Note de la fic :
Publié le 17/09/2008 à 21:55:21 par UnHommeAPart
1er jour:
Toujours le silence. Le peur me monte a l'estomac et un hoquet me surprend. Je saute de la voiture et vomis sur le capot. J'en peux plus, je veux me réveiller. J'ai finis de vomir, mais je reste accroupis. Je veux pas me relever, je veux pas voir. Je relève la tête et mes yeux reste sur ce spectacle de désolations. Je marche dans la rue regardant tous autour de moi. Les magasins, les rues, les voitures, le ciel. Rien, aucun avion, aucune personne, aucun animal. Rien.
Je rentre dans un McDo et jette un regard aux alentour. Aucune lumière, il n'y a personne. Je rentre dans les cuisines et ouvre une boîte hamburger qui traine. Une odeur effroyable me monte aux nez et je la jette au loin. Un tour dans la cabine pour voir une énorme machine. J'appuie sur un bouton vert et le bruit monte dans les cuisines. Des steaks apparemment comestibles reposent dans une poche en plastique. Je l'ouvre et une agréable odeur de viande me monte aux narines. Je jette des steaks dans la machine et les récupère a la sortie, ces délicieux morceaux de viande cuits. Je les attrape par la main et les fourre dans ma bouche. Un gout unique, et un agréable sensations de bien-être. Je m'assois alors a une table et regarde par la fenêtre.
Et je fond en larmes. De longues larmes chaudes sur ma joue. Un sentiment de solitude extrême et d'abandon. Pourquoi personne n'est la? Ou ils sont? Pourquoi je suis seul? Pourquoi la ville est vide? Pourquoi?
Après une heure, je me lève et reprends ma route. Je marche pendant 30min toujours seul, toujours triste. Je rentre dans un magasins de vêtements et parcours les rayons. Des tee-shirt. Après tout pourquoi pas?
Une heure après, je ressors les bras chargés de vêtements, de nourriture, et de journaux. Quand je suis rentré chez moi, je referme la porte par habitude, sachant que ça ne sers a rien. Je déballe tous dans le salon et essaye tous les vêtements. Niquel.
J'ouvre le gaz, qui s'allume a ma grande surprise, et fais griller des cuisses de poulets. Je vais prendre une douche pendant que sa cuit et sors, trempe, mais je me sens mieux.
Après avoir déguster mon repas, seul devant la fenêtre du 2éme étage. Je vais dans mon lit, ferme les yeux et m'endors presque aussitôt. Je ne sais pas si c'est le sommeil, ou autre chose, mais je suis persuadé d'avoir entendu un long cri dans la nuit au dehors.
Toujours le silence. Le peur me monte a l'estomac et un hoquet me surprend. Je saute de la voiture et vomis sur le capot. J'en peux plus, je veux me réveiller. J'ai finis de vomir, mais je reste accroupis. Je veux pas me relever, je veux pas voir. Je relève la tête et mes yeux reste sur ce spectacle de désolations. Je marche dans la rue regardant tous autour de moi. Les magasins, les rues, les voitures, le ciel. Rien, aucun avion, aucune personne, aucun animal. Rien.
Je rentre dans un McDo et jette un regard aux alentour. Aucune lumière, il n'y a personne. Je rentre dans les cuisines et ouvre une boîte hamburger qui traine. Une odeur effroyable me monte aux nez et je la jette au loin. Un tour dans la cabine pour voir une énorme machine. J'appuie sur un bouton vert et le bruit monte dans les cuisines. Des steaks apparemment comestibles reposent dans une poche en plastique. Je l'ouvre et une agréable odeur de viande me monte aux narines. Je jette des steaks dans la machine et les récupère a la sortie, ces délicieux morceaux de viande cuits. Je les attrape par la main et les fourre dans ma bouche. Un gout unique, et un agréable sensations de bien-être. Je m'assois alors a une table et regarde par la fenêtre.
Et je fond en larmes. De longues larmes chaudes sur ma joue. Un sentiment de solitude extrême et d'abandon. Pourquoi personne n'est la? Ou ils sont? Pourquoi je suis seul? Pourquoi la ville est vide? Pourquoi?
Après une heure, je me lève et reprends ma route. Je marche pendant 30min toujours seul, toujours triste. Je rentre dans un magasins de vêtements et parcours les rayons. Des tee-shirt. Après tout pourquoi pas?
Une heure après, je ressors les bras chargés de vêtements, de nourriture, et de journaux. Quand je suis rentré chez moi, je referme la porte par habitude, sachant que ça ne sers a rien. Je déballe tous dans le salon et essaye tous les vêtements. Niquel.
J'ouvre le gaz, qui s'allume a ma grande surprise, et fais griller des cuisses de poulets. Je vais prendre une douche pendant que sa cuit et sors, trempe, mais je me sens mieux.
Après avoir déguster mon repas, seul devant la fenêtre du 2éme étage. Je vais dans mon lit, ferme les yeux et m'endors presque aussitôt. Je ne sais pas si c'est le sommeil, ou autre chose, mais je suis persuadé d'avoir entendu un long cri dans la nuit au dehors.