Note de la fic : Non notée
Publié le 08/02/2010 à 23:06:34 par ]hapi[
Chapitre 7 : Rencontre Attendue
Une prairie verdoyante à perte de vue venait interrompre la supériorité écrasante de la forêt, au milieu, une habitation s'étendant sur 2 étages. Dedans, s'était installé un élève. Pingu, USP dans la poche, prêt à dégainé à n'importe qu'elle menace.
Sa stratégie est des plus simples. On reste là, tranquillement cul sur le sofa, qui est miteux au passage, et on intervient au bon moment. Sauf que voilà, même les meilleurs plans ne sont pas infaillible; en effet, il fallait bien que quelqu'un aie l'idée de visité ce petit manoir. La porte s'ouvrit ; Pingu eu peur. Il ne s'y attendait pas, il prit son arme et monta à l'étage, directement. Il voyait une masse qui s'approchait alors des escaliers, tout en restant dans l'angle. Pingu pris la parole :
« - Qui va là ? »
« - C'est moi Pipichaud, et toi qui t'es … ? »
« - OH ! On va s'amusé mon petit gars. »
« C'toi Pingu ? Ecoute, je tenais à m'excuser pour ta copine, tu sais, pas ma faute si j'ai du charme. »
« - Mais ta gueule un peu, casse toi ou je te plombe, fils de bouseux. »
« - Ah ouais ? Tu vas voir de quoi je suis capable. »
Pipichaud monta les escaliers, en joue par Pingu. Ce dernier hésita au tir ; c'est ce qui bascula la situation. Pipichaud lança son oeuf pourri droit dans la face de Pingu ; Voilà maintenant qu'il était aveuglé et envahi d'une odeur nauséabonde, il tira en rafale devant lui ; il ne toucha pas Pipichaud. En revanche ce dernier lui envoya un magistral coup de casserole sur la tête, Pingu s'écroula sur le sol, toujours conscient, sa vue n'était plus entravé, mais l'odeur était insupportable. Pipichaud se plaça au dessus du corps de Pingu, il allait tirer, c'était fini pour Pingu. Seulement voilà, comme d'habitude, Pipichaud se vanta.
« - Non seulement j'me suis fait ton ex, mais en plus je vais te buté en toute légalité. »
Dommage, il n'eut pas le temps de pressé la détente de l'instrument de mort. Pingu lui envoya un coup de pied dans l'entre jambe, Pipichaud tira sur Pingu ; un clic résonna tel le désespoir. En effet, quand Pingu avait tiré en rafale, ce n'était pas principalement pour toucher Pipichaud. Non, il avait vidé le chargeur pour un cas tel que celui-ci ! Quelle intelligence, Pipichaud ne pouvait rivalisé. Pingu enchaîna en lui balançant son pied dans la main tenant l'arme, elle partit plus loin. Pipichaud se tenait l'entre jambe, il était incapable de bouger. Pingu ramassa tranquillement l'arme, et rechargea.
« - Je pourrais te flingué là, maintenant, mais je ne le ferrais pas, et tu sais pourquoi ? Parce que je veux que tu souffre et que tu agonises. »
Pingu tira une balle dans la jambe gauche.
« - Ça, c'est pour mon ex. »
Pingu tira une autre balle dans la jambe droite.
« - Ça, c'est pour être venu m'emmerder. »
Sous les plaintes de douleurs qu'hurlait Pipichaud, que Pingu sortit du manoir, prêt à se trouver une autre cachette, fier d'avoir détruit les jambes de son grand rival en toute légalité.
Une prairie verdoyante à perte de vue venait interrompre la supériorité écrasante de la forêt, au milieu, une habitation s'étendant sur 2 étages. Dedans, s'était installé un élève. Pingu, USP dans la poche, prêt à dégainé à n'importe qu'elle menace.
Sa stratégie est des plus simples. On reste là, tranquillement cul sur le sofa, qui est miteux au passage, et on intervient au bon moment. Sauf que voilà, même les meilleurs plans ne sont pas infaillible; en effet, il fallait bien que quelqu'un aie l'idée de visité ce petit manoir. La porte s'ouvrit ; Pingu eu peur. Il ne s'y attendait pas, il prit son arme et monta à l'étage, directement. Il voyait une masse qui s'approchait alors des escaliers, tout en restant dans l'angle. Pingu pris la parole :
« - Qui va là ? »
« - C'est moi Pipichaud, et toi qui t'es … ? »
« - OH ! On va s'amusé mon petit gars. »
« C'toi Pingu ? Ecoute, je tenais à m'excuser pour ta copine, tu sais, pas ma faute si j'ai du charme. »
« - Mais ta gueule un peu, casse toi ou je te plombe, fils de bouseux. »
« - Ah ouais ? Tu vas voir de quoi je suis capable. »
Pipichaud monta les escaliers, en joue par Pingu. Ce dernier hésita au tir ; c'est ce qui bascula la situation. Pipichaud lança son oeuf pourri droit dans la face de Pingu ; Voilà maintenant qu'il était aveuglé et envahi d'une odeur nauséabonde, il tira en rafale devant lui ; il ne toucha pas Pipichaud. En revanche ce dernier lui envoya un magistral coup de casserole sur la tête, Pingu s'écroula sur le sol, toujours conscient, sa vue n'était plus entravé, mais l'odeur était insupportable. Pipichaud se plaça au dessus du corps de Pingu, il allait tirer, c'était fini pour Pingu. Seulement voilà, comme d'habitude, Pipichaud se vanta.
« - Non seulement j'me suis fait ton ex, mais en plus je vais te buté en toute légalité. »
Dommage, il n'eut pas le temps de pressé la détente de l'instrument de mort. Pingu lui envoya un coup de pied dans l'entre jambe, Pipichaud tira sur Pingu ; un clic résonna tel le désespoir. En effet, quand Pingu avait tiré en rafale, ce n'était pas principalement pour toucher Pipichaud. Non, il avait vidé le chargeur pour un cas tel que celui-ci ! Quelle intelligence, Pipichaud ne pouvait rivalisé. Pingu enchaîna en lui balançant son pied dans la main tenant l'arme, elle partit plus loin. Pipichaud se tenait l'entre jambe, il était incapable de bouger. Pingu ramassa tranquillement l'arme, et rechargea.
« - Je pourrais te flingué là, maintenant, mais je ne le ferrais pas, et tu sais pourquoi ? Parce que je veux que tu souffre et que tu agonises. »
Pingu tira une balle dans la jambe gauche.
« - Ça, c'est pour mon ex. »
Pingu tira une autre balle dans la jambe droite.
« - Ça, c'est pour être venu m'emmerder. »
Sous les plaintes de douleurs qu'hurlait Pipichaud, que Pingu sortit du manoir, prêt à se trouver une autre cachette, fier d'avoir détruit les jambes de son grand rival en toute légalité.