Note de la fic :
Ma vie à l'école de p*rnographie
Par : fall_0ut_matt
Genre : Sayks, Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Inscriptions Last Part (IV)
Publié le 30/06/2016 à 16:57:36 par fall_0ut_matt
J’étais en stress total. Le bigoudi était aussi tendu qu’un arc et mon esprit aussi vif qu’une flèche. Tout ce que j’ai en tête c’est la magnifique sculpture tout en finesse de Riley, innocente mais tellement maligne. J’aurais souhaité « m’amuser » avec elle.
Elle se rhabilla et nous quitta après un dernier sourire mêlé de déception à l’idée de n’avoir pu autant s’amuser qu’elle ne l’espérait. Dave quant à lui était dépité, l’air hébété, comme s’il ne savait pas ce qu’il faisait là. On sentait qu’il y avait de la honte en lui, après tant d’éloge sur son arme de poing pendant l’aller.
Aubrey me regarda avec timidité et me proposa de passer dans l’autre pièce.
Une fois installés, même discours de la directrice. La tension est à son comble ; je n’ai rien à perdre, c’est pour une école, aussi absurde soit-elle, pourtant j’ai l’impression de me retrouver devant mon premier coup, désarmé, avec en plus cette désagréable sensation que des centaines de personnes vous épient.
- Ne t’inquiète pas, imagines que c’est comme un jeu de rôle ! Me dit Aubrey
- Ah c’est clair, mais j’suis pas totalement à l’aise, puis j’viens de voir mon pote en train de… bref :beurk:
- Il va falloir que tu t’y habitues si tu veux rester ici, mais pour l’instant il faut que tu te détendes. Regarde-moi.
Elle plongea ses yeux clairs dans les miens, je me suis senti me perdre dedans. Faisant mine de m’asseoir, elle s’installe sur moi, genoux de part et d’autre, ses mains finissent par caresser mes avants bras. Elle effleure intimement chaque centimètre de ma peau jusqu’à mon cou. La sienne est chaude et apaisante, et son cou sent bon la vanille. (classique )
On s’embrasse, timidement, puis de plus en plus passionnément. Les caresses se transforment en empoignades, on s’agrippe les mains, elle mime des vas-et-viens, ça me rend déjà sacrément dur.
Progressivement nos vêtements sont retirés, il ne reste bientôt plus que nos sous-vêtements. Elle aussi est sacrément belle. La peau claire, le corps fin, elle me dévoile ses seins et me tease ses fesses, sobres, mais à croquer. J’ai envie de jouer avec ses tétons, jouer avec sa culotte, manipuler son clito et lui montrer ma vigueur. Rapidement ma main va se cacher sous son bas ventre, disparaissant à moitié dans la culotte, s’affaissant à besogne, la forçant à bouger comme une anguille sur mes genous.
Haletante, Aubrey se met elle aussi à jouer avec mes attributs. Sa main chaude n’en finis plus de saluer mon pénis, qui s’avère être aussi dur que du bois. Je la veux que pour moi. Finalement je retire sa culote, dévoilant son pubis, immaculé, légèrement gonflé, aux lèvres courtes et aussi blanches que le reste de son corps. Je la salue à mon tour, avec la langue, tandis que mes mains explorent chaque parties de son corps tout en songeant à repasser dire bonjour au clito.
Son regard de braise et son teint légèrement rouge en disent long. Elle se relève lentement, se positionne, et se rassoit aussi lentement sur mon bâton, qui disparaît petit à petit en elle tandis que son souffle se fait de plus en plus sec et prolongé. Une fois en bas, elle m’embrasse, je l’embrasse, tandis qu’elle attrape mes mains, elle commence ses aller-retours. Mon pénis paraît presque énorme en train de féliciter ce corps frêle mais beau. On dirait une statue grecque. Ses cheveux valdinguent de part et d’autre, la pièce se réchauffe progressivement, nous suintons au point de sentir le cuir se coller à nous.
