Note de la fic :
Les péripéties d'un branleur (SAISON 1)
Par : GeneralJVC1
Genre : Nawak, Action
Statut : Terminée
Chapitre 21
Publié le 04/01/2016 à 21:27:50 par GeneralJVC1
__________________________________________________________________________
CHAPITRE 21 : Le sauvetage de la loose
__________________________________________________________________________
Il est 16H45, moi et Kévin somment encore dans le repère des malades qui semblent vénérer un dieu à la con qu'ils appellent Hapananas, ils sont dirigés par un étrange individu nommé "Le Messager", qui possède le même symbole que celui retrouvé sur le cadavre brûlé vif cette nuit.
Amélia est assise un peut plus loin avec Brendon, l'enfoiré est de mèche, j'étais sur qu'il y'avait un truc qui tournait pas rond avec lui
Mon téléphone m'indique qu'il n'a presque plus de batterie alors j'arrête de filmer.
Kévin : Tu crois pas qu'on devrait essayer de s'en aller d'ici ?
Tony : Attendons jusqu'à la fin, on tient un putain de gros scoop là on peut pas laisser échapper ça
Le Messager : Comme je vous l'ai déjà dit, tous ceux qui sont contre le dieu Hapananas doivent en payer le prix. Et mes enfants, il semblerait que nous ayons encore une fois besoin de réitérer cette horrible action.
Kévin : Ils vont butter quelqu'un d'autre ?
Tony : Ta gueule j'écoute
Le Messager : Il semblerait qu'une personne faisant partie de la police se mêle un peut trop de cette affaire. Mais rassurez-vous, je m'occuperais de lui personnellement, car telle est la volonté de notre seigneur à tous, Hapananas !
Toutes les personnes présentes dans la salle : GLOIRE AU DIEU HAPANANAS !
Le Messager : Comme prévu, rendez-vous ici-même dés demain, même heure.
Merci à tous de nous avoir fait part de votre présence.
Gloire à notre dieu à tous, Hapananas
Toutes les personnes présentes dans la salle : GLOIRE AU DIEU HAPANANAS !
Tout le monde se lève, chaque personnes viennent une par une saluer le Messager avant de sortir.
Kévin : Mais si on va le saluer il va voir qu'on fait pas partie du groupe
Tony : Faut qu'on se casse d'ici
Vient alors le tour d'Amélia et Brendon, elle comme toujours, elle a rien compris au truc
Amélia : C'était vraiment bien votre spectacle, en plus vous interagissez avec votre publique, c'est vachement cool
Le Messager : Un spectacle ?
Brendon : Excusez-là ho grand Messager Je ne lui ai pas encore dit.
Amélia : Pas encore dit quoi
Le Messager : Ho je vois, vous nous amenez donc une nouvelle disciple.
Bienvenue à vous jeune fille
Amélia : Heu... Je comprend pas bien là...
Le Messager : Et bien pourtant c'est très simple, vous êtes ici dans le bâtiment nous servants à nous réunir, nous, tous les envoyés du seigneur Hapananas
Amélia : Quoi c'est pas un spectacle
Brendon : Non, ce que vient de dire notre Messager est vrai.
Amélia : Alors... C'est vous qui avez tués cet homme qu'on a vu aux infos ce midi ?
Le Messager : Cet homme était mauvais, il était contre notre croyance, nous n'avions pas le choix, nous avons du le purifier
Amélia : Mais vous êtes des malades ! Viens Brendon on doit prévenir la police ! (">
Brendon : Non Amélia, nous n'allons rien faire
Amélia : Brendon ?
Brendon : Nous allons rester auprès de notre seigneur à tous, le dieu Hapananas
Amélia : Brendon mais qu'est-ce qui te prend ?
Brendon : Tu sais Amélia, quand je t'ai vu ce matin près du distributeur, j'ai su tout de suite que ce serait facile
Amélia : Que... Qu'est-ce que tu veux dire ?
Brendon : Regarde toi ma pauvre petite, tu es tellement naïf et stupide, il suffit d'avoir une belle gueule comme la mienne pour te manipuler comme on le veut
Amélia : Mais... Qu'est-ce que tu racontes, on s'aime
Brendon : Pauvre Amélia, mais qui voudrait aimer une fille comme toi ?
