Note de la fic :
Publié le 23/12/2009 à 12:02:37 par Cislaunille
Ça y est, on est au Centre-ville. Elle commence à entrer dans les magasins de fringues, j'aurais dû prévoir ...
Elle achète quelques vêtements par ci, par là, plein de trucs inutiles. Bref, inutile de s'étaler là-dessus ...
Au bout d'un moment, elle m'entraine dans une ruelle puis elle se met à m'embrasser contre le mur
Moi : - Attends, qu'est ce que tu fais? On est en pleine ville!
D'ailleurs, des gens nous observaient au bout de la ruelle avec l'air de dire : "Aaah ces jeunes, quels insouciants !"
Pauline : - Et alors? J'ai trop envie là.
Moi : - Chaud ! On l'a fait avant-hier soir et elle est déjà en manque ( Je suis pas contre, mais bon )
Je commence donc à mettre la main dans l'avant dans son jean. Ah ma main est bien au chaud ici
Je continue en l'enfilant dans sa culotte. Ah, je sens des poils
Ça y est j'atteins ses lèvres. Je commence à mettre un doigt dedans, puis deux, puis trois.
Elle, est en train de gémir tout en se contenant. Elle laisse échapper des légers "Hmmm !" qui m'encouragent à continuer en tentant d'aller plus profondément.
Tandis qu'elle gémit de plaisir, des maternelles nous observent au bout de la rue
Moi : - On est en train de choquer les enfants Pauline
Pauline : - Hmmm ... J'm'en fiche ... Hmmaah ... Ça fait trop de bien.
Son vagin commence à mouiller. Je sens un liquide chaud qui coule sur mes doigts, et je commence alors à pincer le clitoris.
Elle commence à avoir du mal à se contenir et pousse des gémissements de plus en plus forts
Une dizaine de gens sont maintenant en train de nous observer au bout de la ruelle, et les petits nous montrent du doigt
Moi : - Pauline, ça commence à devenir gênant là.
J'aperçois alors une porte qui mène à un sous-sol dans le mur, et je retire mes doigts du vagin de Pauline. Elle arrête alors de gémir.
Pauline : - Qu'est ce que tu fous?!
Moi : - Je veux pas qu'on nous observe en train de faire ça, suis-moi
On entre alors dans la cave, puis j'allume une lumière. La salle semble assez humide. Des moisissures ont proliféré au plafond, mais la salle en elle-même est assez grande.
A peine la lumière se propage-t-elle dans la salle que Pauline se remet à m'embrasser.
Pauline : - Voilà ici on peut faire ce qu'on veut
Je la plaque contre le mur, puis je déboutonne son jean tout en l'embrassant.
Son jean tombe, et sa culotte noir à points blancs apparaît
Je lui retire son polo. Elle se trouve maintenant en débardeur blanc-culotte, comme je l'avais trouvée en arrivant chez elle, mais cette fois dans une cave
Je remets ma main dans sa culotte qui est maintenant mouillée en-dessous de son vagin. Puis je remets mes doigts dans son vagin pour l'exciter encore plus.
Je ressens de nouveau les parois chaudes et mouillées de son vagin qui se contractent au passage de mes doigts. Pauline ne se retient plus et gémit sans se contenir.
Je passe alors ma deuxième main par le derrière de sa culotte, puis je fais entrer un doigt dans son anus en même temps de mettre les doigts de l'autre main dans son vagin.
Elle semble ne pas protester, je fais donc des allers-retours dans les deux trous, ses gémissements n'en deviennent que plus forts.
Après 5 minutes de va et vient de mes doigts en Pauline, je les retire. Sa culotte est maintenant trempée en-dessous de son vagin
Trop excité par l'envie, je lui déchire son débardeur.
Je lui enlève ensuite son soutien-gorge. La vue de sa poitrine parfaite me fascine toujours autant
Je les prends d'ailleurs de suite dans mes mains, et je commence à sucer les petits tétons roses au bout.
Je retire ensuite délicatement sa culotte qui tombe par terre. Son vagin s'offre à moi, une fois de plus.
Pauline : - Vas-y, maintenant.
Les préliminaires l'ont tellement excitée qu'elle ne peut plus attendre. Je la prends donc par le cuisses, la plaque contre le mur tout en tenant ses cuisses.
Je fais enfin entrer mon pénis maintenant aussi dur que possible dans son vagin. Elle pousse un petit cri au moment où ce dernier entre en elle.
