Note de la fic :
Publié le 21/12/2009 à 21:31:56 par fic-maker
Je me levai en pensant a la formidable journée qui s' annonçait.
J' allais aller avec mes amis au club de Tecktonik pour danser un peu, puis je devais rejoindre ma nouvelle petite copine Manon, je l' avais invitée dans un resto classe: le MCdo; puisje devais passer l' aprém dans ses bras .
Je me douchai, me rasait (depuis peu, un petit duvet avait poussé autour de mon menton autrefois imberbe ), me lavais les dents, me coiffait une petite créte avec du gel Dop® puis partit en direction du TCK (Tecktonik Club King).
***
J' avais dansé pendant trois heures sur la formidable chanson Alive.
C' était vraiment une merveille symphonique.
Je devais rejoindre ma chére Manon au restaurant a Hamburger.
Je vis sa sympathique silhouette par la vitre et lui adressait un petit coucou.
Elle me répondit avec un grand sourire emplis de la joie que ma vue lui procurait.
Pris d' une soudaine folie, je l' embrassa sur la bouche (mais sans la langue bien-sur, je ne suis pas un pervert! ).
Manon devint toute rouge: c' est vrai que j' y étais allé un peu fort!
On mangea nos nuggets de poulet puis décidâmes (mot compliqué attention) d' aller nous promener dans le parc.
On prit un ensuite un gouter chez elle, puis passèrent la fin de l' après midi devant la télévision.
Nous avons ensuite mangés puis nous sommes allés nous coucher.
J' étais trés fatigués, il était bientot 20h30!
Je me couchait en pyjama dans la chambre d' amis (je ne pouvais pas dormir avec Manon, il ne fallait pas qu' on attrape un bébé!).
Sa maman vint me faire un bisou puis je m' endormis comme un bébé tout doux.
***
Je me levais a 7h30, et allais directement dans la douche.
La maison dormais encore, et j' allais étre tout propre et tout frais pour quand Manon se lèverait.
Pendant que je me lavais les cheveux, j' entendis quelques bruits en bas, semblables a des verres se brisant.
Je ne m' inquiétais pas, la maman de ma Manon chérie devait préparer le petit déjeuner.
Je me séchais, puis enfilais mon boxer rose quand j' entendis quelqu' un tambouriner a la porte.
La porte s' ouvrit car je n' avais pas fermés a clé.
La vision que j' eus ensuite me choquera toute ma vie.
Le pére de Manon avait son tee-shirt recouvert de sang, et une partie de sa main droite était déchiquetée.
-Oh mon Dieu Thierry vous allez bien ?
Il faut vite que vous alliez voir un médecin!
Je n' avais pas terminé ma phrase qu' il se jeta sur moi, me plaquant au sol de sa main valide.
Il tenta de me mordre, mais dans un élan de survie je mis mes mains devant ma tête en tentant de me protéger.
Il dégagea mes bras et il allait me mordre quand un homme rentra en brisant la fenêtre, et balança un violent coup de pied dans la mâchoire du pauvre Thierry.
Thierry tenta de se relever pour se venger quand l' inconnu attrapa une brosse a dent et l' enfonçât dans l' orbite droit de Thierry.
Il fit pénétrer la brosse a dent dans l' orbite jusqu' a ce que la cervelle rosâtre de l' infortuné coule sur le sol dur et froid.
J' étais pétrifié de terreur, et ne comprenait rien a cette scéne délirante, et l' inconnu se mit a me baver dessus en marmonnant dans choses incompréhensibles; et il m' assenât un coup de peigne a cheveux qui me fit m' évanouir...
J' allais aller avec mes amis au club de Tecktonik pour danser un peu, puis je devais rejoindre ma nouvelle petite copine Manon, je l' avais invitée dans un resto classe: le MCdo; puisje devais passer l' aprém dans ses bras .
Je me douchai, me rasait (depuis peu, un petit duvet avait poussé autour de mon menton autrefois imberbe ), me lavais les dents, me coiffait une petite créte avec du gel Dop® puis partit en direction du TCK (Tecktonik Club King).
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J' avais dansé pendant trois heures sur la formidable chanson Alive.
C' était vraiment une merveille symphonique.
Je devais rejoindre ma chére Manon au restaurant a Hamburger.
Je vis sa sympathique silhouette par la vitre et lui adressait un petit coucou.
Elle me répondit avec un grand sourire emplis de la joie que ma vue lui procurait.
Pris d' une soudaine folie, je l' embrassa sur la bouche (mais sans la langue bien-sur, je ne suis pas un pervert! ).
Manon devint toute rouge: c' est vrai que j' y étais allé un peu fort!
On mangea nos nuggets de poulet puis décidâmes (mot compliqué attention) d' aller nous promener dans le parc.
On prit un ensuite un gouter chez elle, puis passèrent la fin de l' après midi devant la télévision.
Nous avons ensuite mangés puis nous sommes allés nous coucher.
J' étais trés fatigués, il était bientot 20h30!
Je me couchait en pyjama dans la chambre d' amis (je ne pouvais pas dormir avec Manon, il ne fallait pas qu' on attrape un bébé!).
Sa maman vint me faire un bisou puis je m' endormis comme un bébé tout doux.
***
Je me levais a 7h30, et allais directement dans la douche.
La maison dormais encore, et j' allais étre tout propre et tout frais pour quand Manon se lèverait.
Pendant que je me lavais les cheveux, j' entendis quelques bruits en bas, semblables a des verres se brisant.
Je ne m' inquiétais pas, la maman de ma Manon chérie devait préparer le petit déjeuner.
Je me séchais, puis enfilais mon boxer rose quand j' entendis quelqu' un tambouriner a la porte.
La porte s' ouvrit car je n' avais pas fermés a clé.
La vision que j' eus ensuite me choquera toute ma vie.
Le pére de Manon avait son tee-shirt recouvert de sang, et une partie de sa main droite était déchiquetée.
-Oh mon Dieu Thierry vous allez bien ?
Il faut vite que vous alliez voir un médecin!
Je n' avais pas terminé ma phrase qu' il se jeta sur moi, me plaquant au sol de sa main valide.
Il tenta de me mordre, mais dans un élan de survie je mis mes mains devant ma tête en tentant de me protéger.
Il dégagea mes bras et il allait me mordre quand un homme rentra en brisant la fenêtre, et balança un violent coup de pied dans la mâchoire du pauvre Thierry.
Thierry tenta de se relever pour se venger quand l' inconnu attrapa une brosse a dent et l' enfonçât dans l' orbite droit de Thierry.
Il fit pénétrer la brosse a dent dans l' orbite jusqu' a ce que la cervelle rosâtre de l' infortuné coule sur le sol dur et froid.
J' étais pétrifié de terreur, et ne comprenait rien a cette scéne délirante, et l' inconnu se mit a me baver dessus en marmonnant dans choses incompréhensibles; et il m' assenât un coup de peigne a cheveux qui me fit m' évanouir...