Note de la fic :
Publié le 01/05/2010 à 18:54:49 par jonyfic
Une sensation étrange, très étrange. C'était comme vivre une vie, en sachant qu'elle n'est pas réel, seulement illusion. Néanmoins, quand on vous brise ce rêve...
Dépressurisation...20%
-Chef ! Chef ! Insuffisance respiratoire !
-Son cœur lâche !
-95 ! 87 ! 72 ! Il est en chute libre !
-Je sais, je sais !
Dépressurisation...50%
Ils étaient là, ils avaient l'air affolés. Pourquoi ? Et pour qui ?
Dépressurisation...70%
-On a plus le choix, on le sort d'ici, tous de suite !
-La dépressurisation n'est pas fini, on va le tuer !
-Si on ne fais rien on va le tuer aussi !
Dépressurisation...Alerte...erreur système...Dépressurisation interrompu...
-Il ne respire plus !
-Défibrillateur V6 ! VITE !
-Le voila !
-Puissance 3.2 !
-Reculez !
-Puissance à 3.5 !
-Reculez !
-Puissance à 4 !
-Vous êtes sûr ?
-Oui, Maintenant, RECULEZ !
-C'est bon, il est sauvé. Lancez le processus de réanimation puis le scan de compétence.
Ce qui semblai être un scientifique se pencha...
-Matricule ... C'est bon, tu es sauvé ... "Hunter 501"...
[c]
Chapitre 3
La chute[/c]
-Bombe IEM confirmé...
-Fait demi tour !
-C'est trop tard !
Je regardai par la porte grand ouvert de l'hélicoptère. C'est alors que je vis l'onde de choc. Je fut le seul à la voir mais tout le monde la ressenti. Une vague de plus d'une centaine de mètre de haut. Et quand elle arrive à vous, dans une lueur jaunâtre presque imperceptible, on la sens très bien, comme une pression sur vous, comme se faire écraser par des centaines de litre d'eau qui s'abat sur vous... C'est être pris dans un torrent de moins d'une seconde tout en restant au même endroit. Mais l'onde de choc n'est pas le plus terrible.
Une fois reprit mes esprits je jetai à nouveau un regard or de l'appareille.
La bombe IEM, sur le papier, une idée efficace, sur le terrain, diablement efficace. Une impulsion électro-magnétic tellement puissante qu'elle grille tout les circuits de n'importe quelle objet électrique. Y comprit nos hélicoptères. C'est d'ailleurs sur les appareille aérien que c'est le plus efficace. Je voyais, un par un, chacun leur tour, les hélicoptères à proximité, tomber comme de vulgaire mouche. Plus d'électricité, plus de contrôle, les hélices ne tournent plus, l'hélicoptère ne vole plus. Les plus chanceux survivent à l'impacte, cela dépend du pilote, et d'autre n'ont pas cette chance. Leur hélico s'écrase avec une tel violence, ou tout simplement, leur réservoir s'enflamme et explose. Heureusement pour moi, j'avais le meilleur pilote et le meilleur capitaine.
-Jason !
-Oui Mac, je sais !
Jason, alors assis près du pilote se jeta à l'arrière de l'hélicoptère.
-Jeff, tien moi !
Je m'exécutait aussi tôt, le tenait Jason par la ceinture. Lui s'allongea et sorti le buste en dehors du véhicule.
-Jeff, ton couteau !
Mais j'était subjuguer par ce qu'il se passait à côté. Les hélicoptères s'arrêtait en l'air, tombaient, puis explosaient... De plus, les hélicoptères tombaient toujours dans un ordre précis, ceux qui était le plus près de l'explosion en premier. Et plus ça se rapprochai, plus mon cœur accélérai.
-Jeff ! JEFF ! Ton couteau, TOUT DE SUITE !
-Euh... Oui, oui...