Son vagin est plus mouillé que jamais, j'ai l'impression que mon pénis glisse dans son vagin tellement il y a de liquide.
Pauline : - Oh putain ! Putain ! C'est trop bon !
Moi aussi, je n'ai jamais eu autant de plaisir à faire ça. J'atteins le sommet du plaisir.
Son dos se frotte contre la parois moisie de la cave et commence à devenir sale, mais elle semble ne pas s'en occuper.
Elle commence à gémir de plus en plus forts. Ses gémissements deviennent presque des hurlements de plaisir.
Mon pénis continue d'entrer et de revenir, toujours plus rapide, toujours plus profond au fur et à mesure.
Je sens à un moment le fond de son vagin touché par mon pénis. A ce moment, ses hurlements auraient pu sans doute se faire entendre sans doute de tout l'immeuble sous lequel nous nous trouvons.
Ça y est, l'orgasme arrive, je le sens enfin.
Le dos de Pauline était devenu tout noir, mais elle semblait n'en avoir rien à faire.
Je n'ai jamais eu autant de plaisir qu'à ce moment. J'avais l'impression que j'allais mourir de plaisir tellement mon pénis m'en procurait.
J'avais l'impression que elle et moi ne formions plus qu'un être.
Mon pénis jette alors la liqueur blanche dans son vagin en 3 coups. Je continue tout de même à laisser mon pénis dans son vagin.
Celui-ci redevient dur au bout d'une trentaine de seconde, je recommence donc mes allers et retours. Et Pauline se remet à gémir.
Un second orgasme arrive, et mon pénis expédie ce qui reste de sperme dans son vagin.
Je me retire ensuite, tremblant de plaisir.
Pauline : - Ah ... Ah ... C'était incroyable. J'ai jamais senti un tel plaisir.
Moi : - C'était super Par contre t'as le dos tout sale
Pauline : - Ah zut, j'avais pas remarqué. Bah c'est pas grave, je prendrais une douche en rentrant.
On sort ensuite après s'être rhabillé. Les gens nous regardent bizarrement
Elle achète quelques vêtements par ci, par là, plein de trucs inutiles. Bref, inutile de s'étaler là-dessus ...
Au bout d'un moment, elle m'entraine dans une ruelle puis elle se met à m'embrasser contre le mur
Moi : - Attends, qu'est ce que tu fais? On est en pleine ville!
D'ailleurs, des gens nous observaient au bout de la ruelle avec l'air de dire : "Aaah ces jeunes, quels insouciants !"
Pauline : - Et alors? J'ai trop envie là.
Moi : - Chaud ! On l'a fait avant-hier soir et elle est déjà en manque ( Je suis pas contre, mais bon )
Je commence donc à mettre la main dans l'avant dans son jean. Ah ma main est bien au chaud ici
Je continue en l'enfilant dans sa culotte. Ah, je sens des poils
Ça y est j'atteins ses lèvres. Je commence à mettre un doigt dedans, puis deux, puis trois.
Elle, est en train de gémir tout en se contenant. Elle laisse échapper des légers "Hmmm !" qui m'encouragent à continuer en tentant d'aller plus profondément.
Tandis qu'elle gémit de plaisir, des maternelles nous observent au bout de la rue
Moi : - On est en train de choquer les enfants Pauline
Pauline : - Hmmm ... J'm'en fiche ... Hmmaah ... Ça fait trop de bien.
Son vagin commence à mouiller. Je sens un liquide chaud qui coule sur mes doigts, et je commence alors à pincer le clitoris.
Elle commence à avoir du mal à se contenir et pousse des gémissements de plus en plus forts
Une dizaine de gens sont maintenant en train de nous observer au bout de la ruelle, et les petits nous montrent du doigt
Moi : - Pauline, ça commence à devenir gênant là.
J'aperçois alors une porte qui mène à un sous-sol dans le mur, et je retire mes doigts du vagin de Pauline. Elle arrête alors de gémir.
Pauline : - Qu'est ce que tu fous?!
Moi : - Je veux pas qu'on nous observe en train de faire ça, suis-moi
On entre alors dans la cave, puis j'allume une lumière. La salle semble assez humide. Des moisissures ont proliféré au plafond, mais la salle en elle-même est assez grande.
A peine la lumière se propage-t-elle dans la salle que Pauline se remet à m'embrasser.
