Note de la fic : 
DISPOWER
Par : LePtitChatFou
Genre : Action, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : SENTIMENTS
Publié le 07/12/2014 à 05:55:09 par LePtitChatFou
BOUM !
Un bruit sourd avait retenti à l’extérieur. Tout le monde dans le KFC a l’air stupéfié. C’est le silence dans le restaurant. Le bruit que l’on vient d’entendre à l’instant a l’air de venir du parking.
RINGO : On aurait dit une explosion. Qu’est-ce qui se passe ?
Moi : Bonne question, dis-je tout en ayant l’air inquiet.
Je m’empresse de me lever pour aller voir ce qui s’était passé dehors. J’ouvre la porte et sors. Là , je vois une voiture complètement détruite, du feu s’échappe de la carcasse. J’aperçois quelqu’un avec une capuche sur la tête s’enfuir en marchant à vive allure au loin. Il fallait le suivre. Je commence à courir pour le rattraper mais je suis interrompu dans mon élan.
RINGO : Je viens avec toi.
C’est Ringo. Elle était venue me rejoindre à l’extérieur et elle s’agrippée à mon blouson.
Moi : Non toi, tu restes là . Quand la police arrivera sur les lieux, tu diras ce que tu as vu.
RINGO : Mais je…
Moi : Je te considère comme ma sœur, je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Retourne à l’intérieur et attends moi, je reviendrais sous peu.
RINGO : D’accord…, dit-elle en soupirant.
Elle repart à l’intérieur. Je m’élance donc en direction de la personne qui était près de la voiture au moment des faits. Etait-ce un homme ? Une femme ? Il fallait le découvrir. Il est loin devant moi mais j’arrive à le suivre discrètement. Je continue à le suivre. Puis, deux bonnes minutes plus tard, il s’arrête au beau milieu d’une allée sombre, la lumière du jour n’arrivant pas à se frayer un chemin. Il est dos à moi, je distingue à peine sa silhouette.
??? : Que me veux-tu ?
Moi : C’est toi qui a fait ça, j’ai vu que tu t’enfuyais.
??? : Oui et ? Je te conseille de partir si tu ne veux pas finir blessé.
Moi : Tu crois que tu me fais peur ? Viens avec moi et explique ce que tu as fait à la police.
??? : Ah ouai ? Tu crois ça ?
Je vois alors des flammes s’échapper de ses mains. Il retire sa capuche. C’était un garçon et il devait avoir le même âge que moi. Il était blond aux cheveux courts et ses yeux étaient rouges. Je ne comprends pas, était-ce un tour de magie pour me faire peur ? Non, cela a l’air bien réel. Mais qui est-il ?
??? : Dernier avertissement. Pars ou meurs.
TUUUUU
C’est le bruit de la sirène de police qui se rapproche. Il remet sa capuche et s’empresse de partir. Avant qu’il ne parte, je lui pose une question.
Moi : Qui es-tu ?
??? : Je m’appelle Vincent et je manie le feu. Et toi, qui es-tu ? Tu n’es même pas un DISPOWER je présume, vu ta réaction.
BLAM
C’est le bruit du claquement des portes des voitures derrière moi. La police vient d’arriver. Mais l’étrange individu s’enfuit sans que je puisse lui répondre.
Peu de temps après, Ringo et moi finissons au poste de police. En effet, Le capitaine de la police voulait connaître ce qui s’était passé, on a du faire une déposition au poste. Bien entendu, je ne dit rien concernant ce que j’avais vu réellement sinon, on me prendrait pour un fou.
Moi : Euh, je n’ai pas pu vraiment le voir, il faisait sombre dans cette rue et il avait une capuche noir.
Capitaine de la police : Arf, ce n’est pas vrai ! On n’a vraiment aucun indice sur ce mec qui a cramé cette bagnole. Bon vous pouvez y aller les enfants.
On sort. Il est déjà 15 H et il est trop tard pour retourner en cours. La police a prévenu le lycée qu’on ne serait pas là de l’après-midi. Ringo et moi décidons alors de repartir chez nous.
J’arrive chez moi et propose à Ringo de rester un peu. Puis, je lui dis la vérité. D’ailleurs vu sa réaction, elle a un peu de mal à me croire.
RINGO : Donc, tu l’a vu manipuler du feu avec ses mains ? J’ai du mal à y croire.
