Le drogué vous envoie une puissante droite, puis enchaîne avec une puissante béquille dans le ventre, ce qui vous fait tomber sur le sol froid de votre cellule. Puis, il commence à vous marteler le visage avec ses poings. Le sang commence à vous aveugler, mais néanmoins vous ne vous découragez pas. Vous lui envoyez votre pied dans la gueule, puis vous saisissez votre arme, cette même arme que vous lui avez prise.

« -Crève, SALE CHIEN ! »

Vous lui enfoncez alors votre arme dans son cœur. Le black tente de parler, mais en vain. Du sang commence alors à couler de sa bouche. Vous l’avez eu. Vous l’avez tué. Soudain, la porte de la cellule s’ouvrit, et une dizaine de gardien pénétrairent à l’intérieur. L’un deux vous donna un puissant coup de matraque sur le crâne, vous faisant sombrer dans l’inconscience.

Vous vous réveillez trois heures après. Vous vous trouvez à l’infirmerie, une salle rectangulaire où des vingtaines de prisonniers se trouvaient ici. Au pied du lit se trouvait le directeur, escortés par trois gardiens. C’était un homme d’une cinquantaine d’année, qui portait une barbe blanche de deux jours. Il voulait certainement en connaître un peu plus sur votre acte.

« - Maryland, écoute-moi bien sale con ! Tu viens de tuer ce type bordel de merde, tu te rends compte de ce que… »

« -Légitime défense, monsieur. Cette ordure à essayé de me buter ! » répondez vous.

« -…Je le sais, Maxime (qui occupe la cellule en face de la votre) ainsi que son codétenus me l’a rapporté. Néanmoins, vous passerez quatre jours en isolement, afin de réfléchir un peu plus sur votre situation. Je vous ai à l’œil. » dit-il avant de vous emmener.