Note de la fic : Non notée
Publié le 07/09/2017 à 23:14:54 par Pseudoencartoon
Une pluie d'explosions m'entoura. Je voyais des maisons rasées, des gens désintégrés par la puissance des rayons, des enfants hurler avant de mourir écrasés par des civils fuyant ou par les lasers. Rarement ma colère n'avait été à un aussi haut niveau. Ma haine n'avait d'égale que mon excitation face au combat que j'allais mener.
D'autres vaisseaux descendait du ciel. Leurs rayons faisaient toujours autant de ravages. Je vis des centaines de petites navettes sortirent de ces monstres volants. Elle se posèrent rapidement et des fantassins en tenue de combat et des véhicules d'assaut en sortirent. Les soldats avaient à leur ceinture la même sphère que leur roi avait employé pour tuer Hollande et des gants à leurs mains. Des ces gants sortirent des sortes de fouet, au mêmes capacités que les rayons des vaisseaux. Leurs véhicules étaient semblables à nos chars d'assaut mais dans un style plus futuriste.
Leurs fouets claquèrent et leurs canons tirèrent. Des personnes furent coupées en 2. D'autres furent explosées par la puissance des canons des tanks. C'en fut trop. Je tendis la main. Un rayon vert fusa et balaya l'un de leur bataillon. Je me ramassai sur moi-même et bondit... pour m'envoler. N'ayant pas le temps de m'émerveiller sur la situation j'attirai les vaisseaux entre eux pour qu'ils se fracassent eux-mêmes. Et vint le moment de donner libre cours à ma colère, ma rage et ma puissance. Des éclairs tombèrent, foudroyèrent leurs troupes. Leurs vaisseaux explosaient un par un. Une tornade se chargea de balayer leurs débris. La bataille fut terminée plus vite encore que le conflit n'avait été déclaré.
- Le Touché ! C'est le Touché !
Je cherchai l'origine de ces paroles. En bas se trouvait le souverain Remag, encore vivant. Bien amoché mais vivant. Il pointait une sorte de baguette vers moi. Le roi fit feu. Je n'eu pas le temps d'esquiver. Je fus frappé de plein fouet. Une immense douleur m'envahit. Je chutais. Mon corps ne m'obéissait plus. Le sang battait à mes oreilles. Puis vint le noir. Je ne voyais plus rien. Aussi incroyable que cela paraisse, je vis ma vie défiler devant mes yeux. Je tombais toujours. Mes parents, Roxane, ma saloperie de petite sœur... Je tombais encore. J'entendais les hurlements victorieux du roi. Je tombais. Un battement d'ailes extrêmement fort vint interrompre le fil de mes pensées. Je sentis des grandes serres m'entourer. Ma chute s'arrêta brutalement.
J'ouvris les yeux un bref instant, juste le temps de voir comme un immense océan de rouge et d'orange, avant de m'évanouir.
Mes derniers souvenir furent ces paroles du roi.
"Je te tuerais William, je te tuerais !"
D'autres vaisseaux descendait du ciel. Leurs rayons faisaient toujours autant de ravages. Je vis des centaines de petites navettes sortirent de ces monstres volants. Elle se posèrent rapidement et des fantassins en tenue de combat et des véhicules d'assaut en sortirent. Les soldats avaient à leur ceinture la même sphère que leur roi avait employé pour tuer Hollande et des gants à leurs mains. Des ces gants sortirent des sortes de fouet, au mêmes capacités que les rayons des vaisseaux. Leurs véhicules étaient semblables à nos chars d'assaut mais dans un style plus futuriste.
Leurs fouets claquèrent et leurs canons tirèrent. Des personnes furent coupées en 2. D'autres furent explosées par la puissance des canons des tanks. C'en fut trop. Je tendis la main. Un rayon vert fusa et balaya l'un de leur bataillon. Je me ramassai sur moi-même et bondit... pour m'envoler. N'ayant pas le temps de m'émerveiller sur la situation j'attirai les vaisseaux entre eux pour qu'ils se fracassent eux-mêmes. Et vint le moment de donner libre cours à ma colère, ma rage et ma puissance. Des éclairs tombèrent, foudroyèrent leurs troupes. Leurs vaisseaux explosaient un par un. Une tornade se chargea de balayer leurs débris. La bataille fut terminée plus vite encore que le conflit n'avait été déclaré.
- Le Touché ! C'est le Touché !
Je cherchai l'origine de ces paroles. En bas se trouvait le souverain Remag, encore vivant. Bien amoché mais vivant. Il pointait une sorte de baguette vers moi. Le roi fit feu. Je n'eu pas le temps d'esquiver. Je fus frappé de plein fouet. Une immense douleur m'envahit. Je chutais. Mon corps ne m'obéissait plus. Le sang battait à mes oreilles. Puis vint le noir. Je ne voyais plus rien. Aussi incroyable que cela paraisse, je vis ma vie défiler devant mes yeux. Je tombais toujours. Mes parents, Roxane, ma saloperie de petite sœur... Je tombais encore. J'entendais les hurlements victorieux du roi. Je tombais. Un battement d'ailes extrêmement fort vint interrompre le fil de mes pensées. Je sentis des grandes serres m'entourer. Ma chute s'arrêta brutalement.
J'ouvris les yeux un bref instant, juste le temps de voir comme un immense océan de rouge et d'orange, avant de m'évanouir.
Mes derniers souvenir furent ces paroles du roi.
"Je te tuerais William, je te tuerais !"