Et là .... Marc s'arrêta un instant puis se retourna vers nous en nous faisant signe d'écouter, en effet on pouvait entendre des contaminés, infectés, zombies (vous me direz lequel vous préférez )poussés des cris abominable, ces bruits me faisait froid dans le dos .

On eut même pas le temps de retourner cher Marc que déjà on pouvait apercevoir leurs silhouettes Marc ne quittait pas le zombie des yeux une seule seconde quand il se mit à courir, aussitôt les infectés le rattrapa et le dévora, ils s'étaient développés, ils couraient plus vite (ce qui n'allait pas nous faciliter la tâche )Marc avait eu le temps de tirer 2-3 coups de feu en vain ...

Nous avions tous eu le temps de nous réfugiez dans l'appartement .

Quand on annonça la nouvelle, Pascale éclata en sanglot .

On entendait les zombies s'agglutiner derrière la porte, heureusement la porte était épaisse et résistante, mais nous ne pouvions pas rester plus longtemps ici . Mon père décida donc d'établir un plan quand les zombies étaient attirés par quelque chose d'autre, sûrement d'autres proies . Nous sortions donc vite de l'immeuble et nous précipitons vers la voiture, nous étions donc tous à l'intérieur du véhicule, ont voyaient les zombies arrivés de toutes les rue .

Mon père décida de démarrer et de s'en aller vite de cet enfer quand ma mère vu qu'il n'y avait pas Pascale ! Elle ne nous avait sûrement pas suivit . il était trop tard pour faire marche arrière tout le monde était sous le choc et fatigué nous n'avions pas dormi depuis notre très court séjour cher Marc .

Nous commencions a manquer cruellement d'essence quand mon père décida de s'arrêter sur une petite route de campagne .

Gérard: Bon on va essayez de dormir là ce soir.

*Tous* Non c'est trop dangereux !

Gérard: Stop ! Je sais que ça ne vous rassure pas mais on restera prudent, on a pas le choix il faut qu'on se reposes !

Après avoir verrouillez toutes les portes et fermez les fenêtres on essaya donc de s'endormir, avec difficulté il faisait au moins 35 C dans la voiture . Malgré les circonstances il faisait quand même très beau la journée .

Moi: Faites de beaux rêves ()

Anna (ma soeur) : Ah ah ! Très drôle

J'étais tellement fatigué que mes yeux se fermait tout seul, je décida de ne plus lutter et me laissa emporter ...