Amélia : Brendon non
Brendon : Maintenant, tu vas nous rejoindres et rester pour toujours auprès du seigneur Hapananas
Amélia : Non lâchez-moi ! Ne me touchez pas !
Amélia est aux mains des malades mentales, je profite du bordel engendré pour me diriger vers la porte de sortie.
Kévin : Tu crois pas qu'on devrait l'aider ?
Tony : Donnes moi une seule bonne raison de lui venir en aide, donc, de nous faire chopper, alors qu'on pourrait juste se sauver
Kévin : Bah elle est ultra bonne et facilement manipulable
Tony :
Kévin :
Tony :
Kévin :
Tony :
Kévin :
Tony : Allons la sauver !
Prenant mon courage à deux couilles, je fonce en direction du Messager, à deux, il est possible de l'avoir
Mais au même moment, je constate avec horreur que cet enculé de Kévin en a profité pour se sauver sans moi Trop occupé à l'insulter dans ma tête, je ne vois pas l'un des disciples Hapananas qui réussi à me chopper.
Disciple Hapananas : Un traître a intenté à votre vie grand Messager !
Tony : Nan lâchez-moi, je faisais juste mon jogging !
Amélia : Tony à l'aide !
Brendon : Tient tient mais qui voilà
Le Messager : Vous vous connaissez ?
Brendon : C'est juste un type sans importance de notre classe
Tony : J't'emmerde connard !
Le Messager : Bien bien, alors lui aussi va avoir l'immense honneur de nous rejoindre
Tony : Nan attendez, si vous me relâchez, j'vous paie un kebab à tous, c'est promis !
Le Messager : Enfermez les dans les cellules d'isolement. Je m'en occuperais plus tards
Brendon : A vos ordres grand Messager
Amélia : Non pitiez relâchez-nous ! Brendon ! NAN !
Tony : Allez tous niquez vos mères bande de bâtard !
Kévin, si j'te r'trouve t'es un homme mort !
.............................
Au lycée Philippe Guitton, il est 17H00, les cours viennent juste de se terminer pour la classe de Tony.
La sonnerie de la libération a retenti, Marc, Momo et Julien descendent au bureau du CPE pour voir si Tony y est toujours. C'est Julien qui frappe, le CPE leur demande d'entrer.
Julien : Bonjour, est-ce que Tony est encore avec vous ?
CPE : Qui ça
Julien : Tony Aluis, il est descendu dans votre bureau il y'a 30 ou 40 minutes de cela normalement car il avait insulté notre professeur, Mr. Dubernard
CPE : Ha non, aucun élève n'est venu me voir de la journée, encore heureux pour un premier jour
Julien : Vous êtes sur que personne n'est venu vous voir aujourd'hui
CPE : Sur et certain
Julien : Heu... Bien je vous remercie, au revoir
Momo : wsh c'est un fou il est pas allé l'voir ! Alors là respect !
Julien : Kévin non plus n'est pas revenu lui aussi... Ou est-ce qu'ils sont allés
Marc : Amélia et Brendon sont toujours pas revenus eux non plus, quand à Justine...
Justine : Quoi Justine
Marc : JUSTINE !
Momo : tient t'es r'venue
Justine : Oui, désolé de m'être sauvée mais...
Julien : Ne t'en fais pas nous comprenons ta situation
Justine : Ha ce propos, vous auriez vu Amélia ? J'aimerais lui parler, seules à seules.
Marc : Elle est pas venu en cours de français.
Justine : Ha bon
Julien : Oui, et Tony avait été viré dans le bureau du CPE, Kévin l'accompagnait mais ni l'un ni l'autre n'est revenu en cours.
Justine : Pourquoi il a été viré ?
Momo : il a dit au prof quil allé staper sa femme
Justine : Ça m'étonne même pas de lui
Julien : Du coup on revient juste du bureau du CPE, il nous as dit qu'il n'était pas venu le voir.
Justine : Bon sang mais tout le monde disparaît en ce moment
Marc : Je vais essayé de l’appeler...
