Note de la fic :
Publié le 01/09/2008 à 14:31:50 par Makaylaylay
Devant sa porte j'hésite. Vais-je pouvoir le faire ? Je respire, longuement. Je fixe la porte durant quelques secondes.
Non, impossible. Je ne peux pas. Je m’apprête à repartir doucement.
* Criii *
- Entre Stéphane. Je t’attendais.
Qu'est-ce que .. Quoi ?! Elle m'attendait ? Bizarre ... Ça doit être l'instinct féminin ! Ce genre de femmes savent toujours quand les hommes reviennent vers elles.
- Comment ça tu m'attendais ? Pourquoi ?
- On peut en discuter à l'intérieur. Rentre.
- Si tu veux.
Je rentre alors dans la chambre. Elle à l'air différente ... En effet; il y a une odeur étrangère, mais pour le moins désagréable. La lumière est dosée, ni trop claire, ni trop sombre. En parlant de lumière, tous les stores sont baissés.
Que se passe-t-il ? Elle veut me tuer ?!
- Dis-moi ... Pourquoi tous ces ... mm .. préparatifs ?
- En fait, quand je suis triste, je me mets souvent à l'aise, dans le plus grand calme possible.
-D'accord ...
Mais cesse d'être sceptique Stéphane !! De toutes façons, si elle veut te tuer, tu es suffisamment fort pour te défendre.
- Assied toi sur le lit, veux tu ?
Ce que je ne tarda pas à faire. Par contre, elle, ne se mit pas à côté de moi. Elle prit une chaise et se positionna en face de moi.
Elle me laissait encore une fois la vue sur sa magnifique poitrine, mais cette fois en peignoir. Je pouvais aussi apercevoir la forme de sont vagin ..
- Stéphane.
- Oui ?
- Voilà. Je n'ai pas été très bonne avec toi, et comme tu l'as dit, je ne suis pas mieux placée pour t'apprendre à vivre. Par contre, j'ai été blessée quant tu as dit que tu n'étais qu'un "objet" pour moi .. C'est Faux.
- Désolé j'étais un peu éner..
- Tais-toi.
Elle me coupa la parole. Elle se leva et retira son peignoir. Elle était nue face à moi, et mon pénis se dressa d'un coup ...
- C'est moi ton objet. Fais moi ce que tu veux.
Elle se coucha sur moi et m'embrassa tendrement le cou. Je profitais pour la maintenir par les fesses, que je malaxais lentement.
- Déshabille toi.
Pendant que je retirais mon t-shirt, elle s'occupait de mon short et de mon boxer. Je me retrouvais, en à peine une minute, aussi nu qu'elle.
Elle commença par me lécher le gland. Elle descendait légèrement de bas en haut, avant d'attaquer toute ma verge. C'était magique. Elle l'engloutissait, dans toute sa longueur, en faisant attention à prendre tout. Mes testicules ne furent pas à part, puisque Maude, avec sa longue et fine langue, les chatouillait doucement.
- Assez.
Elle remonta sur moi, et me fixa longuement. C'est yeux m'intriguais. Je ferais tout pour fuir ce regard, malicieux, rempli d'envie et aussi de haine. Je la pris par le cou, et l'embrassa langoureusement. Avant de s'allonger, l'un sur l'autre. J'empoignais ces seins, que je malaxais, bougeais et caressais. Je mordillais légèrement ses tétons, et elle ne se retint pas pour gémir, assez lourdement.
Pendant que je "jouais" avec sa merveilleuse poitrine, elle me branlait avec vigueur, tout en se caressant le clitoris.
Je n'aurais jamais cru que j'aurais cédé aussi facilement. Mais lorsqu'une créature, que l'on croise une fois tous les siècles, vous dit qu'elle est entièrement à vous, c'est dût de résister !
Après cet amusement mutuelle, on reprit un long baiser fougueux. Je n'allais pas baiser. J'allais faire l'amour. Tout ce terme prenait un sens. Ces longues caresses, baisers .. C'était plus qu'un simple envoi en l'air. On le fait avec sensualité, douceur, et surtout, on ne se presse pas.
- Stéphane ?
- Oui ?
- Euuh .. Non laisse tomber.
Qu'est-ce qu'elle voulait me dire ? En tout cas, elle semblait légèrement intriguée. Mais ne me laissa pas la temps de me poser des questions, puisqu'elle repris notre long baiser. Elle caressait mes abdos. C'est vrai que mon physique change de celui de mon père.
Je commençais alors à enfoncer doucement mon pénis dans sa chatte. L'air était très chaud, elle le parfum donnait à tout ce monde un aspect romantique ... Je commençais légèrement les va-et-viens. Avant d'accélérer le pas. C'était une sorte de graduation. Elle gémissait, et cette fois, me regardait, mais avec envie. Je sentais ( savais ? ) que je lui faisais plaisir. Et moi aussi, je me faisais plaisir !!
Plus j'allais et plus elle gémissait, se réchauffait, et durcissait ses membres. Elle me tenait très fort, me griffais même. Notre plaisir était à son apogée. Elle allait surement avoir un orgasme. Elle commençait à crier ! GG !
* Criii *
- Stéphane ?! Maude ????????!!!!!!!!!!!!!!!
... Merde. Mon père ...
Non, impossible. Je ne peux pas. Je m’apprête à repartir doucement.
* Criii *
- Entre Stéphane. Je t’attendais.
Qu'est-ce que .. Quoi ?! Elle m'attendait ? Bizarre ... Ça doit être l'instinct féminin ! Ce genre de femmes savent toujours quand les hommes reviennent vers elles.
