Note de la fic : Non notée
Une nuit, un rêve, ma vie?
Par : LoupVengeur
Genre : No-Fake, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Se dévouer
Publié le 29/11/2014 à 03:55:26 par LoupVengeur
Salut,
suite au sondage, je vais écrire le premier chapitre comme promis. Ne soyez pas étonnez des tournures étranges que mes rêves prennent. Mon esprit est tordu, souvent fatigué et corrompu par ce ce putain de forum.
Je me réveillai sur une planète déserte. Le ciel était étoilé comme si c'était la nuit, mais j'y voyais comme si le soleil était haut dans le ciel. À mes pieds, s'étendait des kilomètres carrées de sable grisâtre. En y repensant, ce lieu me fait étrangement penser à la Lune.
Un homme d'âge mûr m’approcha. Je ne sais pas pourquoi, mais je savais que cet homme était un soldat. Il entreprit une conversation avec moi. Il me parla du manque d'aire de planète et de la nécessité de trouver une solution. J'essayai de répondre, mais je n'en fus incapable. Le militaire en fût surpris d'une drôle de manière; comme un réjouissance et une peur condensé en une réaction. Il pointa du doigt un petit arbre asséché et dépourvu de feuille. À l'horizon, un arbre semblable se distinguait de peine.
Tout à coup, on m'embarqua dans un genre de voiture spatial de militaire. Le véhicule pris rapidement la route. Durant le trajet, le paysage se résumait à quelques infrastructures, du sable et cinq arbres.
Je ne savais à peine où j'étais que une fois arrivé, on me donna une arme ainsi que casque. J'enfilai le casque et sans latence un HUD s’afficha. Les gens se sont mis à me parler de cette endroit comme une forteresse d'infidèle. Les « Inhumains »; voilà comme ils les baptisèrent. Au fil de leurs conversations, j'appris que ils étaient une race autochtone intelligente et qu'ils avaient développé un moyen de compenser les arbres. Leurs descriptions s'apparentaient à des monstres dénué de sentiment.
Tous ces lieux et personnes inconnus semblais normal dans mon sommeille, mais une fois éveillé tout ceci m'était inconnu. Un homme et une femme me pointa une une porte. J'avais compris qu'ils voulaient que je la franchis. D'un pas rapide, je traversai.
J'étais dans une grande salle à trois voix remplis de tourelles et avec un unité centrale à chaque bout. Le radar de mon HUD s'activa et se mis à afficher la position de mes coéquipiers. À ce moment précis, je comprenais une unique chose; je me trouvais dans un MOBA. Du coup, j'allais jouer.
◄---------------------------------☼---------------
------------------►
Avec ma présence, le sort du combat était scellé. Nous enchaînions les tourelles une par une. Les ennemies tombèrent un par un. Leurs technologies étaient supérieurs et leurs défense nobles, mais nous étions plus nombreux. Sans oublier moi, qui est d'une force incroyable. Je suis désolé, mais je me rappelle qu»'à 40% de cette partie. Les majeur souvenirs que j'ai est que j'utilisais beaucoup mes techniques et la fin. Oui, cette fin qui s'est gravé dans ma mémoire que je me force d'oublier.
Tout ce passa devant le « Nexus » (LOL). Pendant qu'on l'achevais, la princesse des extraterrestres se mis entre moi et la machine et m'approcha, ainsi encaissant quelques de mes tires. Mon HUD avait à peine eu le temps de l'afficher en santé faible, qu'elle m'enleva le casque et m'adressa la parole.
— Regarde la réalité, dit-elle.
Je me tourna et vis des dizaines de cadavres jonché sur le sol. Ce n’était pas des monstres, mais des humanoïdes comme moi. Ceux qui n'avaient pas rendu l'âme se noyaient dans leurs sangs en regardant péniblement leurs défaites. Le casque me cachait aussi l'odeur atroce de chair brûlé. Ces profonds yeux encadrés de sa jolie chevelure rose fixèrent mes pupilles.
— Nous sommes des humains comme vous. Nous avons des émotions, des famille,s une fierté et des attirances en laissant une bretelles de sa robe tombée et dévoiler un coquin décolleté, chuchota-t-elle doucement.