Nous changeons de position, avec une telle situation, l’excitation est à son comble, je l’embrasse puis lui fais signe de se retourner, m’exposant son beau postérieur, reluisant par l’humidité de la pièce. Elle semble complètement mouillée, « turned on » comme dirait les anglais. Ses légers mouvements de bassins me donnent envie de continuer pour toujours.
Je la pénètre à nouveau, avec passion ce coup-ci. J’accélère progressivement mes coups de reins, son souffle reste toujours en rythme avec le mouvement. Plus j’accélère, plus elle s’agrippe à moi. Bientôt nous sommes littéralement collés l’un à l’autre, je l’attrape sensuellement par le cou comme pour la caresser, nous nous échangeons un bref regard malice, un baiser, et repartons de plus belle, tandis que ma seconde main décide de s’attarder à nouveau sur son clito.
L’énergie commençant à s’évaporer, nous changeons de position. M’allongeant sur le canapé, je lui fais mine de s’installer face à moi. Entrelacés, nous nous embrassons avant d’entamer notre ultime embrasement. Petit à petit je relâche mon emprise sur elle pour la laisser se glisser sur mon chibre. Les allers retours s’intensifient, son souffle a fini par se transformer en gémissements de plus en plus audibles, avant le cri de jouissance montrant que j’ai, semble-t-il, fait ce qu’il fallait.
Je lâche tout, mon corps se contracte, mon esprit s’évade, je sens les siens en train de retrouver leurs sens. Un dernier baiser nous lie pour la dernière fois avant qu’une voix ne vienne interrompre ce moment d’égarement.
- Pas mal. C’était très intimiste. Vous pouvez vous rhabiller et me rejoindre merci.
Avant de nous quitter Aubrey en profite pour me susurer un gentil « merci c’était très agréable » qui me réchauffa le serpent, encore sous le choc de ce qu’il vient de se passer
Mme Malone avait manifestement trouvé la scène à son goût. Je ne la voyais pas, la vitre sans teint ne nous le permettait pas, mais je devinais à son ton de voix qu’elle semblait satisfaite de ce qu’elle venait de voir.
- Monsieur Butternam j’ai le plaisir de vous annoncer que vous avez répondu avec succès à tous les critères de l’examen d’entrée et êtes donc officiellement admis à la P.W. !
- Oh super ! Merci beaucoup, je dois admettre que ça déroute.
- C’est tout à fait normal, à moins d’avoir développé une... « propension » à se savoir vu par d’autres et à apprécier cela pendant l’acte, difficile de ne pas trouver ça déroutant ! Mais vous vous y ferez bien vite de toute manière c’est loin d’être le plus dépaysant ici ;)
- Très bien, merci encore en tout cas !
- Tu recevras par mail ton groupe de travail, ton emploi du temps et la façon dont fonctionne l’école. Saches que nous hébergeons 68% de nos étudiants, la plupart sont d’ailleurs déjà des acteurs et actrices parfois bien installés dans le paysage pornographique ; ils sont ici pour se « perfectionner » et avoir un diplôme –aussi saugrenu son contenu soit-il- , mais en l’état ils connaissent déjà très bien les rouages du milieu.
- Je pensais de toute manière demander la démarche à suivre pour intégrer le campus, je suis mieux quand je me trouve sur le lieu de travail !
- Excellent ! Dans ce cas, je vais également te laisser ce formulaire qu’il faudra me retourner renseigné d’ici vendredi ce qui vous laisse deux jours. Ensuite vous aurez le vendredi et le samedi jusqu’à 18h pour venir avec vos affaires et vous installer, afin que l’on vous fasse à vous et vos éventuels futurs locataires la visite des lieux, et la mise au point concernant les règles de vie et de sécurité.
- Entendu ! Je vous envoie ça dès demain, à vendredi alors et merci encore.
- À très vite Matthew, au revoir !
Sur ces mots je la quitte et sors de l’école. Dehors au niveau grillage Dave m’attendait, il semblait avoir déjà oublié tout ce qu’il venait de se passer. Il m’expliqua alors comment on allait fêter ma nouvelle école et sa nouvelle mission ce soir : en s’enfumant la tête.
