Note de la fic :
Assassin's Creed, la vérité
Par : huguesKP59
Genre : Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 6 : La naissance d'un Assassin
Publié le 19/04/2010 à 18:35:26 par huguesKP59
Et voilà la sweet, plus longue mais toujours sans vrai combat, mais ça arrive. J'espère qu'elle vous plaira ;)
[c]Jour 4 : Jeudi 8 novembre 2012 8H30
an 63 avant JC, Rome[/c]
-Aurelius, accepte du de devenir un Assassin, jures-tu de passer ta vie à protéger les libertés du peuple ?
-Je l'accepte
-Aurelius, tu es maintenant un membre de l'ordre des Assassins
Quelques minutes après la cérémonie :
-Hé Aurelius, je te prends comme apprenti, tu m'as l'air prometteur.
-Merci maître Antonius, je vous en suis reconnaissant.
-Allez viens je vais t'apprendre à utiliser une épée
Et voilà, je suis Aurelius, un apprenti Assassin et je vais apprendre à me battre.
-Voilà prends ton épée, tiens la comme ça.... Non pas comme ça, comme ça. Oui c'est parfait. Maintenant tu vois le mannequin là bas ? Frappe le que je voie ta force
Je prends mon épée et frappe de toutes mes forces sur le mannequin
-Pas mal, tu as de la force, mais il te reste encore beaucoup à apprendre. Par exemple évite de mettre toute ta force dans un seul coup, regarde essaye de mettre toute ta force dans un coup, sur moi hein.
Je brandis mon épée et frappe de toutes les forces mon maître, celui ci évite facilement le coup et profite de mon élan pour me déséquilibrer, et me faire tomber.
-Tu vois, essaye de mesurer tes coups.
-Oui maître.
-Bon on va commencer l'entraînement, prêt ?
-Oui
[c]
an 60 avant JC, Rome[/c]
-Aurelius, j'ai une mission test à te confier.
-Je vous écoute maître.
-Il y a un marchant du nom de Antonius dans la ville. Ton objectif est de le trouver. Fais ton enquête et va me voir pour que je te donne l'autorisation de le tuer. Tu pourras me retrouver dans notre bureau, comme d'habitude. Va et sois discret.
-Oui maître.
Bon par où vais-je commencer..... Le marché peut être, sinon je pense que sur le champs de Mars je vais pouvoir trouver des informations. Ensuite il me estera à flâner dans les rues. Je me dirige donc vers le marché principal de la ville. En chemin j'entends le nom de ma cible. Je me retourne et me rapproche de la conversation. Dès qu'ils m'aperçoivent, les hommes se taisent, et s'éloignent. Je décide donc de les suivre à bonen distance. Ils s'arrêtent dans une rue. J'observe rapidement la rue, avant d'apercevoir un banc, où deux personnes sont assises, pensives. Je m'y assois et observe les deux hommes. Je parviens à entendre leur conversation
-Tu es sur qu'on ne nous écoute pas ?
-Mais oui, ne t'inquiète pas mon ami, personne ne nous écoute, tu es un peu trop parano tu sais.
-Oui je sais mais Antonius me fait peur...
-Antonius ? Ah oui ce marchand...
-Oui, tous ceux qui le côtoient ont peur de lui. Il inspire la peur pour dominer le marché au Sud du Champ de Mars...
-Alors c'est grave ! Nous devons en parler au consul. Au Sénat !
-Le grand Cicéron, aussi sage soit-il ne peut pas nous aider, il est bien trop occupé à déjouer les complots du Sénat. Quand aux sénateurs, ils sont déjà corrompus par Antonius. Non, nous sommes seuls maintenant....
-Je vais voir ce que je peux faire, bonne chance mon ami...
-Que la fortune soit avec toi mon ami.
J'en ai suffisamment entendu, je vais faire un tour au Champ de Mars.
-Hé, Marcus, viens ici, chuchote un homme
Je me retourne et observe discrètement les deux hommes qui chuchotent
-Tiens, va porter ce message à un homme près du Temple de Jupiter, il aura une toge avec des liserés violets et fais attention à ce qu'on ne te suive pas.
Ce sera donc un sénateur, intéressant... Je pense que je vais voler cette lettre, ce que je fais discrètement. Tiens une lettre à un sénateur disant la position de son argent. Donc il corrompt bien les sénateurs... Je pense que je vais pouvoir aller voir mon maître.
