Pensédéo de Mr.Bad-Luck, l’homme qui n’a pas eut de chance.
Il est fort possible que je finisse pendu par les couilles après cela.



….Il est absent ? Oui, je crois bien…mon dieu qu’elle angoisse que je suis en train de me faire subir. Pourquoi prendre ce risque ? Et pourquoi aujourd’hui. Je ne sais pas….putain je tremble, suis-je sûr qu’il est en train de cuvée suite à une beuverie ?….Cet homme, je vais tout vous dire, tout vous révélez et ensuite j’irais me cacher, pour espérer survivre….oui la vérité, la vrai de vrai. Lisez là et il vous poursuivra, vous serez sa proie. Vous connaitrez son secret….oui….OUI !

La vérité, tout la vérité, ou ce qu’il en reste sur…NiRVaNa !

Mieux vaut ne pas prononcer son nom. Excusez mes fautes d’orthographe, mais la peur m’étreint. Son récit est si atroce, vous ne le verrez plus comme avant !

Tout commença au crépuscule du 31 frévrier. Son corps fut trouvé au bord d’un trottoir par la police. A mon souvenirs, deux branleurs de gendarmes qui cherchaient un hôtel pour s’enculer convenablement. Je ne vous épargne pas les détails, ils étaient de gros homosexuels et aimaient se frotté l’un contre l’autre….beurk ce récit est vraiment atroce ! Bref, il s’arrêtèrent et contemplèrent l’ivrogne qui avait encore la bouteille entre les lèvres. Leur soupire n’était point discret, le clodo’ pouvait facilement entendre leurs vannes, leurs moqueries. Pauvre d’eux. Ils ne savaient pas. Ils essayèrent de lui enlever la bouteille et de le relever. C’est alors que c’est yeux écarlates transpercèrent leur âme, et il leur dit avec un méchanceté implacable : « Vous êtes péday ! ». La suite de l’histoire a plusieurs versions en faite. Certains disent que le clodo’ fut violé et jeté dans un précipice, d’autres que l’ivrogne en question les a bouffés tout cru. D’autre pense assez naïvement que les deux policiers sont repartis sans rien faire. En tout cas, on entendit plus jamais parlé de ce clodo’.

….le seul qui connaît la vrai version n’est d’autre que Nirvana ! Lui-même m’a raconté le début de cette histoire. Je ne retins pas la date mais je me rappelle très bien du premier jour où je le rencontrai. Je me promenai seul dans un quartier assez salace quand je passai devant une maison à deux étages. A l’étage donc, se trouvait un homme velu qui me regardait passer par la fenêtre de sa chambre. Ses cheveux lui tombaient sur le visage et il semblait avoir un duvet sous le nez. Il m’interpella en me demandant si je connaissais l’histoire de ce quartier. Très franchement, j’en avais rien à foutre et je lui répondis non. Grave erreur. Il sauta par la fenêtre et atterrit sans soucis 3 mètres plus bas. Il s’approcha de moi et me raconta le récit des deux policiers, sans me dire la suite. Puis il retourna chez lui. Etrange…mais putain je veux savoir la suite ! Je le suivit et rentra dans la maison. Bouarg, ça pu le cul dans ce séjour ! Je le vois monter les escaliers qui mènent au premier. Je regarde autour de moi et voit plusieurs choses inquiétantes : Une pile de casette VHS de cul, des mouchoirs usagés, une télévision en veille et un sandwich à l’abricot. Mon erreur fut de monté, car je vus quelques chose d’horrible….en effet….j’allai en direction de ce qui semblait être la porte de sa chambre….je la poussai…et là…il était en train…..de…..chier dans sa poubelle 0_0 . Quelle horrible vision. Je le voyais poussé, les yeux froncés et les joues toutes rouges. Quand il eut fini son affaire, il remonta son froc sans prendre la peine de se torcher et se posa sur la chaise de son bureau, continuant de taper sans fin sur le clavier de son ordinateur. Il me regarda et me dit « Salut mayc ! »

Vous comprenez, il était hors de question que je reste plus longtemps dans cette chambre emplie d’une odeur de merde. Je descendis les escaliers à toute allure et me retrouvai de nouveau dans le séjour. Je pris une casette de cul, puis chopa le sandwich…mais non ! Le morceau de pain n’y était plus ? Je sortis dehors et là, je le vis…en train de mangé le sandwich à l’abricot en se grattant le derrière. Il rigola et me dit « Moi, c’est Nirvana. Je ne peux te laisser partir étant donné que tu as vu mon secret. Alors, tu vas devenir mon complice, et faire des podcast avec moi ! Si tu refuses, je te tue. » Ainsi, moi, Mr. Bad-Luck, devint l’homme le plus malchanceux de la planète car je fus le seul à connaître le secret du plus terrible des misanthrope : Il mange des sandwich à l’abricot.

Maintenant, vous savez ! Nirvana n’est pas celui que vous pensiez ! Je porte ce fardeau depuis trop longtemps maintenant. J’ai bien essayé de me rebeller, mais en vain. Mais je ne suis plus seul, a vous de subir ses menaces, quand à moi….je fuis en son absence !

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Hey Nirv’ !...