Moi : Et pourtant c’est vrai, je t’assure. Je ne sais pas ce qu’il est, mais ce n’est pas normal.
RINGO : C’est étrange, il faudrait se renseigner là -dessus.
Moi : Très bien, c’est le week-end alors je te propose de venir dormir chez moi ce soir et on essaiera de glaner quelques informations :
RINGO : D’accord, je rentre chez moi chercher quelques affaires et je reviens d’ici une demi-heure.
Moi : Très bien, à tout à l’heure !
RINGO : Oui, dit-elle en esquissant un léger sourire.
20 H 30, Ringo et moi essayons de trouver des infos sur le net mais sans succès.
Moi : Ah ! Je pense que ça ne sert à rien de chercher la dessus, il faut que je retrouve ce mec, il n’y a que ça à faire !
Ringo ne dit rien. Elle avait baissé la tête et devait être perdu dans ses pensées. Je me dois de la réconforter.
Moi : J’ai la dalle en plus ! Tu veux manger quoi Ringo ?
RINGO : Ah ! Je veux bien manger une salade compo…
Moi : Mais oui, j’ai bien entendu ! Tu as dit un steak haché ! Très bien, je te prépare ça.
Soudain, c’est le silence. Elle est peut-être triste.
Moi : Ne t’inquiètes pas Ringo, si il y a quelque chose qui te chiffonne, tu peux me le dire.
Elle relève la tête et me sourit.
RINGO : Un steak haché ça ira très bien.
Alors je m’exécute. Je vais chercher deux steaks hachés dans le congèle. Je sors la poêle et commence à cuisiner. La cuisine ? C’est ma sœur qui m’a apprit à cuisiner. Elle a 22 ans et n’habite plus à la maison. Elle est partie travailler dans une autre ville, Paris je crois. On ne se voit pas beaucoup de fois dans l’année car apparemment, elle est très prise par son boulot mais on reste tout de même en contact. Les steaks sont en train de cuire et pendant ce temps, je sors les couverts et les assiettes.
Moi : Ringo c’est bientôt pr…
Tout à coup je sens une étreinte au niveau de la taille. Ringo viens de m’enlacer. Je ne m’étais même pas rendu compte qu’elle était juste derrière moi. C'est vrai qu'elle peut être très discrète parfois. Je sens sa respiration au niveau de ma nuque. Je sais très bien ce que cela signifie.
RINGO : Yuki je…
Moi : …
Je veux l’arrêter, je ne veux pas qu’elle dise un mot de plus. Je ne veux pas savoir ce qu'elle va me dire même si sais exactement de quoi il en est. Ces derniers temps, ça se voyait de plus en plus qu’elle était tombée amoureuse de moi, mais je ne voulais pas l’admettre. Je désirais juste que l’on reste ami. J’ai partagé presque toute ma vie avec elle mais se mettre ensemble me donnais l’impression que tout serait différent entre nous. Après tout, elle est comme une sœur pour moi.
RINGO : Je t’aime !
C’est alors que je ressens un léger pincement au cœur. C’est à moi de parler, de dire quelque chose. Il faut que je réfléchisse à ce que je vais répondre mais je n’y arrive pas. Tout est flou dans ma tête et pourtant, quand je me retournerais vers elle, il faudra faire quelque chose. Je n’en peux plus, je ne sas pas quoi faire, la pression monte en moi. Je décide alors de me retourner vers elle.
RINGO : Yu…
Et je ne peux résister une seconde de plus à mes sentiments, à ce que je ressens. Je m’empresse de l’embrasser.
Après un long baiser entre nous deux, on se regarde quelques instants dans les yeux. Ses yeux sont magnifiques, je n'ai jamais vraiment pris la peine de les regarder auparavant.
SHTTTTT
Moi : Euh, tu peux me passer les assiettes s’il te plaît ? Les steaks sont prêts.
RINGO : Ah euh oui, attends.
Puis, nous mangeons dans le salon tout en regardant un film. Nous sommes assis sur le canapé. Ringo est collé contre moi pendant tout le long du film. Puis, je sens sa tête basculée légèrement contre mon épaule. Elle vient de s’endormir. Je regarde son visage, je trouve qu’elle a l’air tellement innocent lorsqu’elle dort. Je décide alors de m’endormir également, posant ma tête contre la sienne. La journée avait été mouvementée, il est l'heure de se reposer.