Marc cherche dans son répertoire, il y trouve le numéro de Tony et l'appel mais tombe sur son répondeur.
Il recommence l'opération avec Amélia mais obtient le même résultat.
Marc : Ils sont peut-être rentrés chez eux
Momo : wsh y zont séchés
Julien : Tu as raison, et on devrait faire de même
Au même moment, Kévin revient au lycée et croise la bande.
Momo : wsh Kévin, bah alors ta séché ? tes dans la merde le prof i ta mis 2 heures de colle
Kévin : Rofl
Marc : Tony lui aussi est rentré chez lui
Kévin : Non en fait...
Justine : En fait quoi
Kévin : ... Non rien, ouais il est rentré chez lui
Momo : azi j'en été sure vs etes trop des ouf
Justine :
Kévin : Bon bah salut les gars
Kévin partie de son côté pour justifier son absence à la vie scolaire. Il a hésité au début mais finalement, pour éviter tout problème de son côté, a décidé de ne rien dire aux autres. Tony et Amélia étaient dans le pétrin, mais ce n'était plus son problème à présent.
.............................
C'est dans une petite résidence non loin du centre-ville que vit Victor, un ancien collègue de Gilbert.
C'est aussi son meilleur ami et il n'était malheureusement pas présent lors du renvoi du vieil homme, sinon, il aurait tout fait pour qu'il garde son emploi, quitte à perdre le sien.
Victor réside avec sa femme, Sabrina et sa troisième fille de 4 ans, Emilie, les deux autres sont majeurs et ont quittés le domicile depuis un certain temps déjà.
Aujourd'hui, celui-ci a passé un coup de fil à son vieil ami à propos de cette mystérieuse affaire de corps brûlés et d'étranges symboles. Il semble qu'il soit sur le début d'une piste, mais n'étant sûr de rien et ayant besoin d'un coup de main, il a décidé de faire appel à Gilbert.
Il est 17H30, Victor a décidé de faire un bond chez lui avant de retrouvez Gilbert au Square Foyard.
Ayant entendu son père rentrer, la petite fille court en direction de celui-ci et lui saute dans les bras.
Emilie : Papa est rentré !
Victor : Salut ma princesse, alors tu as été sage ?
Emilie : Oui, j'ai pas fais de bêtise
Sabrina : Tient, déjà rentré ?
Victor : Oui, j'ai pu me libérer plus tôt aujourd'hui.
Il repose sa fille et vient embrasser sa femme.
Sabrina : Alors cette journée ?
Victor : Et bien en temps normal je t'aurais bien dis la routine mais là...
Sabrina : Cette affaire avec le corps de l'homme retrouvé brûlé vif ?
Victor : Oui... C'est... C'est une affaire plutôt compliquée...
Sabrina : Comment ça
Victor : Je ne peut pas t'en dire plus pour le moment mais... Je pense que c'est plus grave que à en à l'air...
Sabrina : Tu m'inquiètes là
Victor : Ne t'en fais pas, j'ai demandé à Gilbert de passer en ville aujourd'hui, je dois le retrouver dans pas longtemps, je verrais ça avec lui
Sabrina : Mais il ne fait plus partie de la police.
Victor : J'ai juste besoin de son aide, rien de plus, mon chef ne sera même pas au courant de sa venu ici.
Sabrina : Bon... Si Gilbert est à tes côtés alors je me sens plus rassurée.
Victor : Tout va bien se passer, tout ce que je te demande, c'est de faire très attention, et de veiller sur Emilie quand je ne suis pas présent.
Sabrina : C'est plutôt toi qui devrait faire attention, après tout c'est toi qui enquête sur cette affaire...
Victor : Il ne m'arrivera rien je te le promet
Sabrina : Fais tout de même attention à toi
Victor : C'est promis ))">
Victor embrasse sa femme une dernière fois puis part en direction de la porte quand sa fille l'interpelle :
Emilie : Papa tu vas ou ?
Victor : Papa sort faire un tour mais il revient vite d'accord ?
Emilie : D'accord
Après une énorme câlin, le père sort et jette un dernier coup d'œil à l'intérieur, sa femme reprend sa fille dans ses bras, elles sourient toutes les deux, c'est cette dernière image de sa famille qui restera gravé à jamais dans sa mémoire. Car plus jamais, il n'aura l'occasion de les revoir.