- Comment ça tu m'attendais ? Pourquoi ?
- On peut en discuter à l'intérieur. Rentre.
- Si tu veux.
Je rentre alors dans la chambre. Elle à l'air différente ... En effet; il y a une odeur étrangère, mais pour le moins désagréable. La lumière est dosée, ni trop claire, ni trop sombre. En parlant de lumière, tous les stores sont baissés.
Que se passe-t-il ? Elle veut me tuer ?!
- Dis-moi ... Pourquoi tous ces ... mm .. préparatifs ?
- En fait, quand je suis triste, je me mets souvent à l'aise, dans le plus grand calme possible.
-D'accord ...
Mais cesse d'être sceptique Stéphane !! De toutes façons, si elle veut te tuer, tu es suffisamment fort pour te défendre.
- Assied toi sur le lit, veux tu ?
Ce que je ne tarda pas à faire. Par contre, elle, ne se mit pas à côté de moi. Elle prit une chaise et se positionna en face de moi.
Elle me laissait encore une fois la vue sur sa magnifique poitrine, mais cette fois en peignoir. Je pouvais aussi apercevoir la forme de sont vagin ..
- Stéphane.
- Oui ?
- Voilà. Je n'ai pas été très bonne avec toi, et comme tu l'as dit, je ne suis pas mieux placée pour t'apprendre à vivre. Par contre, j'ai été blessée quant tu as dit que tu n'étais qu'un "objet" pour moi .. C'est Faux.
- Désolé j'étais un peu éner..
- Tais-toi.
Elle me coupa la parole. Elle se leva et retira son peignoir. Elle était nue face à moi, et mon pénis se dressa d'un coup ...
- C'est moi ton objet. Fais moi ce que tu veux.
Elle se coucha sur moi et m'embrassa tendrement le cou. Je profitais pour la maintenir par les fesses, que je malaxais lentement.
- Déshabille toi.
Pendant que je retirais mon t-shirt, elle s'occupait de mon short et de mon boxer. Je me retrouvais, en à peine une minute, aussi nu qu'elle.
Elle commença par me lécher le gland. Elle descendait légèrement de bas en haut, avant d'attaquer toute ma verge. C'était magique. Elle l'engloutissait, dans toute sa longueur, en faisant attention à prendre tout. Mes testicules ne furent pas à part, puisque Maude, avec sa longue et fine langue, les chatouillait doucement.
- Assez.
Elle remonta sur moi, et me fixa longuement. C'est yeux m'intriguais. Je ferais tout pour fuir ce regard, malicieux, rempli d'envie et aussi de haine. Je la pris par le cou, et l'embrassa langoureusement. Avant de s'allonger, l'un sur l'autre. J'empoignais ces seins, que je malaxais, bougeais et caressais. Je mordillais légèrement ses tétons, et elle ne se retint pas pour gémir, assez lourdement.
Pendant que je "jouais" avec sa merveilleuse poitrine, elle me branlait avec vigueur, tout en se caressant le clitoris.
Je n'aurais jamais cru que j'aurais cédé aussi facilement. Mais lorsqu'une créature, que l'on croise une fois tous les siècles, vous dit qu'elle est entièrement à vous, c'est dût de résister !
Après cet amusement mutuelle, on reprit un long baiser fougueux. Je n'allais pas baiser. J'allais faire l'amour. Tout ce terme prenait un sens. Ces longues caresses, baisers .. C'était plus qu'un simple envoi en l'air. On le fait avec sensualité, douceur, et surtout, on ne se presse pas.
- Stéphane ?
- Oui ?
- Euuh .. Non laisse tomber.
Qu'est-ce qu'elle voulait me dire ? En tout cas, elle semblait légèrement intriguée. Mais ne me laissa pas la temps de me poser des questions, puisqu'elle repris notre long baiser. Elle caressait mes abdos. C'est vrai que mon physique change de celui de mon père.
Je commençais alors à enfoncer doucement mon pénis dans sa chatte. L'air était très chaud, elle le parfum donnait à tout ce monde un aspect romantique ... Je commençais légèrement les va-et-viens. Avant d'accélérer le pas. C'était une sorte de graduation. Elle gémissait, et cette fois, me regardait, mais avec envie. Je sentais ( savais ? ) que je lui faisais plaisir. Et moi aussi, je me faisais plaisir !!
Plus j'allais et plus elle gémissait, se réchauffait, et durcissait ses membres. Elle me tenait très fort, me griffais même. Notre plaisir était à son apogée. Elle allait surement avoir un orgasme. Elle commençait à crier ! GG !
* Criii *
- Stéphane ?! Maude ????????!!!!!!!!!!!!!!!
... Merde. Mon père ...
Commentaires
- Coward-
03/03/2012 à 05:18:26
Ca fait 4 ans, 4 années que j'attends cette foutue sweet
- Asgard
09/01/2012 à 21:39:55
LA SWEET
- Mattia-omG
15/09/2011 à 22:42:08
LA SWEET JE BANDE ;D mdr
- chrastokon
13/06/2011 à 01:17:36
^_^
- chrastokon
13/06/2011 à 01:17:23
^^ jerry du spottage final
- Onch-Garou
13/01/2011 à 13:23:55
OMG Sweet j'ai ador et aimerais connatre la fin m'voitu
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 18:49:34
Sweet
- Pseudo supprimé
24/04/2009 à 09:30:44
Putain la sweet !