Note de la fic : Non notée
Publié le 08/02/2010 à 23:20:48 par ]hapi[
Chapitre 17 : L'armée.
Les élèves se livrent à un massacre sombre ; quand au professeur ? Lui, il se pavanait devant ses écrans de surveillance. Mais, voyant les groupes qui se formaient, il commençait à douté : Sa classe allait-elle perdre définitivement tout ses membres ? Kanjialevrai l'avait déçu, vraiment. Il savait se défendre, malheureusement, la raison l'avait rattrapé. Selon le professeur, Buikikaesu et Pingu avaient la carrure de gagner, ils pouvaient gagner. Ils le devaient même. Le professeur n'avait qu'une seule envie : Faire accélérer les choses, mais c'était contraire aux règles. Il restait devant l'écran.
Quelqu'un approchait lentement de l'entrepôt ou régissait le professeur, l'entrepôt de départ ; la tignasse blonde ouvrit la porte, ce qui manqua de faire tombé le professeur de sa chaise. Il regarda l'écran : Le sulfureux Asobo n'avait pas trouvé meilleur cachette qu'ici, mauvaise pioche. Roflmao regarda le monte charge à sa droite : Non, trop bruyant. Il regarda par la fenêtre de gauche ; il se pencha un peu de sa chaise pour avoir Asobo dans le viseur. Il tira à deux reprises avec son Desert Eagle, et il le rata. Foutue précision, Roflmao se maudissait de sa maladresse alors qu'Asobo se jetait maladroitement derrière un poteau, puis arrosa la pièce d'où venait les tirs. Alors que le professeur pouvait réaliser ce qu'il espérait : « accélérer les choses », Asobo détruisit en partie les écrans de surveillance, ce qui ramena Roflmao dans la réalité et l'énerva : Il ne pouvait plus suivre la Battle Royale d'ici. Lorsqu'il jeta un coup d'oeil par dessus la rambarde, il voyait Asobo qui venait de monter à son étage, se cachant derrière un caisse de fer : « saloperie de môme intelligent. » Il recula au fond de la salle, et activa le monte charge. Asobo arrivait au moment où le monte charge disparaissait ; pour lui c'était clair, son assaillant s'était enfuit.
Seulement voilà, Roflmao aussi, était intelligent. Il surgit de derrière le Bureau, et sauta sur son assaillant. S'en suivit une bataille des plus épique : Crochet, droite... On aurait put croire que la condition physique du professeur lui donnerait l'avantage : ce fut le cas, jusqu'à ce qu'il trébuche et tombe à cause de la chaise : Asobo ramassa le Desert Eagle du professeur, et le visa.
« - Professeur, vous êtes un pourri. »
Le professeur plaça ses avants bras, ferma les yeux : Un bruit sourd ; et ce fut le corps d'Asobo qui tomba. Roflmao se sentait comme une deuxième vie, mais que ? Comment ?
Durant leur bataille épique, l'entreprenant Asobo et le fier Roflmao avaient oubliés l'armée, qui était dans le sous sol. Les tirs les avaient rameutés à la vitesse éclaire. Le sniper de cette unitée de 10 fiers soldats avait sauvé le prof : il était encore mécontent.
« - Vous en avez mis du temps, il a détruit le matériel ce fou. »
« - Il suffit qu'on descende quelques secondes pour que vous vous fassiez attaqué aussi ; il y'a du matériel en bas. Descendons. »
La petite troupe descendit, reprendre la Battle Royale là où ils l'avaient laissée.
Les élèves se livrent à un massacre sombre ; quand au professeur ? Lui, il se pavanait devant ses écrans de surveillance. Mais, voyant les groupes qui se formaient, il commençait à douté : Sa classe allait-elle perdre définitivement tout ses membres ? Kanjialevrai l'avait déçu, vraiment. Il savait se défendre, malheureusement, la raison l'avait rattrapé. Selon le professeur, Buikikaesu et Pingu avaient la carrure de gagner, ils pouvaient gagner. Ils le devaient même. Le professeur n'avait qu'une seule envie : Faire accélérer les choses, mais c'était contraire aux règles. Il restait devant l'écran.
Quelqu'un approchait lentement de l'entrepôt ou régissait le professeur, l'entrepôt de départ ; la tignasse blonde ouvrit la porte, ce qui manqua de faire tombé le professeur de sa chaise. Il regarda l'écran : Le sulfureux Asobo n'avait pas trouvé meilleur cachette qu'ici, mauvaise pioche. Roflmao regarda le monte charge à sa droite : Non, trop bruyant. Il regarda par la fenêtre de gauche ; il se pencha un peu de sa chaise pour avoir Asobo dans le viseur. Il tira à deux reprises avec son Desert Eagle, et il le rata. Foutue précision, Roflmao se maudissait de sa maladresse alors qu'Asobo se jetait maladroitement derrière un poteau, puis arrosa la pièce d'où venait les tirs. Alors que le professeur pouvait réaliser ce qu'il espérait : « accélérer les choses », Asobo détruisit en partie les écrans de surveillance, ce qui ramena Roflmao dans la réalité et l'énerva : Il ne pouvait plus suivre la Battle Royale d'ici. Lorsqu'il jeta un coup d'oeil par dessus la rambarde, il voyait Asobo qui venait de monter à son étage, se cachant derrière un caisse de fer : « saloperie de môme intelligent. » Il recula au fond de la salle, et activa le monte charge. Asobo arrivait au moment où le monte charge disparaissait ; pour lui c'était clair, son assaillant s'était enfuit.
Seulement voilà, Roflmao aussi, était intelligent. Il surgit de derrière le Bureau, et sauta sur son assaillant. S'en suivit une bataille des plus épique : Crochet, droite... On aurait put croire que la condition physique du professeur lui donnerait l'avantage : ce fut le cas, jusqu'à ce qu'il trébuche et tombe à cause de la chaise : Asobo ramassa le Desert Eagle du professeur, et le visa.
« - Professeur, vous êtes un pourri. »
Le professeur plaça ses avants bras, ferma les yeux : Un bruit sourd ; et ce fut le corps d'Asobo qui tomba. Roflmao se sentait comme une deuxième vie, mais que ? Comment ?
Durant leur bataille épique, l'entreprenant Asobo et le fier Roflmao avaient oubliés l'armée, qui était dans le sous sol. Les tirs les avaient rameutés à la vitesse éclaire. Le sniper de cette unitée de 10 fiers soldats avait sauvé le prof : il était encore mécontent.
« - Vous en avez mis du temps, il a détruit le matériel ce fou. »
« - Il suffit qu'on descende quelques secondes pour que vous vous fassiez attaqué aussi ; il y'a du matériel en bas. Descendons. »
La petite troupe descendit, reprendre la Battle Royale là où ils l'avaient laissée.