CHAPITRE 21 : Le sauvetage de la loose
__________________________________________________________________________
Il est 16H45, moi et Kévin somment encore dans le repère des malades qui semblent vénérer un dieu à la con qu'ils appellent Hapananas, ils sont dirigés par un étrange individu nommé "Le Messager", qui possède le même symbole que celui retrouvé sur le cadavre brûlé vif cette nuit.
Amélia est assise un peut plus loin avec Brendon, l'enfoiré est de mèche, j'étais sur qu'il y'avait un truc qui tournait pas rond avec lui
Mon téléphone m'indique qu'il n'a presque plus de batterie alors j'arrête de filmer.
Kévin : Tu crois pas qu'on devrait essayer de s'en aller d'ici ?
Tony : Attendons jusqu'à la fin, on tient un putain de gros scoop là on peut pas laisser échapper ça
Le Messager : Comme je vous l'ai déjà dit, tous ceux qui sont contre le dieu Hapananas doivent en payer le prix. Et mes enfants, il semblerait que nous ayons encore une fois besoin de réitérer cette horrible action.
Kévin : Ils vont butter quelqu'un d'autre ?
Tony : Ta gueule j'écoute
Le Messager : Il semblerait qu'une personne faisant partie de la police se mêle un peut trop de cette affaire. Mais rassurez-vous, je m'occuperais de lui personnellement, car telle est la volonté de notre seigneur à tous, Hapananas !
Toutes les personnes présentes dans la salle : GLOIRE AU DIEU HAPANANAS !
Le Messager : Comme prévu, rendez-vous ici-même dés demain, même heure.
Merci à tous de nous avoir fait part de votre présence.
Gloire à notre dieu à tous, Hapananas
Toutes les personnes présentes dans la salle : GLOIRE AU DIEU HAPANANAS !
Tout le monde se lève, chaque personnes viennent une par une saluer le Messager avant de sortir.
Kévin : Mais si on va le saluer il va voir qu'on fait pas partie du groupe
Tony : Faut qu'on se casse d'ici
Vient alors le tour d'Amélia et Brendon, elle comme toujours, elle a rien compris au truc
Amélia : C'était vraiment bien votre spectacle, en plus vous interagissez avec votre publique, c'est vachement cool
Le Messager : Un spectacle ?
Brendon : Excusez-là ho grand Messager Je ne lui ai pas encore dit.
Amélia : Pas encore dit quoi
Le Messager : Ho je vois, vous nous amenez donc une nouvelle disciple.
Bienvenue à vous jeune fille
Amélia : Heu... Je comprend pas bien là...
Le Messager : Et bien pourtant c'est très simple, vous êtes ici dans le bâtiment nous servants à nous réunir, nous, tous les envoyés du seigneur Hapananas
Amélia : Quoi c'est pas un spectacle
Brendon : Non, ce que vient de dire notre Messager est vrai.
Amélia : Alors... C'est vous qui avez tués cet homme qu'on a vu aux infos ce midi ?
Le Messager : Cet homme était mauvais, il était contre notre croyance, nous n'avions pas le choix, nous avons du le purifier
Amélia : Mais vous êtes des malades ! Viens Brendon on doit prévenir la police ! (">
Brendon : Non Amélia, nous n'allons rien faire
Amélia : Brendon ?
Brendon : Nous allons rester auprès de notre seigneur à tous, le dieu Hapananas
Amélia : Brendon mais qu'est-ce qui te prend ?
Brendon : Tu sais Amélia, quand je t'ai vu ce matin près du distributeur, j'ai su tout de suite que ce serait facile
Amélia : Que... Qu'est-ce que tu veux dire ?
Brendon : Regarde toi ma pauvre petite, tu es tellement naïf et stupide, il suffit d'avoir une belle gueule comme la mienne pour te manipuler comme on le veut
Amélia : Mais... Qu'est-ce que tu racontes, on s'aime
Brendon : Pauvre Amélia, mais qui voudrait aimer une fille comme toi ?
