Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Courtes histoires


Par : picsou_riche
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3


Publié le 24/04/2014 à 20:43:35 par picsou_riche

Introduction :

Rien pourtant ne peut s'arracher au secret des ombres.
Leur amour est toujours un secret.

PARTIE I :

C'était une homme seul, il n'avait rien, vivait seul dans son appartement qui touchait les nuages. Il était loin de son entourage, il travaillait, et chaque soir en rentrant se sentait partir. Il en avait assez de souffrir, désirait juste quelques caresses, être libre des lames lui taillant les veines, il ne voulait plus vivre son temps à perte.

La fille était le sujet d'une amère solitude. Elle en avait tellement mal, chaque jours c'étaient des larmes, des larmes de douleur, perlantes sur ses yeux, brillante telles des glaciers sur un océan beige. Et cet hiver glaçant, cette fleur d'une pourtant telle beauté, avait un cœur.

Ils étaient seuls, ils avaient peur. Peur de rester seuls toutes leur vie. Ils n'avaient aucune amitié à l'admirable course vers le chemin en papier de l'ivresse amoureuse. Ils préféraient la fuite.
Une âme vierge de bonheur. Le malheur les désenchantés à vivre encore seuls. Ils avaient froid seuls, si éloignés l'un de l'autre, éloignés de l'amour. La pluie tapée les vitres de leurs appartements, le ciel était couvert de nuage, et les fantômes hantaient leurs vie.

« Rien ne peut être fait dans la solitude. »

Mais malgré cette peine, ils étaient fort, ils faisaient paraître une joie de vivre, et c'est deux là, deux personnages tristes de solitudes, tristes de manques d'amour se rencontrèrent alors à un Café des lieux. Sur la terrasse douce, au doux soleil de la fin du jour. Sous la chaleur corporelle de celle qui les supportes, il y eu un regard, un petit sourire.

L'obsession est obscure. Les joues rougissent, le cœur bats, plus vite, encore plus vite, le sang circule dans le corps, et le désir se ressent. Il commence à pleuvoir, le ciel se déchaîne, et d'un coups la tempête se lève. Le violent orage traverse les esprits quelques temps. Finalement, il vaut mieux attendre le dessert.

Mais un autre désirait aussi. L'amour est une guerre. Chaque conquêtes deviennent des batailles entre hommes pour elles, il y a tellement de morts. Il faut tuer, et abattre, car ce sont des filles. Joliment tragique ce soir, oui.

« En général, les filles pensent que rien ne vaut un bon conflit pour se prouver qu'un amour existe. »

Éperdu de tendresse et d'admiration. Glissait une ligne dans le sac de la fille, et se levait pour disparaître. Yeux brillants de larmes, joues rougissantes. Il voulait éclaircir cet obscur orage, qui s'étais déchaîné juste au dessus de son âme. Et sans qu'il ne le sente, "Trente-sept mille six cents secondes de l'heure", battait son coeur. Face contre terres, avant, lever les yeux, maintenant. Elle vint.

Désir pulsionnel de cet ange divin, prunelle de ses yeux. Le danger rodait autour de sa fleur, autrui lui volerait sa passion. Il ne pouvait laisser faire, alors l'acte I devait se terminer. Il s'avançait, la lumière devait être plus lente que lui. Avouer lui, le premier.

Il devait avouer, il fit. Il ne désirait pas se mentir, et encore fuir. Construire un avenir, une relation, était sa volonté. Alors il vint vers elle, de son vouloir. Banane autour de sa taille, sortit un sucre d'Orge, lui donna cannelle. Voulait-elle, que dirait-elle ? Il avait peur, pâle peur, rougeur, bonheur. Sentiments multiples, et il attendait. Tout en même temps venait se mélanger.

« L'amour ne tue pas l'amour, mais les hommes tuent l'amour. »

Mais sa crainte infondée, ne reposait que sur le pessimisme. Idiot ! Car sa réponse fut posée aussitôt. Horrifié, il regardait la fille, et, pris de panique reculait, quelques perles coulaient. Oui.
Ai-je besoin d'insister sur ce sujet ? La réponse est comprise, non ?

PARTIE II :

La figue violette était au dessus du poison. Et la lumière drogue les amoureux, automatiquement tombent dans la folie, et il y avait ce ruban qui définissait le périmètre des grattes-ciels, il était comme une main les englobants, il était vert. La mélodie du sommeil donnait le rire au beau, et sa peau de marbre m'étais horreur.

Loin de là, l'artiste découvrit sur un bateau qui se balance de joie la photographie dans le bleu profond du soir, à l'heure où l'alcool apprécie le soleil libre. Dans les yeux la liberté de l'oiseau se livre.

L'édifice rose était d'une douceur et d'une beauté d'un ange. Il jouait de la lyre au dessus des nuages sirupeux, et ainsi il pouvait permettre à la lune pourpre de dévoiler sa projection spectrale. L'orage sanglant déchirait l'air, et la pluie d'amour laisser mourir le blanc.

PARTIE III :

Et si l'horreur lisait sur sa bouche un morceau d'honnêteté. Alors il pourrait la fuir. L'attente est pénible, il désire lui mentir. Mais c'est à craindre, alors il préfère l'attendrir.

Il était dans la maison, il n'y avait rien, juste une télévision. Une maison au fin fond des montagnes, à travers les sombres forêts, une maison de bois. L'homme faisait la prière, était-ce la folie ? Était-ce la peur ? Car il y avait aussi des armes, il murmurait "régénération".

« Penses-tu que de tels cas existaient réellement. »


L'Homme est sujet à la vie, et la vie signifie l'ennuie. Il pensait au suicide. La vie était sa tyrannie, et il avait froid, il voulait toutes les flammes de l'abîme ! Janvier, février, ces mois de vie citadine.

« Résignée, elle attendait en grelottant, les yeux tendres lui avaient révélé aucun défaut. »


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