Note de la fic :
Publié le 14/05/2009 à 20:03:38 par ArtShoot
1 : Naissance, plus ou moins neutre
Chaud
Ca fait trois mois que vous vivez dans cette moiteur, cette poche sans couleurs qui palpite.
Bom-bom Bom-bom.
Et alors que vous pensiez que vous alliez y rester, dans ce truc chaud, confortable et bien approvisionné, il se passe quelque chose. Tout se resserre autour de vous, vous avez mal, vous vous débattez comme vous pouvez mais vous êtes irrésistiblement attiré vers le bas. Vous ne savez pas ce que c’est de chier mais ça fait chier quand même tout ça (">
Vous passez dans un conduit apparemment pas étudié pour que vous y passiezmais bon on fait avec ce qu’on a et si vous êtes pas content go=>SAV ok ?
Vous n’aviez jusque là jamais rien entendu d’autre que des battements, mais ça vient de changer et ce que vous entendez là est traumatisant : des cris, des geignements et tout un bordel de sons non identifiés qui vous font peur .
Vous sentez le vide en dessous de vous. Newton ? ça vous dit rien, mais vous sentez au fond de vous qu’en aucun cas se daller la tête la première sera bon pour vous. Instinctivement, vous prenez une grande inspiration afin de gueuler comme un con pour dire que vous êtes vénèr’ weshhhhhhhhh (">
Vous avez complètement zappé le fait que vous n’aviez jamais respiré, mais ne vous inquiétez pas, les douleurs dans votre cage thoracique sont là pour vous le rappeler
Dieu devait vraiment être bourré quand il a inventé la douleur, ça ne sert qu’à vous faire gueuler encore plus fort.
En plus, un mec que vous ne connaissez pas le moins du monde vous chope et se met dans la tête de vous envoyer des taloches dans l’arrière train
Vous avez une folle envie de lui dire :
-Bonjour, le simple fait que vous me tapiez dans les fessiers m’oblige à pousser des cris stridents qui vrillent vos oreilles autant que celles des autres personnes présentes, alors ce que je vous propose, c’est d’arrêter vos conneries avant que j’éclate toutes les vitres de votre maternité en mousse, okay ?
Mais vous n’arrivez qu’à crier. Vous le faîtes encore 5 minutes et puis ça vous lasse alors vous arrêtez.
Ce moment de silence est celui que choisit Robert(il s’appelle pas comme ça mais il aime toucher les fesses des petits enfants) pour vous déposer dans les bras de celle qui vous accompagnera toute votre vie.
Ses bras sont tièdes, doux et acceuillants alors vous vous décidez a ouvrir les yeux pour regarder votre génitrice…
Alors, pour la suite ? ou ?
Chaud
Ca fait trois mois que vous vivez dans cette moiteur, cette poche sans couleurs qui palpite.
Bom-bom Bom-bom.
Et alors que vous pensiez que vous alliez y rester, dans ce truc chaud, confortable et bien approvisionné, il se passe quelque chose. Tout se resserre autour de vous, vous avez mal, vous vous débattez comme vous pouvez mais vous êtes irrésistiblement attiré vers le bas. Vous ne savez pas ce que c’est de chier mais ça fait chier quand même tout ça (">
Vous passez dans un conduit apparemment pas étudié pour que vous y passiezmais bon on fait avec ce qu’on a et si vous êtes pas content go=>SAV ok ?
Vous n’aviez jusque là jamais rien entendu d’autre que des battements, mais ça vient de changer et ce que vous entendez là est traumatisant : des cris, des geignements et tout un bordel de sons non identifiés qui vous font peur .
Vous sentez le vide en dessous de vous. Newton ? ça vous dit rien, mais vous sentez au fond de vous qu’en aucun cas se daller la tête la première sera bon pour vous. Instinctivement, vous prenez une grande inspiration afin de gueuler comme un con pour dire que vous êtes vénèr’ weshhhhhhhhh (">
Vous avez complètement zappé le fait que vous n’aviez jamais respiré, mais ne vous inquiétez pas, les douleurs dans votre cage thoracique sont là pour vous le rappeler
Dieu devait vraiment être bourré quand il a inventé la douleur, ça ne sert qu’à vous faire gueuler encore plus fort.
En plus, un mec que vous ne connaissez pas le moins du monde vous chope et se met dans la tête de vous envoyer des taloches dans l’arrière train
Vous avez une folle envie de lui dire :
-Bonjour, le simple fait que vous me tapiez dans les fessiers m’oblige à pousser des cris stridents qui vrillent vos oreilles autant que celles des autres personnes présentes, alors ce que je vous propose, c’est d’arrêter vos conneries avant que j’éclate toutes les vitres de votre maternité en mousse, okay ?
Mais vous n’arrivez qu’à crier. Vous le faîtes encore 5 minutes et puis ça vous lasse alors vous arrêtez.
Ce moment de silence est celui que choisit Robert(il s’appelle pas comme ça mais il aime toucher les fesses des petits enfants) pour vous déposer dans les bras de celle qui vous accompagnera toute votre vie.
Ses bras sont tièdes, doux et acceuillants alors vous vous décidez a ouvrir les yeux pour regarder votre génitrice…
Alors, pour la suite ? ou ?
Commentaires
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 20:29:30
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 20:29:10
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 20:28:59
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 20:28:45
- O_one
16/05/2009 à 20:28:30
- Pseudo supprimé
16/05/2009 à 19:57:33
je vote !
- Droran
16/05/2009 à 11:53:08
Second chapitre ?
- neilujjulien
15/05/2009 à 19:48:47
:demon: - Pseudo supprimé
15/05/2009 à 16:30:52
Ca a l'air pas mal ... - hui
14/05/2009 à 21:46:38
Moi mon médecin générale s'appelle Robert
[no fake ] - Roi-Raclure
14/05/2009 à 21:31:44
:devil:
- Droran
14/05/2009 à 21:22:31
suite. - Pseudo supprimé
14/05/2009 à 21:15:32
moi je dit (j'imagine bien la tronche de la mère si ya des en masse )
- Pseudo supprimé
14/05/2009 à 21:11:39
Je pressens une bonne fic si tu continues, le début est déjà drôle. - Pseudo supprimé
14/05/2009 à 20:36:55