Note de la fic : Non notée
Publié le 02/03/2010 à 20:31:35 par ParadiseCity
C'était une petite voiture grise genre voiture de papy de 85ans.
La vitre se baissa et une femme très laide, grosse et très mal habillée me demanda avec un fort accent allemand et une haleine qui sent bon la choucroute et la bière ma destination.
Je lui répondis Paris, Gare de Lyon.
Elle accepta.
J'esperais qu'elle n'était pas trop chiante, genre mamie gateau qui allait me raconter sa vie pendant quatre heures, le truc que j'en ai strictement rien à foutre quoi.
Ou alors le genre de femme 4 quart (un quart femme, un quart homme, un quart animal, un quart paté en croute ), qui m'aurais à moitié harcelé sexuellement.
Heureusement que j'avais pensé à prendre une arme redoutable : un tire-bouchon William Saurin, vendu avec le lot de cinq boites de cassoulet !
Enfin, je me trompais sur son compte...
En fait, c'était plutôt le genre artiste.
Angela (c'était son nom) était photographe libérale, et parcourait la planète de long en large afin de prendre le cliché "choc", le genre de photo qui pourrait faire chialer même une wesh devant sa meuf (WTF ?!!).
Le genre de photo avec un petit haitien en train de dériver lentement dans une caisse en bois au milieu des cadavres de sa famille, devant les restes de sa maison détruite, le gamin n'ayant pas mangé depuis deux semaines, et entrain de se faire violer par une mouette.
Elle me montra quelques unes de ses photos cachées dans sa boite à gant : une photo du dernier concert de Mickael Jackson (Collector), une d'un abbatoir mexicain servant à fournir Mac Donald et proposant de la viande remplie de merde dans les hamburgers (authentique, renseignez vous !), ou encore un hopital psychiatre en Asie.
Enfin bref, Angela était plutôt sympa, et le voyage se passa rapidement et sans emcombre.
Elle ne me posa aucune question pour savoir qui j'étais et pourquoi je faisais du stop comme ça comme un gland.
Heureusement quoi.
Enfin, on arriva en vue du boulevard périphérique de la capitale.
La vitre se baissa et une femme très laide, grosse et très mal habillée me demanda avec un fort accent allemand et une haleine qui sent bon la choucroute et la bière ma destination.
Je lui répondis Paris, Gare de Lyon.
Elle accepta.
J'esperais qu'elle n'était pas trop chiante, genre mamie gateau qui allait me raconter sa vie pendant quatre heures, le truc que j'en ai strictement rien à foutre quoi.
Ou alors le genre de femme 4 quart (un quart femme, un quart homme, un quart animal, un quart paté en croute ), qui m'aurais à moitié harcelé sexuellement.
Heureusement que j'avais pensé à prendre une arme redoutable : un tire-bouchon William Saurin, vendu avec le lot de cinq boites de cassoulet !
Enfin, je me trompais sur son compte...
En fait, c'était plutôt le genre artiste.
Angela (c'était son nom) était photographe libérale, et parcourait la planète de long en large afin de prendre le cliché "choc", le genre de photo qui pourrait faire chialer même une wesh devant sa meuf (WTF ?!!).
Le genre de photo avec un petit haitien en train de dériver lentement dans une caisse en bois au milieu des cadavres de sa famille, devant les restes de sa maison détruite, le gamin n'ayant pas mangé depuis deux semaines, et entrain de se faire violer par une mouette.
Elle me montra quelques unes de ses photos cachées dans sa boite à gant : une photo du dernier concert de Mickael Jackson (Collector), une d'un abbatoir mexicain servant à fournir Mac Donald et proposant de la viande remplie de merde dans les hamburgers (authentique, renseignez vous !), ou encore un hopital psychiatre en Asie.
Enfin bref, Angela était plutôt sympa, et le voyage se passa rapidement et sans emcombre.
Elle ne me posa aucune question pour savoir qui j'étais et pourquoi je faisais du stop comme ça comme un gland.
Heureusement quoi.
Enfin, on arriva en vue du boulevard périphérique de la capitale.
Commentaires
- Droran
03/03/2010 à 00:05:08
Trop court, mais suite