Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel: :noel:

Quand VOUS êtes un connard


Par : LePatriarche
Genre : Action, Réaliste
Statut : Terminée



Chapitre 152


Publié le 29/01/2017 à 15:43:05 par LePatriarche

La 2) :hap:

Finalement, vous décidez d'opter pour la Tour Eiffel. Quoi de mieux que THE place to be française. Quoi de mieux que l'excellence de notre beau pays pour emmener votre petite tourterelle passer un bon moment. De plus, cela fait assez longtemps que vous n'aviez plus fait de sortie. Le Trocadédo, le champ de Mars, la Tour Eiffel, puis le petit détour vers Montmartre et le Sacré-Coeur... Elle sera servi la bougresse :hap:

C'est ainsi que vous vous parfumez comme un magnifique gentleman, avant de mettre un t-shirt simple, une petite veste à manches courtes qui fait playboy, et un pantacourt sympa, reflétant vos chevilles aussi poilus que rapides :hap:

- J'y vais maman
- Ne tardes pas trop !
- Ecoutes maman, pour en mettre plein la vue à une fille ( et accessoirement plein le fion juste après ), il faut disposer d'un maximum de tact. Cela peut prendre 30 minutes comme 5 heures, mais comme le disait la Fontaine, tout vient à point à qui sait attendre
- Je te fais confiance, Marion est vraiment une fille de bonne famille !
- Ouais bon son père est le dernier des connards
- Ohh ne lui jettes pas la pierre
- Mais c'est pas une raison pour lui tendre l'autre joue

Juste avant de sortir, vous croisez votre père dans le salon. Lui faisant un petit signe d'au revoir, vous êtes rappelé par ce dernier, qui vous demande de lui apporter la télécommande. Ce que vous faites de ce pas. Vous questionnant sur son visage assez gênant, il finit par vous pincer les couilles sans dire un mot :

- Putain mais waouh !
- C'est le rituel dans la famille. Tes couilles sont durs, t'es prêt à soulever d'la petite !
- Oh Roger c'est dégueulasse, me dis pas que tu lui as serrer les
- C'est pour son bien chérie. Maintenant il peut sortir en paix
- Euuuuh...

Vous n'êtes donc pas le seul taré dans cette maison. Vous sortez donc de la baraque assez content de voir votre passif relationnel avec votre famille. C'est toujours motivant de savoir que des gens comptent sur vous et vous apprécie quelque soit votre personnalité. Cela permet aussi d'hausser votre estime de vous-même, et d'éviter ce sentiment de honte absolu après une branlette hardcore à 3h du mat' ( et vous savez de quoi vous parler ) :hap:

Prenant les transports direction Paris, vous regardez la story snap de Marion, qui affiche des photos d'elle muy... Olàlà putain, elle est sur son 32 tellement elle est fraiche :bave: C'est pas une Lamborghini, mais vous avez la fougueuse envie de la monter, la conduire, la descendre et la policher avec votre CristianoRonaldo17 tout terrain :hap:

Durant votre attente, vous regardez la foule rassemblée ici. Des gamins jouent près des points d'eau, plusieurs dizaines et des dizaines de groupes d'adolescents sont posés dans les parcs, alors que les voitures circulent en grand nombre et en continue. Paris dans toute sa splendeur. A peine le temps d'admirer plus la vue que deux mains se posent sur vos yeux :

- C'est quiiii ?! ^^
- Ma fiancée ?
- Plus précisément *_*
- La 7ème du classement de médecine ?
- Tu brûles *_*
- La plus mignonne de toutes les bolosses ?
- Tu chauffes...
- La fille qui me fait actuellement bander à cause de l'obscurité ?
- TU me chauffes... Haha t'es vraiment un porc !
- T'as voulu joué, on a joué. Bon maintenant t'es là, on peut y aller
- Aller où ?
- ( merde merde merde aucun plan prévue.. Hum enchaines enchaines enchaines... euh a il fait beau regardes les oiseaux, euh nan c'est nul ) JFKFKGKF Mazngeons une crêpe !
- Ahh t'as bavé :')
- Les connexions dans mon système nerveux central ont un peu déconnés

Vous partez donc au premier vendeur du coin pour acheter deux bonnes crêpes chaudes et chocolatés. Vous marchez ensuite petit à petit, en continuant à discuter. Sur vos envies, ce que vous comptez faire après le concours. Marion remet le sujet Jessica sur le tapis, et vous lui affirmez que même dans une dimension où 2 milliards de gonzesses seraient Jessica, vous continuerez à rester fidèle à votre Rionrion favorite. Ce à quoi elle vous délivre un somptueux baiser sur la bouche...

Continuant votre marche, vous atteignez une belle avenue bondés de magasins et paradoxalement avec pas beaucoup de monde. Un petit centre commercial ? Let's go. Après tout, c'est l'occasion de toucher à des jeux vidéos gratos sur Micromania, goûter des gâteaux sans payer comme un prolo, ou encore s'essuyer la teub sur des strings... Enfin chacun ses délires après :hap:

La voyant, Marion, jeune, petite fougueuse, pétillante, avec sa queue de chevelles, son mini-short qui dévoilent ses cuisses fines et dodus à la fois, son t-shirt qui lui moule parfaitement le peu de seins qu'elle a... Une 7,5/10 intelligente dans vos délires, qui accepte de payer les beignets que vous mangez, et de cautionner certaines de vos conneries... La perle rare du moment, rien que pour vous :hap:

- T'sais Marion, lui dites vous en la calinant soigneusement contre vous. T'es l'une des seules filles avec qui je peux quasiment être totalement moi-même.
- T'sais Pierre, commences t-elle aussi en enfonçant son corps dans le votre, et en vous sussurant des palabres aux oreilles. T'es le seul mec avec qui j'aime bien ne pas être parfois totalement moi-même...
- On forme un beau couple de schizos dans ce cas ?
- Le plus merveilleux possible :cute:
- On s'est bien trouvés...
- à nous de plus nous perdre.

Alors que cet instant magique vous propulse en dehors du temps et de l'espace, un bruit hallucinant retentit. A deux pas d'ici. Figé sur place pendant une demi-seconde, vous arrivez finalement à reprendre vos esprits. Votre tête tourne dans tous les sens, pour savoir d'où ça vient. Des détonations virulentes qui rappellent celles de jeux vidéos factices. Mais le boucan, lui, est bien réel. Et commence à faire douter, voir même paniquer, une grande partie de l'assemblée présente dans ce petit centre commercial dans un bon coin de la capitale.

Deuxième détonation. Légèrement moins forte. Une vitre vient de se briser. Vos yeux s'écarquillent. Marion tremble, ses ongles s'enfoncent dans votre peau. Vous la serrez contre en vous en la mettant légèrement en retrait. Pas le temps de courir, d'hurler, de crier comme le fait la trentaine de personnes sur place. Non. Vous n'avez pas le temps pour ça. A peine le temps de réaliser ce qui se passe, vous entendez des mots qui vous font frissonner au plus profond de votre âme :

- Comme on se retrouve, sale kouffar.

Cette voix, venant du type en habit militaire assez étrange, vous est malheureusement totalement familière...

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- Farid putain ?!


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