Note de la fic : Non notée
Publié le 08/02/2010 à 23:33:52 par ]hapi[
Chapitre 23 : Complexe.
Ils n'étaient plus que six à présent : l'étau se resserre. L'issue se fait de plus en plus certaine : Ils allaient se battre, mais un seul survivra, qui tiendra le coup ? Qui gagnera ?
Graal reprenait lentement conscience. Son bras droit était endoloris, et tenait, de sa main gauche, fermement l'assurance de sa vie : Le Jackhammer de son adversaire, PseudoCisla. Celui-ci vivait en paix désormais, le corps se décomposant au gré des vagues. Sa tête bourdonnait, il se rappelait très bien de ce qu'il avait fait : Il avait abattu froidement PseudoCisla, qui s'est érigé sur son chemin. Il reprit la route cette fois, mais blessé : Le port n'attendait que lui.
Une troisième personne arrivait vers le port, depuis la forêt... Buikikaesu avançait prudemment, surveillé par Komcbo, qui n'intervenait toujours pas. Pingu entendu des bruits, il se pencha, et ne se posa pas de question lorsqu'il trouva la source : Buikikaesu. Il tira à deux reprises, mais le rata, il était un peu loin aussi, Pingu s'était précipité. Buikikaesu réagit au quart de tour et alla derrière les arbres, de là ou il venait. Il tira avec la mitrailleuse vers le port ; Pingu se rendit compte que son abri n'était pas solide. Les balles traversèrent le mur et s'encastrèrent dans l'autre mur. Du coup, Pingu bougea, il sortit du hangar sous le feu nourri, et alla se cacher derrière un rocher.
Komcbo regardait la situation qui stagnait. Apparemment, rien allait changer sans une intervention extérieure... Cependant, il ne faisait toujours rien, sur le qui vive.
RoiOnche entendait les coups de feu, et approchait prudemment. Il remarqua la scène. Il voyait un homme, de dos, qui tirait avec son arme sur les arbres d'en face. RoiOnche regrettait d'avance ce qu'il allait faire. Il était faible, et tirer comme ça, sur quelqu'un, le répugnait. Il visa calmement le torse du personnage, il ferma les yeux et tira une balle : mouche. Il toucha le bras gauche de Pingu qui ne s'y attendait vraiment, mais vraiment pas. Il hurla de douleur, déchirant la routine des bruits de balles. Buikikaesu ne comprenait pas ; il en profita pour battre en retraite, un peu plus loin. Il reviendrait plus tard.
Pingu se retourna, enragé. RoiOnche ne savait pas quoi faire, il recula lentement, il trébucha, et tomba. Pingu courut vers lui, et il reconnu l'homme, celui qu'il avait épargné... Ce lâche l'avait attaqué. Pingu écrasa sa main qui tenait la Gewehr, il la lâcha.
« - Dire que je t'ai épargné... Le destin t’a rattrapé. »
Pingu lui vida froidement le chargeur dans le buffet, sans laisser RoiOnche se justifier. La seule balle qu'il aura tirée, lui aura été fatale.
« - Excuse moi, je t'emprunte ceci. »
Pingu ramassa la Gewehr, son bras souffrait, mais il ne pouvait pas se laisser aller. Il se rappella de son premier adversaire : Buikikaesu. Il tira dans les arbres quelques balles ; aucune riposte. Il avait fui.
Pingu se traîna jusqu'au rocher. La fin approchait.
Et, non loin de là, Gamer avançait vers le port, remplit d'une rage débordante avec une obsession : gagner, et Graal lui, se traînait au port lui aussi, exténué, et affaibli...
Ils n'étaient plus que six à présent : l'étau se resserre. L'issue se fait de plus en plus certaine : Ils allaient se battre, mais un seul survivra, qui tiendra le coup ? Qui gagnera ?
Graal reprenait lentement conscience. Son bras droit était endoloris, et tenait, de sa main gauche, fermement l'assurance de sa vie : Le Jackhammer de son adversaire, PseudoCisla. Celui-ci vivait en paix désormais, le corps se décomposant au gré des vagues. Sa tête bourdonnait, il se rappelait très bien de ce qu'il avait fait : Il avait abattu froidement PseudoCisla, qui s'est érigé sur son chemin. Il reprit la route cette fois, mais blessé : Le port n'attendait que lui.
Une troisième personne arrivait vers le port, depuis la forêt... Buikikaesu avançait prudemment, surveillé par Komcbo, qui n'intervenait toujours pas. Pingu entendu des bruits, il se pencha, et ne se posa pas de question lorsqu'il trouva la source : Buikikaesu. Il tira à deux reprises, mais le rata, il était un peu loin aussi, Pingu s'était précipité. Buikikaesu réagit au quart de tour et alla derrière les arbres, de là ou il venait. Il tira avec la mitrailleuse vers le port ; Pingu se rendit compte que son abri n'était pas solide. Les balles traversèrent le mur et s'encastrèrent dans l'autre mur. Du coup, Pingu bougea, il sortit du hangar sous le feu nourri, et alla se cacher derrière un rocher.
Komcbo regardait la situation qui stagnait. Apparemment, rien allait changer sans une intervention extérieure... Cependant, il ne faisait toujours rien, sur le qui vive.
RoiOnche entendait les coups de feu, et approchait prudemment. Il remarqua la scène. Il voyait un homme, de dos, qui tirait avec son arme sur les arbres d'en face. RoiOnche regrettait d'avance ce qu'il allait faire. Il était faible, et tirer comme ça, sur quelqu'un, le répugnait. Il visa calmement le torse du personnage, il ferma les yeux et tira une balle : mouche. Il toucha le bras gauche de Pingu qui ne s'y attendait vraiment, mais vraiment pas. Il hurla de douleur, déchirant la routine des bruits de balles. Buikikaesu ne comprenait pas ; il en profita pour battre en retraite, un peu plus loin. Il reviendrait plus tard.
Pingu se retourna, enragé. RoiOnche ne savait pas quoi faire, il recula lentement, il trébucha, et tomba. Pingu courut vers lui, et il reconnu l'homme, celui qu'il avait épargné... Ce lâche l'avait attaqué. Pingu écrasa sa main qui tenait la Gewehr, il la lâcha.
« - Dire que je t'ai épargné... Le destin t’a rattrapé. »
Pingu lui vida froidement le chargeur dans le buffet, sans laisser RoiOnche se justifier. La seule balle qu'il aura tirée, lui aura été fatale.
« - Excuse moi, je t'emprunte ceci. »
Pingu ramassa la Gewehr, son bras souffrait, mais il ne pouvait pas se laisser aller. Il se rappella de son premier adversaire : Buikikaesu. Il tira dans les arbres quelques balles ; aucune riposte. Il avait fui.
Pingu se traîna jusqu'au rocher. La fin approchait.
Et, non loin de là, Gamer avançait vers le port, remplit d'une rage débordante avec une obsession : gagner, et Graal lui, se traînait au port lui aussi, exténué, et affaibli...