Note de la fic :
Publié le 19/05/2014 à 19:58:30 par Mashimi
Inuo était allongée par terre, et tentait de se relever faiblement, elle semblait s'être faite mal en tombant de l'incubateur. Trois scientifiques l'entouraient et recouvraient son corps nue d'une serviette blanche. D'autres s'agitaient dans la salle. En tout, ils devaient être à peu près une vingtaine dans la pièce. Ses longs cheveux rosés essuyaient le sol, alors je ne pu m'empêcher de m'approcher d'elle et de les glisser dans son dos. Ses yeux se levèrent vers moi faiblement, et elle m'observa, quelques secondes sans rien dire. Le monde s'arrêta de tourner pendant ces quelques instants, et elle me sourit. L'une des deux mains qui la soutenait se tendit vers moi, jusqu'à atteindre ma joue, et dès que le contact entre nos deux corps fut, un grand éclair blanc traversa la pièce. Nous n'étions plus au même endroit.
«Regarde... Gémit elle, c'est beau n'est ce pas ? »
Ma vue était encore brouillée, je ne pouvais distinguer ce qui se présentait devant moi, mais je sentais un doux vent chaud caresser mon visage. Je passais mes mains sur le sol, et sentis de l'herbe, haute et fraîche, tout autour de moi. Dans un effort qui me paru un peu trop dur à réaliser contrairement à d'habitude, je me relevais, et observais autour de moi.
Un magnifique lac s'étendait devant moi, nous étions au milieu de ce qui semblait être une forêt, et à des kilomètres du laboratoire.
«-Comment... ? Demandais-je faiblement.
- Je ne sais pas. Quand je dormais, je rêvais de cet endroit. J'ai toujours voulu y aller. Et maintenant j'y suis, grâce à toi. Je crois. »
Mes idées s'embrouillèrent d'un coup. Inuo semblait si paisible, si calme, alors que nous étions au milieu d'une forêt, sans repère. Mais après tout, elle ne connaissait pas la vie et ses difficultés, d'une certaine façon, elle venait tout juste de naître. Une petite fille insouciante pleine de pouvoir, voilà ce qu'elle était. Et je me devais de lui apprendre à s'en servir correctement, mais si au moins je pouvais savoir quels étaient ils exactement... Les choses se passeraient sûrement bien mieux.
«-Là, c'est vide, je sens un vide. Comment arrête t-on ça ? Je n'aime pas cette sensation. »
En disant cela, ma princesse pointait son ventre du doigt, avec un air triste et plein d'incompréhension. Alors je lui pris la main, l'aida à se relever, et je la vis faire ses premiers pas. Elle ressemblait à un petit faon, apprenant à marcher. A peine essayais-je de lui lâcher la main, qu'elle paniquait, et me suppliait de revenir auprès d'elle. Au bout de quelques mètres, nous finassâmes par trouver un buisson, plein de bais qui, selon mes connaissances, était comestible pour un être humain. Je lui appris donc à les cueillir, récupéra un peu de bois pendant que nous revenions à notre point de départ, au bord du lac, qui ne fus pas trop dur à retrouver, et nous les mangeâmes ensemble, alors que la nuit commençait à tomber.
Elle découvrit aussi le feu, toute excitée, ne comprenant pas trop quelle était cette douleur en passant sa main au milieu. Et après avoir comme « joué » avec, finit par s'endormir, sur mes genoux, paisiblement.
«Regarde... Gémit elle, c'est beau n'est ce pas ? »
Ma vue était encore brouillée, je ne pouvais distinguer ce qui se présentait devant moi, mais je sentais un doux vent chaud caresser mon visage. Je passais mes mains sur le sol, et sentis de l'herbe, haute et fraîche, tout autour de moi. Dans un effort qui me paru un peu trop dur à réaliser contrairement à d'habitude, je me relevais, et observais autour de moi.
Un magnifique lac s'étendait devant moi, nous étions au milieu de ce qui semblait être une forêt, et à des kilomètres du laboratoire.
«-Comment... ? Demandais-je faiblement.
- Je ne sais pas. Quand je dormais, je rêvais de cet endroit. J'ai toujours voulu y aller. Et maintenant j'y suis, grâce à toi. Je crois. »
Mes idées s'embrouillèrent d'un coup. Inuo semblait si paisible, si calme, alors que nous étions au milieu d'une forêt, sans repère. Mais après tout, elle ne connaissait pas la vie et ses difficultés, d'une certaine façon, elle venait tout juste de naître. Une petite fille insouciante pleine de pouvoir, voilà ce qu'elle était. Et je me devais de lui apprendre à s'en servir correctement, mais si au moins je pouvais savoir quels étaient ils exactement... Les choses se passeraient sûrement bien mieux.
«-Là, c'est vide, je sens un vide. Comment arrête t-on ça ? Je n'aime pas cette sensation. »
En disant cela, ma princesse pointait son ventre du doigt, avec un air triste et plein d'incompréhension. Alors je lui pris la main, l'aida à se relever, et je la vis faire ses premiers pas. Elle ressemblait à un petit faon, apprenant à marcher. A peine essayais-je de lui lâcher la main, qu'elle paniquait, et me suppliait de revenir auprès d'elle. Au bout de quelques mètres, nous finassâmes par trouver un buisson, plein de bais qui, selon mes connaissances, était comestible pour un être humain. Je lui appris donc à les cueillir, récupéra un peu de bois pendant que nous revenions à notre point de départ, au bord du lac, qui ne fus pas trop dur à retrouver, et nous les mangeâmes ensemble, alors que la nuit commençait à tomber.
Elle découvrit aussi le feu, toute excitée, ne comprenant pas trop quelle était cette douleur en passant sa main au milieu. Et après avoir comme « joué » avec, finit par s'endormir, sur mes genoux, paisiblement.