Chapitre 6 : Une lame dans le marché
An 60 avant JC, Rome
-Ahhhh Aurelius, que me rapportes-tu ?
-J'ai fait mon enquête Maître. Le marchand que nous recherchons, Antonius est un marchand craint des autres marchands. Apparemment il cheche à contrôler le marché au Sud en terrifiant, en menaçant les autres marchands. Il a aussi corrompu des sénateurs. Il y a une chance qu'il fasse un complot contre le consul.
-Un complot contre le consul... Intéressant... Mais logique en même temps, Cicéron veut rendre le pouvoir au peuple entier, et pas seulement aux riches. Les Sénateurs et les riches marchands sont contre.
-Que dois-je faire Maître ?
-L'assassiner bien sûr, tu as bien du imaginer un plan.
-Euh, oui Maître. Demain, il y aura une grande célébration sur le Champ de Mars, Antonius en profitera pour rencontrer des sénateurs dans son marché. Il n'y aura donc pas beaucoup de gardes, juste ses gardes personnels je pense. Je l'assassinerai dans son marché
-Cela me paraît un bon plan, tiens prends la plume, repose toi avant d'agir. Paix et sérénité Aurelius.
-Paix et sérénité Maître.
Le lendemain
Voilà, c'est l'heure. Je me prépare rapidement pour assassiner ce marchand, puis je me mets en route vers le Champ de Mars, je tourne pour aller au marché au Sud. Merde des gardes, je vais devoir passer par les toits, je contourne les gardes, et observe la zone depuis un toit, deux archers surveillent le marché et on peut voir 4 gardes dans le marché. Je me rapproche du toit du premier garde, avant de l'assassiner dans le dos avec ma lame secrète, puis je prends un couteau de lancer avant de le lancer sur le deuxième archer. Celui-ci, surpris titube et essaye de sortir son épée, je ne lui en laisse pas le temps et l'achève d'un coup de lame secrète, puis j'essaye de trouver ma cible dans le marché.
Ah, le voilà, en train de discuter avec un sénateur. Je descends discrètement du toit et entre dans le marché. Après avoir fini sa discussion, le marchand, flâne un peu devant les étals. Je fais mine d'observer un joaillier. Au bout de quelques secondes, Antonius s'approche et regarde l'étalage, j'en profite pour lui enfoncer ma lame secrète dans le ventre. Il s'écroule. Je profite de la surprise générale pour imbiber la plume de son sang avant de m'enfuir grâce à une échelle, je passe par les toits pour semer tous mes poursuivants. Seulement, l'un d'eux reste derrière moi. Après avoir semé tous mes ennemis, je me retourne pour affronter ce garde entêté.
Il sort son épée, moi aussi. J'attaque le premier avec un coup circulaire, il évite le coup avant de me lancer un coup d'épée dans le ventre, mauvais plan. Je réussis à esquiver le coup, mais son épée m'entaille le ventre tout de même. Je recule pour analyser la situation, puis relance le combat avec une feinte vers le bas, il réagit. Aussitôt, je lance mon poing gauche vers son oreille pour l'étourdir. Il esquive légèrement le coup, mais est sonné tout de même. J'en profite pour lancer une série d'attaques rapides à l'épée pour l'empêcher de se reprendre. Je réussis à le désarmer avant de lui enfoncer mon épée dans le ventre.
Voilà, j'ai semé tous mes poursuivants. Il ne me reste plus qu'à rentrer au bureau.
-Aurelius, comment s'est déroulée ta mission ?
-Plutôt bien Maître (je lui montre la plume)
-Parfait. Maintenant, dis moi comment aurais-tu pu améliorer ton résultat. Et ne me dis pas, comme la plupart le font, que tu as été parfait. C'est impossible.
-Je n'en ai pas la prétention, Maître. L'un des gardes, bien plus agile que les autres a réussi à me rattraper, je l'ai affronté mais ma première attaque était stupide. Mais j'en ai été puni, dis-je en montrant ma plaie.
-Bien .... Tu as suffisamment de recul. Tu n'as plus rien à apprendre de moi. Tu vas aller à notre forteresse et apprendre auprès des meilleurs bretteurs de notre ordre. Paix et sérénité mon ami. Prends cette lettre et va voir notre Maître.