Je venais de réduire en cendre une civilisation, sa civilisation. Les remords et larmes me venaient. Je ne pouvais accepter ce que j'avais fais. J'avais peur de moi-même. Sans savoir pourquoi, j’étais entrain de faire l'amour après. Je lui donnais tout l'amour que je pouvais, mais son regard. Son regard n'avait aucun sentiment.
suite au sondage, je vais écrire le premier chapitre comme promis. Ne soyez pas étonnez des tournures étranges que mes rêves prennent. Mon esprit est tordu, souvent fatigué et corrompu par ce ce putain de forum.
Je me réveillai sur une planète déserte. Le ciel était étoilé comme si c'était la nuit, mais j'y voyais comme si le soleil était haut dans le ciel. À mes pieds, s'étendait des kilomètres carrées de sable grisâtre. En y repensant, ce lieu me fait étrangement penser à la Lune.
Un homme d'âge mûr m’approcha. Je ne sais pas pourquoi, mais je savais que cet homme était un soldat. Il entreprit une conversation avec moi. Il me parla du manque d'aire de planète et de la nécessité de trouver une solution. J'essayai de répondre, mais je n'en fus incapable. Le militaire en fût surpris d'une drôle de manière; comme un réjouissance et une peur condensé en une réaction. Il pointa du doigt un petit arbre asséché et dépourvu de feuille. À l'horizon, un arbre semblable se distinguait de peine.
Tout à coup, on m'embarqua dans un genre de voiture spatial de militaire. Le véhicule pris rapidement la route. Durant le trajet, le paysage se résumait à quelques infrastructures, du sable et cinq arbres.
Je ne savais à peine où j'étais que une fois arrivé, on me donna une arme ainsi que casque. J'enfilai le casque et sans latence un HUD s’afficha. Les gens se sont mis à me parler de cette endroit comme une forteresse d'infidèle. Les « Inhumains »; voilà comme ils les baptisèrent. Au fil de leurs conversations, j'appris que ils étaient une race autochtone intelligente et qu'ils avaient développé un moyen de compenser les arbres. Leurs descriptions s'apparentaient à des monstres dénué de sentiment.
Tous ces lieux et personnes inconnus semblais normal dans mon sommeille, mais une fois éveillé tout ceci m'était inconnu. Un homme et une femme me pointa une une porte. J'avais compris qu'ils voulaient que je la franchis. D'un pas rapide, je traversai.
J'étais dans une grande salle à trois voix remplis de tourelles et avec un unité centrale à chaque bout. Le radar de mon HUD s'activa et se mis à afficher la position de mes coéquipiers. À ce moment précis, je comprenais une unique chose; je me trouvais dans un MOBA. Du coup, j'allais jouer.
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Avec ma présence, le sort du combat était scellé. Nous enchaînions les tourelles une par une. Les ennemies tombèrent un par un. Leurs technologies étaient supérieurs et leurs défense nobles, mais nous étions plus nombreux. Sans oublier moi, qui est d'une force incroyable. Je suis désolé, mais je me rappelle qu»'à 40% de cette partie. Les majeur souvenirs que j'ai est que j'utilisais beaucoup mes techniques et la fin. Oui, cette fin qui s'est gravé dans ma mémoire que je me force d'oublier.
Tout ce passa devant le « Nexus » (LOL). Pendant qu'on l'achevais, la princesse des extraterrestres se mis entre moi et la machine et m'approcha, ainsi encaissant quelques de mes tires. Mon HUD avait à peine eu le temps de l'afficher en santé faible, qu'elle m'enleva le casque et m'adressa la parole.
— Regarde la réalité, dit-elle.
Je me tourna et vis des dizaines de cadavres jonché sur le sol. Ce n’était pas des monstres, mais des humanoïdes comme moi. Ceux qui n'avaient pas rendu l'âme se noyaient dans leurs sangs en regardant péniblement leurs défaites. Le casque me cachait aussi l'odeur atroce de chair brûlé. Ces profonds yeux encadrés de sa jolie chevelure rose fixèrent mes pupilles.
— Nous sommes des humains comme vous. Nous avons des émotions, des famille,s une fierté et des attirances en laissant une bretelles de sa robe tombée et dévoiler un coquin décolleté, chuchota-t-elle doucement.
Je venais de réduire en cendre une civilisation, sa civilisation. Les remords et larmes me venaient. Je ne pouvais accepter ce que j'avais fais. J'avais peur de moi-même. Sans savoir pourquoi, j’étais entrain de faire l'amour après. Je lui donnais tout l'amour que je pouvais, mais son regard. Son regard n'avait aucun sentiment.