pour mieux entendre.
Une voix masculine, énervée : « mais comment as-tu pu le laisser entrer ? »
Une voix féminine, effrayé : « Je… Je n’ai jamais voulu le laisser entrer… »
« Alors comment est-il rentré alors que je t’avais ordonné de ne laisser entrer personne ? »
« Eh bien… Il est rentré au seul moment ou je me suis absenté… »
« Ce n’est pas mon problème, le problème est que tu m’as désobéi, je t’avais dit de ne laisser entrer personne, et pourtant lui est rentré apparemment sans problème… »
« Mais…Mais… »
« Ne cherches pas à t’excuser, vas dans ta chambre, et tu n’en sortiras que lorsque je l’aurais décidé. »
« Et toi ? Où vas-tu ? »
« M’occuper de cet intrus… »
Juste après ses paroles j’entends des bruits de pas descendre l’escalier.
Dans la panique, je me jette sous l’escalier et retiens ma respiration jusqu'à ce qu’il soit passé a coté de moi.
C’est celui qui a lancé la lame empoisonné.
Je remonte les escaliers le plus rapidement que je puisse sans faire de bruit.
Puis je reprends ma respiration.
Juste avant d’entendre un cri de rage venant d’en bas, apparemment il venait de découvrir le panneau de bois cassé et les liens découpés.
Sans réfléchir, je me mets à courir droit devant moi, le plus vite possible, je fais du zig zag dans les croisements sur le chemin, et au bout d’un moment j’ouvre une porte au hasard, et me glisse à l’intérieur en refermant la porte en fixant mon regard vers la poignée.
Je reste comme ca à écouter pendant un moment, rien…
Soulagé, je ferme les yeux, me retourne, et me laisse glisser dos a la porte jusqu'à être assis.
Apres avoir soufflé un moment, je rouvre les yeux.
J’étouffe un cri en voyant le visage d’une jeune femme devant moi.
Elle a un éclat rouge dans les pupilles de ses grand yeux, la peau blanche, plutôt pâle, des cheveux lisses, bleus clairs, brillants, ses canines dépassent légèrement de ses lèvres, elle a un visage bien dessiné, plutôt jolie…
Elle me fixe d’un air intrigué, se demandant surement qui je suis.
Je la fixe moi aussi, on peut même dire que je l’admire…
Elle prend la parole en première.
« Mais qui est-tu ? »
« Eh bien… C'est-à-dire que… »
« Ne me dis pas que c’est toi que mon frère avait capturé ? »
« Eh bien… Si »
Il y a un silence pesant pendant quelques secondes qui paraissent des heures…
Je reprends la parole.
« Et… tu vas me dénoncer ? »
« Je ne pense pas… Je ne suis pas comme mon frère… »
« Alors si tu n’es pas comme lui, pourquoi lui restes tu obéissante malgré tout, il t’accuse quand même d’une erreur que tu n’as pas commis… »
« … »
« Alors ? Penses tu que ta place soit vraiment ici ? »
Je suis décidé à la faire s’échapper de l’enfer qu’elle vit apparemment ici, elle me donne l’impression de ne pas avoir sourit depuis sa naissance…
Elle me répond enfin.
« Mais je n’ai nulle part ou aller, et mon frère est le seul qui se soit jamais soucié de moi, d’une façon ou d’une autre… »
« Eh bien que dirais tu de partir avec moi ? »
« Pardon ? »
« Je te propose de t’enfuir de cet enfer avec moi, et je m’occuperais de toi si tu ne peux pas vivre ou ne veux pas vivre toute seule, je connais un endroit ou tu seras accepté a ta juste valeur. Mais d’abord, il faut trouver un moyen de sortir d’ici. »
Elle reste interdite et me désigne la fenêtre.
J’ouvre la fenêtre, évalue la hauteur, 3m, 4 tout au plus, largement faisable.
Je saute à travers la fenêtre ouverte et me retrouve sur le sol.
Je regarde vers la fenêtre et la voit en train de regarder dans le vide.
Elle murmure quelque chose avant de sauter à son tour, je la rattrape en bas.
« Allez, partons. »
Je me dirige avec elle vers l’orée de la foret.
Mais une question me restait en tête.
« Dis-moi… Quel est ton nom ? »
« Je m’appelle Mitsu… Mitsu Kuchiki »
« Un joli nom… »
Elle connait par chance un peu la foret et nous guide jusqu'à la base sans encombre.
J’ouvre les yeux, rien…
Une pièce très sombre, le plafond parait haut, je ne le vois pas, d’autant plus que l’obscurité n’aide pas.
Je me rends compte que je suis dans un des angles de la pièce, les murs et le sol sont glacés, me gelant les articulations.
Je tente de me relever, mais une chose me coince, comme le froid me bloque les sensations j’ai du mal à comprendre mais je déduis de ma liberté de mouvement limité que mes poignets sont liés, mais pas mes pieds.
D’un mouvement souple, je me relève et me met debout.
