Note de la fic :
Publié le 02/08/2009 à 23:15:29 par Onisquahit
INTRODUCTION – 2ème PARTIE
J’attends donc que l’ambulance vienne nous chercher Jean-Gérard et moi. Je ne connais pas son nom mais je trouve que ça lui va bien.
En attendant je me suis assis sur un banc et observe consciencieusement un filet de bave qui lui coule sur le menton.
Finalement l’ambulance arrive avec 10 bonnes minutes de retard et je prends un air triste, réprimant mon fou rire en me pinçant le bras.
Un ambulancier stagiaire à l’air ahuri descend et entreprends d’attacher Jean-Gérard sur un brancard. Il le laisse tomber par terre.
- Ah okay le noob.
- Pardon ?
- Hem… Rien.
- Ca ne doit pas être facile pour toi. Tu veux qu’on t’emmène avec ?
- Owiii
-
- Heu… Je veux dire… Oui.
Chaud j’ai failli me faire spotted si près du but.
Je monte donc dans ce beau véhicule qui économisera mes augustes pieds, tout de même inquiet qu’on ait cru aussi facilement à notre lien de parenté.
Parce que si j’ai un air de famille avec Jean-Gérard il est temps pour moi de go C+T m’voyez.
Le trajet se déroule sans encombre, je me contente de lire tranquillement des revues médicales tandis que les autres naabs tentent de ranimer Jean-Gérard.
Finalement on arrive devant l’hôpital, j’aperçois même la boulangerie ainsi que la jeune femme qui prépare le pain, ses seins se balançant au rythme des coups de rouleaux servant à pétrir la pâte.
Je suis malheureusement tiré de ma rêverie par Jean-Gérard qui lance d’une voix rauque :
- Ce n’est pas… mon… fils.
Quel racl’ ce Jean-Gérard !
Je sens bien que le stagiaire commence à se douter de quelque chose, il me demande de rester où je suis. Bon… J’avoue que je manque un peu d’expérience IRL, j’improvise donc. J’empoigne une grosse trousse de secours et donne un coup sec sur le crâne du jeune homme avec.
Finalement je me retrouve à courir dehors comme un autiste, la trousse de secours toujours en main. Evidemment je me rends compte que je ne suis pas un pur pro de 200 mètres et l’ambulancier qui a déjà repris ses esprits est déjà après moi. Qu’est-ce qui m’a pris d’improviser ?
Je prends un virage serré et passe devant mon ancienne école primaire tout en adressant une prière à Saint-Cisla. J’entends un bruit sourd, un vieil homme vient d’ouvrir la grille de l’école et me fais signe d’entrer. Merci Saint-Cisla !
- Et bien dis donc ! Ils en ont après toi !
- Oui cay des mechants !
- Heureusement que j’étais là, ils ne penseront pas à vérifier ici si ils voient la grille fermée.
- Merci. C’est quoi votre nom ?
- Robert.
-
Deux possibilités s’ouvraient désormais à moi. Soit je lui faisais confiance ignorant la mythique légende que le 15-18 m’avait appris sur les Roberts. A mes risques et périls. (Bien que mon pauvre derrière refusait avec véhémence cette option. )
Soit j’improvisais encore.
…
BAM !
Finalement j’ai improvisé.
Me voilà donc devant le corps du pauvre Robert gisant à mes pieds le nez ensanglanté. Celui-là il ne se relèvera pas. =$
Au moins au peut dire que toutes ces heures passées sur la boxe de Wii Sport n’auront pas été vaines.
Je jette un furtif coup d’œil à l’extérieur mais apparemment mes poursuivants font toujours des rondes dans la rue. Je m’assieds donc sur le sol, attendant patiemment le moment propice pour sortir. Le soir commence à tomber et il ne reste plus que le stagiaire dehors, il semble avoir très mal digéré son coup de sacoche sur la tête.
La boulangerie doit certainement être fermée depuis longtemps, les heures passent et je médite sur mon action avec Robert. Certes, il m’avait sauvé mais bon… Robert + Ecole primaire c’est louche quoi.
En tout cas il à l’air bien assommé. Ca fait maintenant un quart d’heure que l’ambulancier ne passe plus, il faut dire je ne l’aurais jamais cru si tenace.
Finalement je me lève, j’empoigne la trousse qui me fera un joli souvenir tout en cherchant une quelconque excuse pour ma mère qui doit bien s’inquiéter.
Par mégarde, j’ouvre la trousse, qui révèle son contenu : Une bonne dizaine de liasses de 500 euros qui s’éparpillent par terre.
OMFFFFFFG Qu’est ce que c’est que pour un hôpital !!
En tout cas, je comprends maintenant pourquoi il ne voulait pas me lâcher.
A peine ais-je le temps de ramasser les billets que j’aperçois mon jeune apprenti-ambulancier qui débarque devant la grille.
- Il est ici !! Vite !!
Je voudrais bien courir mais mes jambes ne répondent plus.
J’attends donc que l’ambulance vienne nous chercher Jean-Gérard et moi. Je ne connais pas son nom mais je trouve que ça lui va bien.
En attendant je me suis assis sur un banc et observe consciencieusement un filet de bave qui lui coule sur le menton.
Finalement l’ambulance arrive avec 10 bonnes minutes de retard et je prends un air triste, réprimant mon fou rire en me pinçant le bras.