Amélia : Brendon non
Brendon : Maintenant, tu vas nous rejoindres et rester pour toujours auprès du seigneur Hapananas
Amélia : Non lâchez-moi ! Ne me touchez pas !
Amélia est aux mains des malades mentales, je profite du bordel engendré pour me diriger vers la porte de sortie.
Kévin : Tu crois pas qu'on devrait l'aider ?
Tony : Donnes moi une seule bonne raison de lui venir en aide, donc, de nous faire chopper, alors qu'on pourrait juste se sauver
Kévin : Bah elle est ultra bonne et facilement manipulable
Tony :
Kévin :
Tony :
Kévin :
Tony :
Kévin :
Tony : Allons la sauver !
Prenant mon courage à deux couilles, je fonce en direction du Messager, à deux, il est possible de l'avoir
Mais au même moment, je constate avec horreur que cet enculé de Kévin en a profité pour se sauver sans moi Trop occupé à l'insulter dans ma tête, je ne vois pas l'un des disciples Hapananas qui réussi à me chopper.
Disciple Hapananas : Un traître a intenté à votre vie grand Messager !
Tony : Nan lâchez-moi, je faisais juste mon jogging !
Amélia : Tony à l'aide !
Brendon : Tient tient mais qui voilà
Le Messager : Vous vous connaissez ?
Brendon : C'est juste un type sans importance de notre classe
Tony : J't'emmerde connard !
Le Messager : Bien bien, alors lui aussi va avoir l'immense honneur de nous rejoindre
Tony : Nan attendez, si vous me relâchez, j'vous paie un kebab à tous, c'est promis !
Le Messager : Enfermez les dans les cellules d'isolement. Je m'en occuperais plus tards
Brendon : A vos ordres grand Messager
Amélia : Non pitiez relâchez-nous ! Brendon ! NAN !
Tony : Allez tous niquez vos mères bande de bâtard !
Kévin, si j'te r'trouve t'es un homme mort !
.............................
Au lycée Philippe Guitton, il est 17H00, les cours viennent juste de se terminer pour la classe de Tony.
La sonnerie de la libération a retenti, Marc, Momo et Julien descendent au bureau du CPE pour voir si Tony y est toujours. C'est Julien qui frappe, le CPE leur demande d'entrer.
Julien : Bonjour, est-ce que Tony est encore avec vous ?
CPE : Qui ça
Julien : Tony Aluis, il est descendu dans votre bureau il y'a 30 ou 40 minutes de cela normalement car il avait insulté notre professeur, Mr. Dubernard
CPE : Ha non, aucun élève n'est venu me voir de la journée, encore heureux pour un premier jour
Julien : Vous êtes sur que personne n'est venu vous voir aujourd'hui
CPE : Sur et certain
Julien : Heu... Bien je vous remercie, au revoir
Momo : wsh c'est un fou il est pas allé l'voir ! Alors là respect !
Julien : Kévin non plus n'est pas revenu lui aussi... Ou est-ce qu'ils sont allés
Marc : Amélia et Brendon sont toujours pas revenus eux non plus, quand à Justine...
Justine : Quoi Justine
Marc : JUSTINE !
Momo : tient t'es r'venue
Justine : Oui, désolé de m'être sauvée mais...
Julien : Ne t'en fais pas nous comprenons ta situation
Justine : Ha ce propos, vous auriez vu Amélia ? J'aimerais lui parler, seules à seules.
Marc : Elle est pas venu en cours de français.
Justine : Ha bon
Julien : Oui, et Tony avait été viré dans le bureau du CPE, Kévin l'accompagnait mais ni l'un ni l'autre n'est revenu en cours.
Justine : Pourquoi il a été viré ?
Momo : il a dit au prof quil allé staper sa femme
Justine : Ça m'étonne même pas de lui
Julien : Du coup on revient juste du bureau du CPE, il nous as dit qu'il n'était pas venu le voir.
Justine : Bon sang mais tout le monde disparaît en ce moment
Marc : Je vais essayé de l’appeler...
Marc cherche dans son répertoire, il y trouve le numéro de Tony et l'appel mais tombe sur son répondeur.
Il recommence l'opération avec Amélia mais obtient le même résultat.
