Note de la fic :
Publié le 16/02/2010 à 21:38:06 par GoldFox
Même remarque pour le poème précédent. Même si j'ai beau toujours aborder le même thème un peu niais, c'est ce dernier qui rend mes anciens écrits... plutôt désagréables à lire pour moi.
Derrière la sylve fraîche, je vois deux lucarnes
Ornées de superbes mosaïques, et menant droit vers ton âme
Deux rayons bleus ciel illuminant le plus nocturne des bois
Capables de percer, puis figer le cœur d'un homme en émoi
Et offrant une vision de vie et d'épopée vers les cieux
Tandis que toi, de ton charme perçant, tu ne vois que mes simples yeux.
Sous l'éblouissant crépuscule, je vois une rivières
Qui devient sublime lorsque l'air s'allie avc la terre
Où découle les plus belles de tes formes et de mes rêves
Des cascades, une vallée, redonnant vie à Adam et Eve
Un jardin d'Eden formant une main, des jambes à la valeur d'or
Tandis que toi, au sommet de ta beauté, tu ne vois que mon simple corps.
A l'aube de chaque jour, je vois les rayons du Soleil
Éblouissant les plaines à la verdure sans pareille
Chacun de tes lueurs insufflant la vie
Chassant les entraves et bannissant les pluies
Une longue crinière aux reflets dorés et azur
Tandis que toi, de toute ta grâce, tu ne vois que ma simple chevelure.
Je tend mes mains pour te prendre dans mes bras
Mais tu t'effrites et devient vent au contact de mes doigts
J'aimerais contrôler le temps et revivre le passé cent fois
Mais je vis le présent et pense l'avant loin de toi.
Et s'il faut écrire pour te consoler et essuyer tes larmes
Alors les miennes continueront de couler sous la plume de mon âme.
Derrière la sylve fraîche, je vois deux lucarnes
Ornées de superbes mosaïques, et menant droit vers ton âme
Deux rayons bleus ciel illuminant le plus nocturne des bois
Capables de percer, puis figer le cœur d'un homme en émoi
Et offrant une vision de vie et d'épopée vers les cieux
Tandis que toi, de ton charme perçant, tu ne vois que mes simples yeux.
Sous l'éblouissant crépuscule, je vois une rivières
Qui devient sublime lorsque l'air s'allie avc la terre
Où découle les plus belles de tes formes et de mes rêves
Des cascades, une vallée, redonnant vie à Adam et Eve
Un jardin d'Eden formant une main, des jambes à la valeur d'or
Tandis que toi, au sommet de ta beauté, tu ne vois que mon simple corps.
A l'aube de chaque jour, je vois les rayons du Soleil
Éblouissant les plaines à la verdure sans pareille
Chacun de tes lueurs insufflant la vie
Chassant les entraves et bannissant les pluies
Une longue crinière aux reflets dorés et azur
Tandis que toi, de toute ta grâce, tu ne vois que ma simple chevelure.
Je tend mes mains pour te prendre dans mes bras
Mais tu t'effrites et devient vent au contact de mes doigts
J'aimerais contrôler le temps et revivre le passé cent fois
Mais je vis le présent et pense l'avant loin de toi.
Et s'il faut écrire pour te consoler et essuyer tes larmes
Alors les miennes continueront de couler sous la plume de mon âme.
Commentaires
- -AtantoinE-
17/02/2010 à 12:51:28
Encore merci !
Et bien pour te répondre, j'aurai 17 ans le 8 mars. Mais j'écris depuis que je suis tout petit, des petites histoires, des nouvelles... Pour la poésie, par contre, c'est venu bien plus tard.
Quant au nombre de pied des vers, je ne me limite jamais, c'est complétement libre. - Aym
17/02/2010 à 11:13:24
Pareil que mon VDD, tu écris très bien hmm une question ( voire deux en fait ) :
-Tu as quel âge ( faut avoir quand même une certaine maîtrise de la poésie pour écrire de la poésie et celle ci se compte en année ) ?
-Ecris-tu en Alexandrin ? (en forme de Sonnet par exemple ) - Poilamazout
16/02/2010 à 23:22:26
Meme si le sujet te plait pas , t'écris super bien .
GG !!!