Note de la fic :
Publié le 02/01/2010 à 01:27:14 par erheaven92
Mon récit commence le 27 Vifazur de la 433ème année. L'ère troisième. Je me réveillai dans une cellule faite d'une pierre froide, par le touchée mais aussi par le sentiment qu'elle dégageait. Il y avait un petit renfoncement sur ma droite. Mais cela m'importait peu, par rapport aux questions que je me posai. Où étais-je ? pourquoi ? qu'avais-je fais ? mais surtout, QUI étais-je ?
une fine ouverture dans le mur - à peine de quoi passer une main - m'indiquait que le soleil était à son zénith. Sa lueur luisait sur une miche de pain posée sur un tabouret en bois. Je m'empressai dessus, ayant l'impression de ne pas avoir mangé depuis un mois. Ensuite, je me dirigeai vers la grille qui servait de porte à ma cellule, puis constatai que cette dernière était belle et bien verrouillée.
je vis un elfe noir dans la cellule se trouvant en face de moi. je le fixai d'un regard aussi noir que sa peau. Et pour cause, ce Dunmer ne m'inspirai aucune confiance. Il me parla en ces termes :
"Oh, regardez : un Impérial dans la prison impériale. Je parie qu'ils ne jouent pas les chouchous, hein ? Les vôtres vous considèrent même comme de la racaille humaine. Que c'est triste... Je parie que les gardes vous réservent un traitement spécial avant la fin. Oh, c'est exact. Vous allez mourir ici, Impérial ! Vous allez mourir ! La racaille impériale de votre espèce donne une mauvaise réputation à l'empire, vous voyez. Vous nous faites honte. Le mieux serait que vous... disparaissiez."
Tandis qu'il achevait son discours insultant, dans lequel j'appris que j'étais un Impérial et que je me trouvai dans la prison du même nom, j'entendis des claquement de bottes se diriger vers nous. Il devait y avoir, au moins, trois personnes. Que me réservait le Destin ?
une fine ouverture dans le mur - à peine de quoi passer une main - m'indiquait que le soleil était à son zénith. Sa lueur luisait sur une miche de pain posée sur un tabouret en bois. Je m'empressai dessus, ayant l'impression de ne pas avoir mangé depuis un mois. Ensuite, je me dirigeai vers la grille qui servait de porte à ma cellule, puis constatai que cette dernière était belle et bien verrouillée.
je vis un elfe noir dans la cellule se trouvant en face de moi. je le fixai d'un regard aussi noir que sa peau. Et pour cause, ce Dunmer ne m'inspirai aucune confiance. Il me parla en ces termes :
"Oh, regardez : un Impérial dans la prison impériale. Je parie qu'ils ne jouent pas les chouchous, hein ? Les vôtres vous considèrent même comme de la racaille humaine. Que c'est triste... Je parie que les gardes vous réservent un traitement spécial avant la fin. Oh, c'est exact. Vous allez mourir ici, Impérial ! Vous allez mourir ! La racaille impériale de votre espèce donne une mauvaise réputation à l'empire, vous voyez. Vous nous faites honte. Le mieux serait que vous... disparaissiez."
Tandis qu'il achevait son discours insultant, dans lequel j'appris que j'étais un Impérial et que je me trouvai dans la prison du même nom, j'entendis des claquement de bottes se diriger vers nous. Il devait y avoir, au moins, trois personnes. Que me réservait le Destin ?
Commentaires
- erheaven92
02/01/2010 à 18:13:19
question comment aurait tu fais pour raconter une histoire sur oblivion sans d'abord en présenter le contexte ? De plus il n'y a pas que de la plagia car, à aucun moment il est mentionné que notre personnage est amnésique ? laisse moi le temps de mettre en place l'histoire ! et si tu trouve que c'est toujours de la plagia, fais aussi une fic sur Oblivion et on verra si c'est si facile que tu as l'air de penser.
- Pseudo supprimé
02/01/2010 à 17:56:01
pitoyable... tu te contentes de raconter le début du jeu sans innover, du pur plagiat... pour l'instant c'est insipide comme ''fic''
- Liez
02/01/2010 à 13:16:19
Oblivion
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