Au cœur de mon archipel d’âmes, couvert par un ciel pur aux nuages de lumière, j’ai su convaincre par des mots silencieux les frontière de s’ouvrir et les larmes de couler.


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Je clamerais sous la hache du bourreau la pureté de ce monde. Infime parcelle d’ange, pourquoi te suicider ? Cher enfant, aujourd’hui je rends l’âme, demain tu pousseras ton premier soupir.


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Cœur de cristal, incombustible mais si fragile, résiste à la corruption, à l’avilissement. Loin de la tyrannie des hommes tu ne te briseras pas, loin de leurs clameurs tu ne résonneras pas.


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Tisseur de rêve, admirable conquérant de notre amour. Dans tes yeux profonds comme la joie d’un parent, la douleur d’un veuf, j’ai vu l’Éternité.