Un bruit sourd avait retenti à l’extérieur. Tout le monde dans le KFC a l’air stupéfié. C’est le silence dans le restaurant. Le bruit que l’on vient d’entendre à l’instant a l’air de venir du parking.
RINGO : On aurait dit une explosion. Qu’est-ce qui se passe ?
Moi : Bonne question, dis-je tout en ayant l’air inquiet.
Je m’empresse de me lever pour aller voir ce qui s’était passé dehors. J’ouvre la porte et sors. Là , je vois une voiture complètement détruite, du feu s’échappe de la carcasse. J’aperçois quelqu’un avec une capuche sur la tête s’enfuir en marchant à vive allure au loin. Il fallait le suivre. Je commence à courir pour le rattraper mais je suis interrompu dans mon élan.
RINGO : Je viens avec toi.
C’est Ringo. Elle était venue me rejoindre à l’extérieur et elle s’agrippée à mon blouson.
Moi : Non toi, tu restes là . Quand la police arrivera sur les lieux, tu diras ce que tu as vu.
RINGO : Mais je…
Moi : Je te considère comme ma sœur, je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit. Retourne à l’intérieur et attends moi, je reviendrais sous peu.
RINGO : D’accord…, dit-elle en soupirant.
Elle repart à l’intérieur. Je m’élance donc en direction de la personne qui était près de la voiture au moment des faits. Etait-ce un homme ? Une femme ? Il fallait le découvrir. Il est loin devant moi mais j’arrive à le suivre discrètement. Je continue à le suivre. Puis, deux bonnes minutes plus tard, il s’arrête au beau milieu d’une allée sombre, la lumière du jour n’arrivant pas à se frayer un chemin. Il est dos à moi, je distingue à peine sa silhouette.
??? : Que me veux-tu ?
Moi : C’est toi qui a fait ça, j’ai vu que tu t’enfuyais.
??? : Oui et ? Je te conseille de partir si tu ne veux pas finir blessé.
Moi : Tu crois que tu me fais peur ? Viens avec moi et explique ce que tu as fait à la police.
??? : Ah ouai ? Tu crois ça ?
Je vois alors des flammes s’échapper de ses mains. Il retire sa capuche. C’était un garçon et il devait avoir le même âge que moi. Il était blond aux cheveux courts et ses yeux étaient rouges. Je ne comprends pas, était-ce un tour de magie pour me faire peur ? Non, cela a l’air bien réel. Mais qui est-il ?
??? : Dernier avertissement. Pars ou meurs.
TUUUUU
C’est le bruit de la sirène de police qui se rapproche. Il remet sa capuche et s’empresse de partir. Avant qu’il ne parte, je lui pose une question.
Moi : Qui es-tu ?
??? : Je m’appelle Vincent et je manie le feu. Et toi, qui es-tu ? Tu n’es même pas un DISPOWER je présume, vu ta réaction.
BLAM
C’est le bruit du claquement des portes des voitures derrière moi. La police vient d’arriver. Mais l’étrange individu s’enfuit sans que je puisse lui répondre.
Peu de temps après, Ringo et moi finissons au poste de police. En effet, Le capitaine de la police voulait connaître ce qui s’était passé, on a du faire une déposition au poste. Bien entendu, je ne dit rien concernant ce que j’avais vu réellement sinon, on me prendrait pour un fou.
Moi : Euh, je n’ai pas pu vraiment le voir, il faisait sombre dans cette rue et il avait une capuche noir.
Capitaine de la police : Arf, ce n’est pas vrai ! On n’a vraiment aucun indice sur ce mec qui a cramé cette bagnole. Bon vous pouvez y aller les enfants.
On sort. Il est déjà 15 H et il est trop tard pour retourner en cours. La police a prévenu le lycée qu’on ne serait pas là de l’après-midi. Ringo et moi décidons alors de repartir chez nous.
J’arrive chez moi et propose à Ringo de rester un peu. Puis, je lui dis la vérité. D’ailleurs vu sa réaction, elle a un peu de mal à me croire.
RINGO : Donc, tu l’a vu manipuler du feu avec ses mains ? J’ai du mal à y croire.