-Paix et sérénité Maître.
-Je ne suis plus ton maître. Tu as besoin qui t'entraines à un plus haut niveau
[c]Jour 4 : Jeudi 8 novembre 2012 8H30
an 63 avant JC, Rome[/c]
-Aurelius, accepte du de devenir un Assassin, jures-tu de passer ta vie à protéger les libertés du peuple ?
-Je l'accepte
-Aurelius, tu es maintenant un membre de l'ordre des Assassins
Quelques minutes après la cérémonie :
-Hé Aurelius, je te prends comme apprenti, tu m'as l'air prometteur.
-Merci maître Antonius, je vous en suis reconnaissant.
-Allez viens je vais t'apprendre à utiliser une épée
Et voilà, je suis Aurelius, un apprenti Assassin et je vais apprendre à me battre.
-Voilà prends ton épée, tiens la comme ça.... Non pas comme ça, comme ça. Oui c'est parfait. Maintenant tu vois le mannequin là bas ? Frappe le que je voie ta force
Je prends mon épée et frappe de toutes mes forces sur le mannequin
-Pas mal, tu as de la force, mais il te reste encore beaucoup à apprendre. Par exemple évite de mettre toute ta force dans un seul coup, regarde essaye de mettre toute ta force dans un coup, sur moi hein.
Je brandis mon épée et frappe de toutes les forces mon maître, celui ci évite facilement le coup et profite de mon élan pour me déséquilibrer, et me faire tomber.
-Tu vois, essaye de mesurer tes coups.
-Oui maître.
-Bon on va commencer l'entraînement, prêt ?
-Oui
[c]
an 60 avant JC, Rome[/c]
-Aurelius, j'ai une mission test à te confier.
-Je vous écoute maître.
-Il y a un marchant du nom de Antonius dans la ville. Ton objectif est de le trouver. Fais ton enquête et va me voir pour que je te donne l'autorisation de le tuer. Tu pourras me retrouver dans notre bureau, comme d'habitude. Va et sois discret.
-Oui maître.
Bon par où vais-je commencer..... Le marché peut être, sinon je pense que sur le champs de Mars je vais pouvoir trouver des informations. Ensuite il me estera à flâner dans les rues. Je me dirige donc vers le marché principal de la ville. En chemin j'entends le nom de ma cible. Je me retourne et me rapproche de la conversation. Dès qu'ils m'aperçoivent, les hommes se taisent, et s'éloignent. Je décide donc de les suivre à bonen distance. Ils s'arrêtent dans une rue. J'observe rapidement la rue, avant d'apercevoir un banc, où deux personnes sont assises, pensives. Je m'y assois et observe les deux hommes. Je parviens à entendre leur conversation
-Tu es sur qu'on ne nous écoute pas ?
-Mais oui, ne t'inquiète pas mon ami, personne ne nous écoute, tu es un peu trop parano tu sais.
-Oui je sais mais Antonius me fait peur...
-Antonius ? Ah oui ce marchand...
-Oui, tous ceux qui le côtoient ont peur de lui. Il inspire la peur pour dominer le marché au Sud du Champ de Mars...
-Alors c'est grave ! Nous devons en parler au consul. Au Sénat !
-Le grand Cicéron, aussi sage soit-il ne peut pas nous aider, il est bien trop occupé à déjouer les complots du Sénat. Quand aux sénateurs, ils sont déjà corrompus par Antonius. Non, nous sommes seuls maintenant....
-Je vais voir ce que je peux faire, bonne chance mon ami...
-Que la fortune soit avec toi mon ami.
J'en ai suffisamment entendu, je vais faire un tour au Champ de Mars.
-Hé, Marcus, viens ici, chuchote un homme
Je me retourne et observe discrètement les deux hommes qui chuchotent
-Tiens, va porter ce message à un homme près du Temple de Jupiter, il aura une toge avec des liserés violets et fais attention à ce qu'on ne te suive pas.
Ce sera donc un sénateur, intéressant... Je pense que je vais voler cette lettre, ce que je fais discrètement. Tiens une lettre à un sénateur disant la position de son argent. Donc il corrompt bien les sénateurs... Je pense que je vais pouvoir aller voir mon maître.
Chapitre 6 : Une lame dans le marché
An 60 avant JC, Rome
-Ahhhh Aurelius, que me rapportes-tu ?
