Note de la fic :
Monde Inconnu
Par : Maxnono6751
Genre : Fantastique, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Seul...
Publié le 22/03/2015 à 05:02:11 par Maxnono6751
(Lisez le chapitre d'intro, c'est le prologue )
Lorsque j'ouvris les yeux, la lumière du soleil m'éblouit. Il me fallut quelques minutes pour m'habituer à celle-ci.
J'observais à présent le ciel, qui était d'un bleu profond, et dont aucun nuage ne venait gâcher la couleur. De petits oiseaux volaient, enfin petit parce que je les voyais de loin.
Je me frottais les yeux pour tenter d'y voir plus clair, mais je sentis aussitôt une vive douleur dans cette partie. Je regardais rapidement mes mains, et m'aperçut qu'elles étaient couvertes de sable, et que je m'en était mis dans les yeux. Je tentais de l'enlever sans faire empirer les choses, et y arrivais tant bien que mal après une dizaine de minutes.
J'eus enfin la force de me lever, et d'inspecter plus précisément le paysage qui m'entourait. Devant moi, il y avait de l'eau, sûrement une mer ou un océan, vu que je n'apercevais pas de terre à l'horizon, et derrière moi se trouvait une large plaine toute recouverte de hautes herbes vertes.
Et c'est seulement à ce moment là que je réalisai que je ne savais pas où j'étais.
Cette seule pensée me suffit à me faire paniquer. Je perdis mon calme d'il y à quelque minutes, et de nombreuses questions affluèrent soudainement dans ma tête : où étais-je? Que faisais-je là? Pourquoi suis-je là? Comment en suis-je arrivé là? D'où viens-je? Et surtout, qui suis-je?
Autant de questions sans réponses qui restaient en suspens dans mon esprit et m'empêchaient de réfléchir calmement. Je ne me souvenais de rien, si un jour j'avais eu des souvenirs. À cet instant, je me sentais comme une coquille vide, comme un coquillage sans crustacé ou comme une plage sans sable. Je ne savais rien, absolument rien.
Je décidai cependant d'arrêter de m'apitoyer sur mon sort, car dans tout les cas ça ne changerais rien. Je secouais mes mains, mon short et mon T-shirt pour tenter d'en enlever le sable, et commençais à m'avancer dans la plaine, muni d'une simple paire de sandales. Il est clair que si je me faisais attaquer à ce moment-là, que ce soit par un serpent ou par une souris, mes vêtements légers ne me seraient pas d'une grande protection.
Cependant je n'avais pas froid, j'étais mouillé, mais je n'avais pas froid. La température était assez élevée et le soleil tapait violemment sur cette plaine, qui ne disposait d'aucun arbre pour s'abriter.
Après de nombreuses minutes de marche hasardeuse, je n'apercevait même plus le rivage. J'étais seul, perdu dans une plaine. Je ne savais pas où aller, ni vers où marcher, mais je continuais à avancer, sous une chaleur qui devenait de plus en plus forte, le soleil étant au zénith.
Je me mît alors à crier dans l'espoir que quelqu'un m'entende, et vienne peut-être me porter secours. J'avais faim, j'avais soif, et j'étais vraiment épuisé. Je n'avais pas marché très longtemps, mais sans protections, on s'épuise facilement avec une telle chaleur.
Je continuais de crier des appels de secours, mais personne n'était encore venu. J'étais maintenant assis dans l'herbe, en tailleur, ne pouvais plus avancer d'un pas.
Les heures défilèrent. Une heure passa, puis deux, puis trois, puis quatre, et encore une de plus. La journée semblait s'éterniser, et la chaleur régnant dans la plaine ne baissait pas. Ma bouche était sèche, et je ne pouvais même plus prononcer un seul mot. J'allais mourir ici, aussi vite que j'étais arrivé.
Les heures continuaient de passer, mais toujours rien. Je n'avais plus la force de résister à cette chaleur accablante, et mes yeux se fermaient petit à petit. Mes forces me quittaient, et mon corps devenait de plus en plus sec. C'était la fin.
J'avais les yeux fermés lorsque je sentis une vague de fraîcheur me tomber sur le visage. Quel bonheur de sentir mon corps revivre, cela me procura un bien incroyable.
Ma surprise fut totale lorsque j'ouvris les yeux. Une femme, si je pouvais l'appeler comme ça, tenait son visage au-dessus du mien, m'examinant comme je l'examinais. En effet, cette créature étrange avait une peau de couleur verte, et sa bouche sans lèvres s'allongeait de manière démesurée sur son visage. Elle ne possédait pas de nez, mais de simples orifices faisant office de narines, et ses yeux rappelaient ceux d'un reptile. Son corps quant à lui était celui d'une femme à peu près normale, mais recouverte d'écailles.
Elle s'écarta soudainement et parla dans une langue qui m'est inconnue à deux autres créatures de la même race qu'elle. Aussitôt, je fut soulevé, et mît dans une sorte de charrette tirée par un lézard géant.
Les choses qui m'entouraient étaient de plus en plus étranges, cependant je ne pouvais ni bouger, ni parler, étant trop faible pour cela.
Je fermais donc les yeux, et m'abandonnais à cette femme étrange, qui m'avait sauvé d'une mort certaine, mais qui allait peut-être m'amener à une mort plus horrible.