Marc : Ils sont peut-être rentrés chez eux
Momo : wsh y zont séchés
Julien : Tu as raison, et on devrait faire de même
Au même moment, Kévin revient au lycée et croise la bande.
Momo : wsh Kévin, bah alors ta séché ? tes dans la merde le prof i ta mis 2 heures de colle
Kévin : Rofl
Marc : Tony lui aussi est rentré chez lui
Kévin : Non en fait...
Justine : En fait quoi
Kévin : ... Non rien, ouais il est rentré chez lui
Momo : azi j'en été sure vs etes trop des ouf
Justine :
Kévin : Bon bah salut les gars
Kévin partie de son côté pour justifier son absence à la vie scolaire. Il a hésité au début mais finalement, pour éviter tout problème de son côté, a décidé de ne rien dire aux autres. Tony et Amélia étaient dans le pétrin, mais ce n'était plus son problème à présent.
.............................
C'est dans une petite résidence non loin du centre-ville que vit Victor, un ancien collègue de Gilbert.
C'est aussi son meilleur ami et il n'était malheureusement pas présent lors du renvoi du vieil homme, sinon, il aurait tout fait pour qu'il garde son emploi, quitte à perdre le sien.
Victor réside avec sa femme, Sabrina et sa troisième fille de 4 ans, Emilie, les deux autres sont majeurs et ont quittés le domicile depuis un certain temps déjà.
Aujourd'hui, celui-ci a passé un coup de fil à son vieil ami à propos de cette mystérieuse affaire de corps brûlés et d'étranges symboles. Il semble qu'il soit sur le début d'une piste, mais n'étant sûr de rien et ayant besoin d'un coup de main, il a décidé de faire appel à Gilbert.
Il est 17H30, Victor a décidé de faire un bond chez lui avant de retrouvez Gilbert au Square Foyard.
Ayant entendu son père rentrer, la petite fille court en direction de celui-ci et lui saute dans les bras.
Emilie : Papa est rentré !
Victor : Salut ma princesse, alors tu as été sage ?
Emilie : Oui, j'ai pas fais de bêtise
Sabrina : Tient, déjà rentré ?
Victor : Oui, j'ai pu me libérer plus tôt aujourd'hui.
Il repose sa fille et vient embrasser sa femme.
Sabrina : Alors cette journée ?
Victor : Et bien en temps normal je t'aurais bien dis la routine mais là...
Sabrina : Cette affaire avec le corps de l'homme retrouvé brûlé vif ?
Victor : Oui... C'est... C'est une affaire plutôt compliquée...
Sabrina : Comment ça
Victor : Je ne peut pas t'en dire plus pour le moment mais... Je pense que c'est plus grave que à en à l'air...
Sabrina : Tu m'inquiètes là
Victor : Ne t'en fais pas, j'ai demandé à Gilbert de passer en ville aujourd'hui, je dois le retrouver dans pas longtemps, je verrais ça avec lui
Sabrina : Mais il ne fait plus partie de la police.
Victor : J'ai juste besoin de son aide, rien de plus, mon chef ne sera même pas au courant de sa venu ici.
Sabrina : Bon... Si Gilbert est à tes côtés alors je me sens plus rassurée.
Victor : Tout va bien se passer, tout ce que je te demande, c'est de faire très attention, et de veiller sur Emilie quand je ne suis pas présent.
Sabrina : C'est plutôt toi qui devrait faire attention, après tout c'est toi qui enquête sur cette affaire...
Victor : Il ne m'arrivera rien je te le promet
Sabrina : Fais tout de même attention à toi
Victor : C'est promis ))">
Victor embrasse sa femme une dernière fois puis part en direction de la porte quand sa fille l'interpelle :
Emilie : Papa tu vas ou ?
Victor : Papa sort faire un tour mais il revient vite d'accord ?
Emilie : D'accord
Après une énorme câlin, le père sort et jette un dernier coup d'œil à l'intérieur, sa femme reprend sa fille dans ses bras, elles sourient toutes les deux, c'est cette dernière image de sa famille qui restera gravé à jamais dans sa mémoire. Car plus jamais, il n'aura l'occasion de les revoir.