- Ne t’inquiète pas, me dit-il, je vais bosser et me faire des sous, et l’année pro je retry et je cartonne !
- Inchallah lui dis-je en rigolant, inchallah ! (Parce que « si dieu le veut » c’est moins stylay )
Elle se rhabilla et nous quitta après un dernier sourire mêlé de déception à l’idée de n’avoir pu autant s’amuser qu’elle ne l’espérait. Dave quant à lui était dépité, l’air hébété, comme s’il ne savait pas ce qu’il faisait là. On sentait qu’il y avait de la honte en lui, après tant d’éloge sur son arme de poing pendant l’aller.
Aubrey me regarda avec timidité et me proposa de passer dans l’autre pièce.
Une fois installés, même discours de la directrice. La tension est à son comble ; je n’ai rien à perdre, c’est pour une école, aussi absurde soit-elle, pourtant j’ai l’impression de me retrouver devant mon premier coup, désarmé, avec en plus cette désagréable sensation que des centaines de personnes vous épient.
- Ne t’inquiète pas, imagines que c’est comme un jeu de rôle ! Me dit Aubrey
- Ah c’est clair, mais j’suis pas totalement à l’aise, puis j’viens de voir mon pote en train de… bref :beurk:
- Il va falloir que tu t’y habitues si tu veux rester ici, mais pour l’instant il faut que tu te détendes. Regarde-moi.
Elle plongea ses yeux clairs dans les miens, je me suis senti me perdre dedans. Faisant mine de m’asseoir, elle s’installe sur moi, genoux de part et d’autre, ses mains finissent par caresser mes avants bras. Elle effleure intimement chaque centimètre de ma peau jusqu’à mon cou. La sienne est chaude et apaisante, et son cou sent bon la vanille. (classique )
On s’embrasse, timidement, puis de plus en plus passionnément. Les caresses se transforment en empoignades, on s’agrippe les mains, elle mime des vas-et-viens, ça me rend déjà sacrément dur.
Progressivement nos vêtements sont retirés, il ne reste bientôt plus que nos sous-vêtements. Elle aussi est sacrément belle. La peau claire, le corps fin, elle me dévoile ses seins et me tease ses fesses, sobres, mais à croquer. J’ai envie de jouer avec ses tétons, jouer avec sa culotte, manipuler son clito et lui montrer ma vigueur. Rapidement ma main va se cacher sous son bas ventre, disparaissant à moitié dans la culotte, s’affaissant à besogne, la forçant à bouger comme une anguille sur mes genous.
Haletante, Aubrey se met elle aussi à jouer avec mes attributs. Sa main chaude n’en finis plus de saluer mon pénis, qui s’avère être aussi dur que du bois. Je la veux que pour moi. Finalement je retire sa culote, dévoilant son pubis, immaculé, légèrement gonflé, aux lèvres courtes et aussi blanches que le reste de son corps. Je la salue à mon tour, avec la langue, tandis que mes mains explorent chaque parties de son corps tout en songeant à repasser dire bonjour au clito.
Son regard de braise et son teint légèrement rouge en disent long. Elle se relève lentement, se positionne, et se rassoit aussi lentement sur mon bâton, qui disparaît petit à petit en elle tandis que son souffle se fait de plus en plus sec et prolongé. Une fois en bas, elle m’embrasse, je l’embrasse, tandis qu’elle attrape mes mains, elle commence ses aller-retours. Mon pénis paraît presque énorme en train de féliciter ce corps frêle mais beau. On dirait une statue grecque. Ses cheveux valdinguent de part et d’autre, la pièce se réchauffe progressivement, nous suintons au point de sentir le cuir se coller à nous.
Nous changeons de position, avec une telle situation, l’excitation est à son comble, je l’embrasse puis lui fais signe de se retourner, m’exposant son beau postérieur, reluisant par l’humidité de la pièce. Elle semble complètement mouillée, « turned on » comme dirait les anglais. Ses légers mouvements de bassins me donnent envie de continuer pour toujours.