J'accrochai alors fermement Jason de la main gauche et attrapait avec l'autre main mon couteau, situé sur mon gilet, l'endroit le plus stratégique surement pour un couteau, plus facile à attraper. Mais quand je pose la main sur mon couteau, pour le sortir, c'est toujours une solution désespérer, et là, on pense que le couteau est vraiment mal placé,
puisqu'il se situe juste au dessus du cœur, comme pour nous rappeler notre peur de s'en servir, et ici, la peur que j'avais de mourir.
-Jeff ! TON COUTEAU BORDEL !
-Tien, tien, le voila.
Jason saisi le couteau puis d'un coup sec, le planta dans le réservoir. Il fit plusieurs trou. A chaque coup, il remuait le couteau pour l'élargir. L'essence formai une longue trainé noir. Puis je tirai Jason à nouveau dans l'hélicoptère. Lui, il posa la main sur mon épaule. Il me fixa, ne dit rien, et rangea mon couteau dans son étui. Son regard fut vraiment difficile à décrypter. Était-ce du méprit ? De la compassion ? de la pitié ? ou était-ce juste pour tenter de me rassurer ? Puis il se retourna vers le groupe et lança :
-Si on survit au crash, on devrai s'en sortir.
Mais Nathan avait l'air septique
-C'est toi qui le dit.
Avec le peu d'essence qu'il nous restait, Mac entama une descente rapide, le plus près possible du sol. Plus on sera près du sol, moins la chute sera violente. Les pilote voisin avait s'en doute eu la même idée, mais pas tous. Au loin, on voyait des fuites de carburants, mais les pilotes, pris par le temps, n'eurent pas le temps d'amorcer la descente.
Je posa un dernier regard sur le côté, plus qu deux hélico. Plus qu'un, c'est notre tour...
Le moteur fit un bruit bizarre, les hélices s'arrêtèrent de tourner, mais se ne fut pas le cas de notre véhicule qui entama un virage à 90 degré. Mais Marcus trouva quand même le moment de plaisanter :
-Tu vois Greg, pourquoi on a pas de Blaster ?
-Sans blague !
-25 mètres ! 20 mètres ! 15 mètres ! 10 mètres ! 5 mètre ! IMPACTE !!!
Dépressurisation...20%
-Chef ! Chef ! Insuffisance respiratoire !
-Son cœur lâche !
-95 ! 87 ! 72 ! Il est en chute libre !
-Je sais, je sais !
Dépressurisation...50%
Ils étaient là, ils avaient l'air affolés. Pourquoi ? Et pour qui ?
Dépressurisation...70%
-On a plus le choix, on le sort d'ici, tous de suite !
-La dépressurisation n'est pas fini, on va le tuer !
-Si on ne fais rien on va le tuer aussi !
Dépressurisation...Alerte...erreur système...Dépressurisation interrompu...
-Il ne respire plus !
-Défibrillateur V6 ! VITE !
-Le voila !
-Puissance 3.2 !
-Reculez !
-Puissance à 3.5 !
-Reculez !
-Puissance à 4 !
-Vous êtes sûr ?
-Oui, Maintenant, RECULEZ !
-C'est bon, il est sauvé. Lancez le processus de réanimation puis le scan de compétence.
Ce qui semblai être un scientifique se pencha...
-Matricule ... C'est bon, tu es sauvé ... "Hunter 501"...
[c]
Chapitre 3
La chute[/c]
-Bombe IEM confirmé...
-Fait demi tour !
-C'est trop tard !
Je regardai par la porte grand ouvert de l'hélicoptère. C'est alors que je vis l'onde de choc. Je fut le seul à la voir mais tout le monde la ressenti. Une vague de plus d'une centaine de mètre de haut. Et quand elle arrive à vous, dans une lueur jaunâtre presque imperceptible, on la sens très bien, comme une pression sur vous, comme se faire écraser par des centaines de litre d'eau qui s'abat sur vous... C'est être pris dans un torrent de moins d'une seconde tout en restant au même endroit. Mais l'onde de choc n'est pas le plus terrible.