-J'ai fait mon enquête Maître. Le marchand que nous recherchons, Antonius est un marchand craint des autres marchands. Apparemment il cheche à contrôler le marché au Sud en terrifiant, en menaçant les autres marchands. Il a aussi corrompu des sénateurs. Il y a une chance qu'il fasse un complot contre le consul.
-Un complot contre le consul... Intéressant... Mais logique en même temps, Cicéron veut rendre le pouvoir au peuple entier, et pas seulement aux riches. Les Sénateurs et les riches marchands sont contre.
-Que dois-je faire Maître ?
-L'assassiner bien sûr, tu as bien du imaginer un plan.
-Euh, oui Maître. Demain, il y aura une grande célébration sur le Champ de Mars, Antonius en profitera pour rencontrer des sénateurs dans son marché. Il n'y aura donc pas beaucoup de gardes, juste ses gardes personnels je pense. Je l'assassinerai dans son marché
-Cela me paraît un bon plan, tiens prends la plume, repose toi avant d'agir. Paix et sérénité Aurelius.
-Paix et sérénité Maître.
Le lendemain
Voilà, c'est l'heure. Je me prépare rapidement pour assassiner ce marchand, puis je me mets en route vers le Champ de Mars, je tourne pour aller au marché au Sud. Merde des gardes, je vais devoir passer par les toits, je contourne les gardes, et observe la zone depuis un toit, deux archers surveillent le marché et on peut voir 4 gardes dans le marché. Je me rapproche du toit du premier garde, avant de l'assassiner dans le dos avec ma lame secrète, puis je prends un couteau de lancer avant de le lancer sur le deuxième archer. Celui-ci, surpris titube et essaye de sortir son épée, je ne lui en laisse pas le temps et l'achève d'un coup de lame secrète, puis j'essaye de trouver ma cible dans le marché.
Ah, le voilà, en train de discuter avec un sénateur. Je descends discrètement du toit et entre dans le marché. Après avoir fini sa discussion, le marchand, flâne un peu devant les étals. Je fais mine d'observer un joaillier. Au bout de quelques secondes, Antonius s'approche et regarde l'étalage, j'en profite pour lui enfoncer ma lame secrète dans le ventre. Il s'écroule. Je profite de la surprise générale pour imbiber la plume de son sang avant de m'enfuir grâce à une échelle, je passe par les toits pour semer tous mes poursuivants. Seulement, l'un d'eux reste derrière moi. Après avoir semé tous mes ennemis, je me retourne pour affronter ce garde entêté.
Il sort son épée, moi aussi. J'attaque le premier avec un coup circulaire, il évite le coup avant de me lancer un coup d'épée dans le ventre, mauvais plan. Je réussis à esquiver le coup, mais son épée m'entaille le ventre tout de même. Je recule pour analyser la situation, puis relance le combat avec une feinte vers le bas, il réagit. Aussitôt, je lance mon poing gauche vers son oreille pour l'étourdir. Il esquive légèrement le coup, mais est sonné tout de même. J'en profite pour lancer une série d'attaques rapides à l'épée pour l'empêcher de se reprendre. Je réussis à le désarmer avant de lui enfoncer mon épée dans le ventre.
Voilà, j'ai semé tous mes poursuivants. Il ne me reste plus qu'à rentrer au bureau.
-Aurelius, comment s'est déroulée ta mission ?
-Plutôt bien Maître (je lui montre la plume)
-Parfait. Maintenant, dis moi comment aurais-tu pu améliorer ton résultat. Et ne me dis pas, comme la plupart le font, que tu as été parfait. C'est impossible.
-Je n'en ai pas la prétention, Maître. L'un des gardes, bien plus agile que les autres a réussi à me rattraper, je l'ai affronté mais ma première attaque était stupide. Mais j'en ai été puni, dis-je en montrant ma plaie.
-Bien .... Tu as suffisamment de recul. Tu n'as plus rien à apprendre de moi. Tu vas aller à notre forteresse et apprendre auprès des meilleurs bretteurs de notre ordre. Paix et sérénité mon ami. Prends cette lettre et va voir notre Maître.
-Paix et sérénité Maître.
-Je ne suis plus ton maître. Tu as besoin qui t'entraines à un plus haut niveau