Je la pénètre à nouveau, avec passion ce coup-ci. J’accélère progressivement mes coups de reins, son souffle reste toujours en rythme avec le mouvement. Plus j’accélère, plus elle s’agrippe à moi. Bientôt nous sommes littéralement collés l’un à l’autre, je l’attrape sensuellement par le cou comme pour la caresser, nous nous échangeons un bref regard malice, un baiser, et repartons de plus belle, tandis que ma seconde main décide de s’attarder à nouveau sur son clito.
L’énergie commençant à s’évaporer, nous changeons de position. M’allongeant sur le canapé, je lui fais mine de s’installer face à moi. Entrelacés, nous nous embrassons avant d’entamer notre ultime embrasement. Petit à petit je relâche mon emprise sur elle pour la laisser se glisser sur mon chibre. Les allers retours s’intensifient, son souffle a fini par se transformer en gémissements de plus en plus audibles, avant le cri de jouissance montrant que j’ai, semble-t-il, fait ce qu’il fallait.
Je lâche tout, mon corps se contracte, mon esprit s’évade, je sens les siens en train de retrouver leurs sens. Un dernier baiser nous lie pour la dernière fois avant qu’une voix ne vienne interrompre ce moment d’égarement.
- Pas mal. C’était très intimiste. Vous pouvez vous rhabiller et me rejoindre merci.
Avant de nous quitter Aubrey en profite pour me susurer un gentil « merci c’était très agréable » qui me réchauffa le serpent, encore sous le choc de ce qu’il vient de se passer
Mme Malone avait manifestement trouvé la scène à son goût. Je ne la voyais pas, la vitre sans teint ne nous le permettait pas, mais je devinais à son ton de voix qu’elle semblait satisfaite de ce qu’elle venait de voir.
- Monsieur Butternam j’ai le plaisir de vous annoncer que vous avez répondu avec succès à tous les critères de l’examen d’entrée et êtes donc officiellement admis à la P.W. !
- Oh super ! Merci beaucoup, je dois admettre que ça déroute.
- C’est tout à fait normal, à moins d’avoir développé une... « propension » à se savoir vu par d’autres et à apprécier cela pendant l’acte, difficile de ne pas trouver ça déroutant ! Mais vous vous y ferez bien vite de toute manière c’est loin d’être le plus dépaysant ici ;)
- Très bien, merci encore en tout cas !
- Tu recevras par mail ton groupe de travail, ton emploi du temps et la façon dont fonctionne l’école. Saches que nous hébergeons 68% de nos étudiants, la plupart sont d’ailleurs déjà des acteurs et actrices parfois bien installés dans le paysage pornographique ; ils sont ici pour se « perfectionner » et avoir un diplôme –aussi saugrenu son contenu soit-il- , mais en l’état ils connaissent déjà très bien les rouages du milieu.
- Je pensais de toute manière demander la démarche à suivre pour intégrer le campus, je suis mieux quand je me trouve sur le lieu de travail !
- Excellent ! Dans ce cas, je vais également te laisser ce formulaire qu’il faudra me retourner renseigné d’ici vendredi ce qui vous laisse deux jours. Ensuite vous aurez le vendredi et le samedi jusqu’à 18h pour venir avec vos affaires et vous installer, afin que l’on vous fasse à vous et vos éventuels futurs locataires la visite des lieux, et la mise au point concernant les règles de vie et de sécurité.
- Entendu ! Je vous envoie ça dès demain, à vendredi alors et merci encore.
- À très vite Matthew, au revoir !
Sur ces mots je la quitte et sors de l’école. Dehors au niveau grillage Dave m’attendait, il semblait avoir déjà oublié tout ce qu’il venait de se passer. Il m’expliqua alors comment on allait fêter ma nouvelle école et sa nouvelle mission ce soir : en s’enfumant la tête.
- Ne t’inquiète pas, me dit-il, je vais bosser et me faire des sous, et l’année pro je retry et je cartonne !
- Inchallah lui dis-je en rigolant, inchallah ! (Parce que « si dieu le veut » c’est moins stylay )