Lorsque j'ouvris les yeux, la lumière du soleil m'éblouit. Il me fallut quelques minutes pour m'habituer à celle-ci.
J'observais à présent le ciel, qui était d'un bleu profond, et dont aucun nuage ne venait gâcher la couleur. De petits oiseaux volaient, enfin petit parce que je les voyais de loin.
Je me frottais les yeux pour tenter d'y voir plus clair, mais je sentis aussitôt une vive douleur dans cette partie. Je regardais rapidement mes mains, et m'aperçut qu'elles étaient couvertes de sable, et que je m'en était mis dans les yeux. Je tentais de l'enlever sans faire empirer les choses, et y arrivais tant bien que mal après une dizaine de minutes.
J'eus enfin la force de me lever, et d'inspecter plus précisément le paysage qui m'entourait. Devant moi, il y avait de l'eau, sûrement une mer ou un océan, vu que je n'apercevais pas de terre à l'horizon, et derrière moi se trouvait une large plaine toute recouverte de hautes herbes vertes.
Et c'est seulement à ce moment là que je réalisai que je ne savais pas où j'étais.
Cette seule pensée me suffit à me faire paniquer. Je perdis mon calme d'il y à quelque minutes, et de nombreuses questions affluèrent soudainement dans ma tête : où étais-je? Que faisais-je là? Pourquoi suis-je là? Comment en suis-je arrivé là? D'où viens-je? Et surtout, qui suis-je?
Autant de questions sans réponses qui restaient en suspens dans mon esprit et m'empêchaient de réfléchir calmement. Je ne me souvenais de rien, si un jour j'avais eu des souvenirs. À cet instant, je me sentais comme une coquille vide, comme un coquillage sans crustacé ou comme une plage sans sable. Je ne savais rien, absolument rien.
Je décidai cependant d'arrêter de m'apitoyer sur mon sort, car dans tout les cas ça ne changerais rien. Je secouais mes mains, mon short et mon T-shirt pour tenter d'en enlever le sable, et commençais à m'avancer dans la plaine, muni d'une simple paire de sandales. Il est clair que si je me faisais attaquer à ce moment-là, que ce soit par un serpent ou par une souris, mes vêtements légers ne me seraient pas d'une grande protection.
Cependant je n'avais pas froid, j'étais mouillé, mais je n'avais pas froid. La température était assez élevée et le soleil tapait violemment sur cette plaine, qui ne disposait d'aucun arbre pour s'abriter.
Après de nombreuses minutes de marche hasardeuse, je n'apercevait même plus le rivage. J'étais seul, perdu dans une plaine. Je ne savais pas où aller, ni vers où marcher, mais je continuais à avancer, sous une chaleur qui devenait de plus en plus forte, le soleil étant au zénith.
Je me mît alors à crier dans l'espoir que quelqu'un m'entende, et vienne peut-être me porter secours. J'avais faim, j'avais soif, et j'étais vraiment épuisé. Je n'avais pas marché très longtemps, mais sans protections, on s'épuise facilement avec une telle chaleur.
Je continuais de crier des appels de secours, mais personne n'était encore venu. J'étais maintenant assis dans l'herbe, en tailleur, ne pouvais plus avancer d'un pas.
Les heures défilèrent. Une heure passa, puis deux, puis trois, puis quatre, et encore une de plus. La journée semblait s'éterniser, et la chaleur régnant dans la plaine ne baissait pas. Ma bouche était sèche, et je ne pouvais même plus prononcer un seul mot. J'allais mourir ici, aussi vite que j'étais arrivé.
Les heures continuaient de passer, mais toujours rien. Je n'avais plus la force de résister à cette chaleur accablante, et mes yeux se fermaient petit à petit. Mes forces me quittaient, et mon corps devenait de plus en plus sec. C'était la fin.
J'avais les yeux fermés lorsque je sentis une vague de fraîcheur me tomber sur le visage. Quel bonheur de sentir mon corps revivre, cela me procura un bien incroyable.
Ma surprise fut totale lorsque j'ouvris les yeux. Une femme, si je pouvais l'appeler comme ça, tenait son visage au-dessus du mien, m'examinant comme je l'examinais. En effet, cette créature étrange avait une peau de couleur verte, et sa bouche sans lèvres s'allongeait de manière démesurée sur son visage. Elle ne possédait pas de nez, mais de simples orifices faisant office de narines, et ses yeux rappelaient ceux d'un reptile. Son corps quant à lui était celui d'une femme à peu près normale, mais recouverte d'écailles.
Elle s'écarta soudainement et parla dans une langue qui m'est inconnue à deux autres créatures de la même race qu'elle. Aussitôt, je fut soulevé, et mît dans une sorte de charrette tirée par un lézard géant.
Les choses qui m'entouraient étaient de plus en plus étranges, cependant je ne pouvais ni bouger, ni parler, étant trop faible pour cela.
Je fermais donc les yeux, et m'abandonnais à cette femme étrange, qui m'avait sauvé d'une mort certaine, mais qui allait peut-être m'amener à une mort plus horrible.
Commentaires
- StrahmSaw
22/03/2015 à 14:53:22
Salut . Plutôt bon début , vocabulaire varié , lisible , compréhensible et intéressant , j'au hâte de voir la suite .