Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le jeu où VOUS massacrez du zombie !


Par : jonyfic
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2 : Max Arusse


Publié le 11/04/2010 à 22:04:00 par jonyfic

Bon, c'était pas forcément une bonne idée de sortir, la ville était infesté de zombie. Ils grouillaient de partout, se déplacent lentement.

Enfin bref, règle numéro deux, dissocier vivant de zombie, et pour sa, c'est pas compliqué, si sa n'essaye pas de vous manger, c'est pas un zombie. Si sa parle, utilise des objets compliqué (comme une porte par exemple) c'est pas un zombie etc.

Et en parlant de pas zombie, alors que les zombies commençaient à remarquer la présence un type pris de l'élan et enjamba la barrière d'en face. Le type atterri sur un zombie, dont la tête ne résista pas.

Bien sûr, alerté par le bonhomme, ils en oublièrent complètement la présence de Johnny.

Johnny n'allait pas rester les bras croisé sans l'aider... enfin, si.

-Hey l'ami, attrape sa !

Et Johnny lui lança sont couteau de cuisine. Il arriva au pied du type. Et le mec n'y prêta même pas attention. Le premier zombie arriva, et il se pris son poing dans la gueule, il ne s'est pas relevé.

Une petite dizaine de zombie s'agglutinait autour de lui.

Un second arriva, BAM, il lui brisa le bras,
un troisième, HOP, il le saisi et le fit tomber sur un quatrième
un derrière, un devant, il sorti un couteau, il planta celui de devant et en un retour de bras celui de derrière.
Un autre s'avança, il se mangea son pied et fini sa course dans une voiture.

Enfin bref, les trois dernier ne lui posèrent guère un grand problème.

Johnny, immobile, ayant contemplé le spectacle, s'avança vers le type.

-Impressionnant !
-Si ça, ça t'impressionne...
-OK :hum:

Le type se baissa et ramassa le couteau de Johnny, puis lui rendit.

-Tien petit, tu risques d'en avoir besoin.
-Ok, mais tu te doute que c'est moi le héros de la fic là ?
-Mouai tu me parles ?
-Heu ouai, c'est quoi ton nom ?
-Moi, c'est Arusse, Max Arusse.
-OK, Max, t'as ton permis j'espère, parce qu'on va pas continuer à pied...


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