Je tâte les murs avec mon pied, le bruit que j’ai en retour est le bruit d’un mur comble, bien solide, un peu comme du béton…
Je continue en faisant le tour de la pièce mais à un moment le bruit change, un mur creux, du bois, et pas bien épais…
Je commence à m’acharner dessus a coup de pied, au bout d’une dizaine de coups, le panneau de bois lâche, laissant entrer la lumière dans la pièce, mais ne permettant toujours pas de voir le plafond.
Je me débrouille pour passer par le trou et profite des éclats de bois qui dépasse pour couper les liens qui m’entravent les mains.
La pièce dans laquelle j’arrive est assez spacieuse, mais complètement vide, un peu comme un gymnase.
Il y a un escalier tout au bout, je m’y dirige mais arrivé au pied de l’escalier j’entends des éclats de voix, je tends l’oreille pour mieux entendre.
Une voix masculine, énervée : « mais comment as-tu pu le laisser entrer ? »
Une voix féminine, effrayé : « Je… Je n’ai jamais voulu le laisser entrer… »
« Alors comment est-il rentré alors que je t’avais ordonné de ne laisser entrer personne ? »
« Eh bien… Il est rentré au seul moment ou je me suis absenté… »
« Ce n’est pas mon problème, le problème est que tu m’as désobéi, je t’avais dit de ne laisser entrer personne, et pourtant lui est rentré apparemment sans problème… »
« Mais…Mais… »
« Ne cherches pas à t’excuser, vas dans ta chambre, et tu n’en sortiras que lorsque je l’aurais décidé. »
« Et toi ? Où vas-tu ? »
« M’occuper de cet intrus… »
Juste après ses paroles j’entends des bruits de pas descendre l’escalier.
Dans la panique, je me jette sous l’escalier et retiens ma respiration jusqu'à ce qu’il soit passé a coté de moi.
C’est celui qui a lancé la lame empoisonné.
Je remonte les escaliers le plus rapidement que je puisse sans faire de bruit.
Puis je reprends ma respiration.
Juste avant d’entendre un cri de rage venant d’en bas, apparemment il venait de découvrir le panneau de bois cassé et les liens découpés.
Sans réfléchir, je me mets à courir droit devant moi, le plus vite possible, je fais du zig zag dans les croisements sur le chemin, et au bout d’un moment j’ouvre une porte au hasard, et me glisse à l’intérieur en refermant la porte en fixant mon regard vers la poignée.
Je reste comme ca à écouter pendant un moment, rien…
Soulagé, je ferme les yeux, me retourne, et me laisse glisser dos a la porte jusqu'à être assis.
Apres avoir soufflé un moment, je rouvre les yeux.
J’étouffe un cri en voyant le visage d’une jeune femme devant moi.
Elle a un éclat rouge dans les pupilles de ses grand yeux, la peau blanche, plutôt pâle, des cheveux lisses, bleus clairs, brillants, ses canines dépassent légèrement de ses lèvres, elle a un visage bien dessiné, plutôt jolie…
Elle me fixe d’un air intrigué, se demandant surement qui je suis.
Je la fixe moi aussi, on peut même dire que je l’admire…
Elle prend la parole en première.
« Mais qui est-tu ? »
« Eh bien… C'est-à-dire que… »
« Ne me dis pas que c’est toi que mon frère avait capturé ? »
« Eh bien… Si »
Il y a un silence pesant pendant quelques secondes qui paraissent des heures…
Je reprends la parole.
« Et… tu vas me dénoncer ? »
« Je ne pense pas… Je ne suis pas comme mon frère… »
« Alors si tu n’es pas comme lui, pourquoi lui restes tu obéissante malgré tout, il t’accuse quand même d’une erreur que tu n’as pas commis… »
« … »
« Alors ? Penses tu que ta place soit vraiment ici ? »
Je suis décidé à la faire s’échapper de l’enfer qu’elle vit apparemment ici, elle me donne l’impression de ne pas avoir sourit depuis sa naissance…
Elle me répond enfin.
« Mais je n’ai nulle part ou aller, et mon frère est le seul qui se soit jamais soucié de moi, d’une façon ou d’une autre… »
« Eh bien que dirais tu de partir avec moi ? »
« Pardon ? »
« Je te propose de t’enfuir de cet enfer avec moi, et je m’occuperais de toi si tu ne peux pas vivre ou ne veux pas vivre toute seule, je connais un endroit ou tu seras accepté a ta juste valeur. Mais d’abord, il faut trouver un moyen de sortir d’ici. »
Elle reste interdite et me désigne la fenêtre.
J’ouvre la fenêtre, évalue la hauteur, 3m, 4 tout au plus, largement faisable.
Je saute à travers la fenêtre ouverte et me retrouve sur le sol.
Je regarde vers la fenêtre et la voit en train de regarder dans le vide.
Elle murmure quelque chose avant de sauter à son tour, je la rattrape en bas.
« Allez, partons. »
Je me dirige avec elle vers l’orée de la foret.
Mais une question me restait en tête.
« Dis-moi… Quel est ton nom ? »
« Je m’appelle Mitsu… Mitsu Kuchiki »
« Un joli nom… »
Elle connait par chance un peu la foret et nous guide jusqu'à la base sans encombre.
Commentaires
- Pseudo supprimé
22/04/2010 à 18:25:54
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