Moi : Et pourtant c’est vrai, je t’assure. Je ne sais pas ce qu’il est, mais ce n’est pas normal.
RINGO : C’est étrange, il faudrait se renseigner là -dessus.
Moi : Très bien, c’est le week-end alors je te propose de venir dormir chez moi ce soir et on essaiera de glaner quelques informations :
RINGO : D’accord, je rentre chez moi chercher quelques affaires et je reviens d’ici une demi-heure.
Moi : Très bien, à tout à l’heure !
RINGO : Oui, dit-elle en esquissant un léger sourire.
20 H 30, Ringo et moi essayons de trouver des infos sur le net mais sans succès.
Moi : Ah ! Je pense que ça ne sert à rien de chercher la dessus, il faut que je retrouve ce mec, il n’y a que ça à faire !
Ringo ne dit rien. Elle avait baissé la tête et devait être perdu dans ses pensées. Je me dois de la réconforter.
Moi : J’ai la dalle en plus ! Tu veux manger quoi Ringo ?
RINGO : Ah ! Je veux bien manger une salade compo…
Moi : Mais oui, j’ai bien entendu ! Tu as dit un steak haché ! Très bien, je te prépare ça.
Soudain, c’est le silence. Elle est peut-être triste.
Moi : Ne t’inquiètes pas Ringo, si il y a quelque chose qui te chiffonne, tu peux me le dire.
Elle relève la tête et me sourit.
RINGO : Un steak haché ça ira très bien.
Alors je m’exécute. Je vais chercher deux steaks hachés dans le congèle. Je sors la poêle et commence à cuisiner. La cuisine ? C’est ma sœur qui m’a apprit à cuisiner. Elle a 22 ans et n’habite plus à la maison. Elle est partie travailler dans une autre ville, Paris je crois. On ne se voit pas beaucoup de fois dans l’année car apparemment, elle est très prise par son boulot mais on reste tout de même en contact. Les steaks sont en train de cuire et pendant ce temps, je sors les couverts et les assiettes.
Moi : Ringo c’est bientôt pr…
Tout à coup je sens une étreinte au niveau de la taille. Ringo viens de m’enlacer. Je ne m’étais même pas rendu compte qu’elle était juste derrière moi. C'est vrai qu'elle peut être très discrète parfois. Je sens sa respiration au niveau de ma nuque. Je sais très bien ce que cela signifie.
RINGO : Yuki je…
Moi : …
Je veux l’arrêter, je ne veux pas qu’elle dise un mot de plus. Je ne veux pas savoir ce qu'elle va me dire même si sais exactement de quoi il en est. Ces derniers temps, ça se voyait de plus en plus qu’elle était tombée amoureuse de moi, mais je ne voulais pas l’admettre. Je désirais juste que l’on reste ami. J’ai partagé presque toute ma vie avec elle mais se mettre ensemble me donnais l’impression que tout serait différent entre nous. Après tout, elle est comme une sœur pour moi.
RINGO : Je t’aime !
C’est alors que je ressens un léger pincement au cœur. C’est à moi de parler, de dire quelque chose. Il faut que je réfléchisse à ce que je vais répondre mais je n’y arrive pas. Tout est flou dans ma tête et pourtant, quand je me retournerais vers elle, il faudra faire quelque chose. Je n’en peux plus, je ne sas pas quoi faire, la pression monte en moi. Je décide alors de me retourner vers elle.
RINGO : Yu…
Et je ne peux résister une seconde de plus à mes sentiments, à ce que je ressens. Je m’empresse de l’embrasser.
Après un long baiser entre nous deux, on se regarde quelques instants dans les yeux. Ses yeux sont magnifiques, je n'ai jamais vraiment pris la peine de les regarder auparavant.
SHTTTTT
Moi : Euh, tu peux me passer les assiettes s’il te plaît ? Les steaks sont prêts.
RINGO : Ah euh oui, attends.
Puis, nous mangeons dans le salon tout en regardant un film. Nous sommes assis sur le canapé. Ringo est collé contre moi pendant tout le long du film. Puis, je sens sa tête basculée légèrement contre mon épaule. Elle vient de s’endormir. Je regarde son visage, je trouve qu’elle a l’air tellement innocent lorsqu’elle dort. Je décide alors de m’endormir également, posant ma tête contre la sienne. La journée avait été mouvementée, il est l'heure de se reposer.