Un ambulancier stagiaire à l’air ahuri descend et entreprends d’attacher Jean-Gérard sur un brancard. Il le laisse tomber par terre.
- Ah okay le noob.
- Pardon ?
- Hem… Rien.
- Ca ne doit pas être facile pour toi. Tu veux qu’on t’emmène avec ?
- Owiii
-
- Heu… Je veux dire… Oui.
Chaud j’ai failli me faire spotted si près du but.
Je monte donc dans ce beau véhicule qui économisera mes augustes pieds, tout de même inquiet qu’on ait cru aussi facilement à notre lien de parenté.
Parce que si j’ai un air de famille avec Jean-Gérard il est temps pour moi de go C+T m’voyez.
Le trajet se déroule sans encombre, je me contente de lire tranquillement des revues médicales tandis que les autres naabs tentent de ranimer Jean-Gérard.
Finalement on arrive devant l’hôpital, j’aperçois même la boulangerie ainsi que la jeune femme qui prépare le pain, ses seins se balançant au rythme des coups de rouleaux servant à pétrir la pâte.
Je suis malheureusement tiré de ma rêverie par Jean-Gérard qui lance d’une voix rauque :
- Ce n’est pas… mon… fils.
Quel racl’ ce Jean-Gérard !
Je sens bien que le stagiaire commence à se douter de quelque chose, il me demande de rester où je suis. Bon… J’avoue que je manque un peu d’expérience IRL, j’improvise donc. J’empoigne une grosse trousse de secours et donne un coup sec sur le crâne du jeune homme avec.
Finalement je me retrouve à courir dehors comme un autiste, la trousse de secours toujours en main. Evidemment je me rends compte que je ne suis pas un pur pro de 200 mètres et l’ambulancier qui a déjà repris ses esprits est déjà après moi. Qu’est-ce qui m’a pris d’improviser ?
Je prends un virage serré et passe devant mon ancienne école primaire tout en adressant une prière à Saint-Cisla. J’entends un bruit sourd, un vieil homme vient d’ouvrir la grille de l’école et me fais signe d’entrer. Merci Saint-Cisla !
- Et bien dis donc ! Ils en ont après toi !
- Oui cay des mechants !
- Heureusement que j’étais là, ils ne penseront pas à vérifier ici si ils voient la grille fermée.
- Merci. C’est quoi votre nom ?
- Robert.
-
Deux possibilités s’ouvraient désormais à moi. Soit je lui faisais confiance ignorant la mythique légende que le 15-18 m’avait appris sur les Roberts. A mes risques et périls. (Bien que mon pauvre derrière refusait avec véhémence cette option. )
Soit j’improvisais encore.
…
BAM !
Finalement j’ai improvisé.
Me voilà donc devant le corps du pauvre Robert gisant à mes pieds le nez ensanglanté. Celui-là il ne se relèvera pas. =$
Au moins au peut dire que toutes ces heures passées sur la boxe de Wii Sport n’auront pas été vaines.
Je jette un furtif coup d’œil à l’extérieur mais apparemment mes poursuivants font toujours des rondes dans la rue. Je m’assieds donc sur le sol, attendant patiemment le moment propice pour sortir. Le soir commence à tomber et il ne reste plus que le stagiaire dehors, il semble avoir très mal digéré son coup de sacoche sur la tête.
La boulangerie doit certainement être fermée depuis longtemps, les heures passent et je médite sur mon action avec Robert. Certes, il m’avait sauvé mais bon… Robert + Ecole primaire c’est louche quoi.
En tout cas il à l’air bien assommé. Ca fait maintenant un quart d’heure que l’ambulancier ne passe plus, il faut dire je ne l’aurais jamais cru si tenace.
Finalement je me lève, j’empoigne la trousse qui me fera un joli souvenir tout en cherchant une quelconque excuse pour ma mère qui doit bien s’inquiéter.
Par mégarde, j’ouvre la trousse, qui révèle son contenu : Une bonne dizaine de liasses de 500 euros qui s’éparpillent par terre.
OMFFFFFFG Qu’est ce que c’est que pour un hôpital !!
En tout cas, je comprends maintenant pourquoi il ne voulait pas me lâcher.
A peine ais-je le temps de ramasser les billets que j’aperçois mon jeune apprenti-ambulancier qui débarque devant la grille.
- Il est ici !! Vite !!
Je voudrais bien courir mais mes jambes ne répondent plus.
Commentaires
- Needasweet
13/10/2010 à 22:02:54
14 mois et 10 jours plus tard, Hell frappe
- Pseudo supprimé
13/10/2010 à 21:58:10
T'as bien fais d'abandonner ça, le genre trip 15-18 avec un humour...Spécial, un semblant de scénario... Franchement, tu t'attendais à quoi ?
L'utilisation des smileys est nulle, il y pas d'autre mots.
Comme dirait le grand Free Rodolphe.
" C'est nul ! " - Pseudo supprimé
03/08/2009 à 23:16:09
Slurp ,sweet
- Pseudo supprimé
03/08/2009 à 15:41:54
sweet.
- bouffon34
03/08/2009 à 10:32:04
Ah ok le complot internationale
Sweet !!! - hui
03/08/2009 à 09:27:17
Sweet
- KirKill
03/08/2009 à 00:09:29
Jayjay
Sweet - Xeis
02/08/2009 à 23:30:09
Sweet, c'est excellent.