Une fois reprit mes esprits je jetai à nouveau un regard or de l'appareille.
La bombe IEM, sur le papier, une idée efficace, sur le terrain, diablement efficace. Une impulsion électro-magnétic tellement puissante qu'elle grille tout les circuits de n'importe quelle objet électrique. Y comprit nos hélicoptères. C'est d'ailleurs sur les appareille aérien que c'est le plus efficace. Je voyais, un par un, chacun leur tour, les hélicoptères à proximité, tomber comme de vulgaire mouche. Plus d'électricité, plus de contrôle, les hélices ne tournent plus, l'hélicoptère ne vole plus. Les plus chanceux survivent à l'impacte, cela dépend du pilote, et d'autre n'ont pas cette chance. Leur hélico s'écrase avec une tel violence, ou tout simplement, leur réservoir s'enflamme et explose. Heureusement pour moi, j'avais le meilleur pilote et le meilleur capitaine.
-Jason !
-Oui Mac, je sais !
Jason, alors assis près du pilote se jeta à l'arrière de l'hélicoptère.
-Jeff, tien moi !
Je m'exécutait aussi tôt, le tenait Jason par la ceinture. Lui s'allongea et sorti le buste en dehors du véhicule.
-Jeff, ton couteau !
Mais j'était subjuguer par ce qu'il se passait à côté. Les hélicoptères s'arrêtait en l'air, tombaient, puis explosaient... De plus, les hélicoptères tombaient toujours dans un ordre précis, ceux qui était le plus près de l'explosion en premier. Et plus ça se rapprochai, plus mon cœur accélérai.
-Jeff ! JEFF ! Ton couteau, TOUT DE SUITE !
-Euh... Oui, oui...
J'accrochai alors fermement Jason de la main gauche et attrapait avec l'autre main mon couteau, situé sur mon gilet, l'endroit le plus stratégique surement pour un couteau, plus facile à attraper. Mais quand je pose la main sur mon couteau, pour le sortir, c'est toujours une solution désespérer, et là, on pense que le couteau est vraiment mal placé,
puisqu'il se situe juste au dessus du cœur, comme pour nous rappeler notre peur de s'en servir, et ici, la peur que j'avais de mourir.
-Jeff ! TON COUTEAU BORDEL !
-Tien, tien, le voila.
Jason saisi le couteau puis d'un coup sec, le planta dans le réservoir. Il fit plusieurs trou. A chaque coup, il remuait le couteau pour l'élargir. L'essence formai une longue trainé noir. Puis je tirai Jason à nouveau dans l'hélicoptère. Lui, il posa la main sur mon épaule. Il me fixa, ne dit rien, et rangea mon couteau dans son étui. Son regard fut vraiment difficile à décrypter. Était-ce du méprit ? De la compassion ? de la pitié ? ou était-ce juste pour tenter de me rassurer ? Puis il se retourna vers le groupe et lança :
-Si on survit au crash, on devrai s'en sortir.
Mais Nathan avait l'air septique
-C'est toi qui le dit.
Avec le peu d'essence qu'il nous restait, Mac entama une descente rapide, le plus près possible du sol. Plus on sera près du sol, moins la chute sera violente. Les pilote voisin avait s'en doute eu la même idée, mais pas tous. Au loin, on voyait des fuites de carburants, mais les pilotes, pris par le temps, n'eurent pas le temps d'amorcer la descente.
Je posa un dernier regard sur le côté, plus qu deux hélico. Plus qu'un, c'est notre tour...
Le moteur fit un bruit bizarre, les hélices s'arrêtèrent de tourner, mais se ne fut pas le cas de notre véhicule qui entama un virage à 90 degré. Mais Marcus trouva quand même le moment de plaisanter :
-Tu vois Greg, pourquoi on a pas de Blaster ?
-Sans blague !
-25 mètres ! 20 mètres ! 15 mètres ! 10 mètres ! 5 mètre ! IMPACTE !!!