Pauline : - Voilà ici on peut faire ce qu'on veut
Je la plaque contre le mur, puis je déboutonne son jean tout en l'embrassant.
Son jean tombe, et sa culotte noir à points blancs apparaît
Je lui retire son polo. Elle se trouve maintenant en débardeur blanc-culotte, comme je l'avais trouvée en arrivant chez elle, mais cette fois dans une cave
Je remets ma main dans sa culotte qui est maintenant mouillée en-dessous de son vagin. Puis je remets mes doigts dans son vagin pour l'exciter encore plus.
Je ressens de nouveau les parois chaudes et mouillées de son vagin qui se contractent au passage de mes doigts. Pauline ne se retient plus et gémit sans se contenir.
Je passe alors ma deuxième main par le derrière de sa culotte, puis je fais entrer un doigt dans son anus en même temps de mettre les doigts de l'autre main dans son vagin.
Elle semble ne pas protester, je fais donc des allers-retours dans les deux trous, ses gémissements n'en deviennent que plus forts.
Après 5 minutes de va et vient de mes doigts en Pauline, je les retire. Sa culotte est maintenant trempée en-dessous de son vagin
Trop excité par l'envie, je lui déchire son débardeur.
Je lui enlève ensuite son soutien-gorge. La vue de sa poitrine parfaite me fascine toujours autant
Je les prends d'ailleurs de suite dans mes mains, et je commence à sucer les petits tétons roses au bout.
Je retire ensuite délicatement sa culotte qui tombe par terre. Son vagin s'offre à moi, une fois de plus.
Pauline : - Vas-y, maintenant.
Les préliminaires l'ont tellement excitée qu'elle ne peut plus attendre. Je la prends donc par le cuisses, la plaque contre le mur tout en tenant ses cuisses.
Je fais enfin entrer mon pénis maintenant aussi dur que possible dans son vagin. Elle pousse un petit cri au moment où ce dernier entre en elle.
Son vagin est plus mouillé que jamais, j'ai l'impression que mon pénis glisse dans son vagin tellement il y a de liquide.
Pauline : - Oh putain ! Putain ! C'est trop bon !
Moi aussi, je n'ai jamais eu autant de plaisir à faire ça. J'atteins le sommet du plaisir.
Son dos se frotte contre la parois moisie de la cave et commence à devenir sale, mais elle semble ne pas s'en occuper.
Elle commence à gémir de plus en plus forts. Ses gémissements deviennent presque des hurlements de plaisir.
Mon pénis continue d'entrer et de revenir, toujours plus rapide, toujours plus profond au fur et à mesure.
Je sens à un moment le fond de son vagin touché par mon pénis. A ce moment, ses hurlements auraient pu sans doute se faire entendre sans doute de tout l'immeuble sous lequel nous nous trouvons.
Ça y est, l'orgasme arrive, je le sens enfin.
Le dos de Pauline était devenu tout noir, mais elle semblait n'en avoir rien à faire.
Je n'ai jamais eu autant de plaisir qu'à ce moment. J'avais l'impression que j'allais mourir de plaisir tellement mon pénis m'en procurait.
J'avais l'impression que elle et moi ne formions plus qu'un être.
Mon pénis jette alors la liqueur blanche dans son vagin en 3 coups. Je continue tout de même à laisser mon pénis dans son vagin.
Celui-ci redevient dur au bout d'une trentaine de seconde, je recommence donc mes allers et retours. Et Pauline se remet à gémir.
Un second orgasme arrive, et mon pénis expédie ce qui reste de sperme dans son vagin.
Je me retire ensuite, tremblant de plaisir.
Pauline : - Ah ... Ah ... C'était incroyable. J'ai jamais senti un tel plaisir.
Moi : - C'était super Par contre t'as le dos tout sale
Pauline : - Ah zut, j'avais pas remarqué. Bah c'est pas grave, je prendrais une douche en rentrant.
On sort ensuite après s'être rhabillé. Les gens nous regardent bizarrement
Commentaires
- Pseudo supprimé
03/01/2010 à 13:12:03
Sweet vite
- Pseudo supprimé
24/12/2009 à 12:09:17
lawl, les fic de sayks se multiplie.
Pas mal
Sweet - TheShovel
23/12/2009 à 16:03:39
Sweet tu m'étonne qu'il regarde bizarrement