Note de la fic :
Une vie de folie
Par : dylan88
Genre : Science-Fiction, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Toutes les bonnes choses ont une fin.
Publié le 16/04/2013 à 23:52:29 par dylan88
Une semaine est passée depuis cet fusillade et cela fait aussi une semaine que l'homme est évanoui.
Sur ordre de David, les mercenaires ont soignés toute les blessures, ce qui étonne les hommes à chaque fois qu'il vont le soigner, mais ils préfèrent ne pas discuter les ordres du chef, ils savent que ça peut très mal tourner, enfin ils savent que ça va très mal tourner si ils contredisent David.
Après une semaine de soins, le prisonnier se réveille. Il est en parfaite santé. David, mit au courant de cela, entre dans la chambre où est le prisonnier qui est assis sur son lit.
David prend une chaise sur le lit et la place devant l'étranger et commença à parler :
« Salut, comment t'appelles tu ? »
« Je m'appelle Johnny, et toi ? »
« Euh, je pense pas que t'est à savoir mon nom. Mais je vais être clair, tu vois le monde qui a dehors ? Et bah ici c'est pire, t'est ma chose maintenant tu comprends ? Tu comprends ?!! Toi t'est rien ici, t'est juste le machin qui m'as me servir de défouloir. »
« T'est qui espèce de taré ? » Répond spontanément l'homme.
« Moi je suis un taré ? Moi je suis un taré ?!! Et bien je vais te montrer à quelle point je suis taré. »
David sort son couteau, il prend la main de l'étranger, la pose sur la table à côté, et la transperce. Puis il se met à crier :
« T'est ma chose, tu comprends, t'est mon animal de compagnie, je fais ce que je veux de toi et toi tu te la fermes ok !! il se calme et reprend, alors maintenant, on va soigner ta main et tu vas te reposer, demain va être une dure journée pour toi. »
Sur ces mots, David sort de la pièce sans se retourner, et va regarder la télé, laissant l'étranger, la main en sang, le regard rempli de douleur et ayant des larmes aux yeux tellement il avait mal. Les mercenaires viennent le soigner une nouvelle fois. Et la torture recommença pendant une semaine, David prenait plaisir à torturer l'homme, qui était fatigué de ses tortures, il se faisait soigner à chaque fois, mais la torture devenait de plus en plus douloureuse et dangereuse, et les ressources humanitaires de l'homme ne pouvait pas tenir pendant une semaine à toute ses attaques incessantes de la folie de David.
Mais au bout d'une semaine, David se lasse de son jouet, il décide alors d'avoir un dernier divertissement avec cet homme, il retourne dans la chambre de l'étranger est lui dit :
« Écoute, je sais qu'on a pas commencer en bon terme nous deux, mais il faut voir le bon côté des choses, tu m'as bien divertis durant cette semaine, je ne me suis jamais autant amusé que durant ces 7 jours, c'était cool je te jure. Et j'ai un dernier jeu à te proposer, ou plutôt je vais te forcer à jouer à mon dernier jeu, si tu gagnes, je te jure que je te laisserais partir, mais si tu perds, bah tu meurs c'est tout, David regarde d'un air amusé l'homme fatigué par tous ces jeux, il rajouta, allez choper un zombie dans la rue et amené le moi, et emmenez aussi notre cher ami dans la salle close. »
La salle close est une pièce, comme son nom l'indique, où se défoulait les mercenaires, il prenait des membres de gang rival, et ils s'amusaient à les passés à tabac à cinq contre un.
Lorsque le zombie fût amené et que l'homme fût lui aussi dans la salle, David qui a le zombie au bout d'une perche, approche le zombie et le balance sur le prisonnier.
L'homme avait le zombie sur son torse, il le retenait avec ces bras pour ne pas qu'il le dévore, David, à quelques mètres, regardait la scène d'un air amusé :
« Aller mon pote, vas y résiste, dit David en rigolant, »
L'homme, fatigué de cette bataille, n'avait plus de force dans les bras pour repousser le zombie qui commença à lui dévorer le bras.
« Oh t'as perdu, c'est dommage, t'avais l'air fort pourtant, mais bon ce p*tain de monde t'as vaincu mon pote. »
David s'approcha, sortit son colt, tira une balle dans la tête de zombie, s »'approcha ensuite du survivant mordu, mit son pied sur son torse et lui dit :
« Tu vois hermano, tu ne me connais pas, mais moi je te connais, et il faut dire tu m'as bien amusé. »
David se retourna vers ses hommes qui regardaient eux aussi la scène : « Vous aussi il vous as bien amusé hein ? »
« Ah oui patron, ça c'est du divertissement, répondirent les hommes. »
« Et j'aime bien ton t-shirt, tu crois que je peux te l'emprunter quand je t'aurais mis une balle ? réponds -moi p*tain !!! »
L'homme le regardait, il savait que David n'allait pas le sauver, il regretta d'avoir demander de l'aide à David et à son gang, il ne répondit pas, Ce qui énerva David qui lui mit un violent coup de pied dans le ventre.
Le chef de gang se baissa et ajouta :
« Tu as perdu, c'est la règle du jeu, t'est un p*tain de perdant mon pote !! Laisse moi juste te poser une question avant que je te mette une balle. On t'as déjà donner la définition du mot « Folie » ? Non ? Je vais te la donner, la « folie » c'est lorsque l'on commet les mêmes erreurs deux fois, rappelle toi d'il y a deux semaines, tu te souviens quand tu nous a volé nos armes hein ? Ces armes qui étaient en plein milieux de la rue, et oui je t'ai vu, mais maintenant, t'est là, par terre, comme une merde !! en train de souffrir, tu sais, ça me fait du mal de te voir comme ça, je te jure, ça me fait du mal de voir ton beau t-shirt traîner par terre, d'ailleurs, j’espère qu'il ait à ma taille, je me verrais bien avec. «
Il se retourna une nouvelle fois vers ses hommes et dit :
« Et vous les gars vous penser qu'il irait bien sur moi ? »
« Oui patron, il irait à merveille sur vous. »
« Tu vois, même mes hommes le disent, bon, il est temps de te donner ta récompense. »
David plaça son colt sur le front de l'homme, et il tira.
« Voilà ce que devienne les perdants, allez les gars, débarrassez moi du zombie et du type au beau t-shirt, et d'ailleurs donnez le moi, je vais aller l'essayer, »
Après cette scène, David prend le t-shirt et va l'essayer, mais pendant qu'il l'essaya, il entend plusieurs détonations qui font sauter les portes et fenêtres de la planque, il entend aussi des grognements de zombies au pas de la porte. Leur sécurité vient de céder et il se retrouve tous maintenant sans protection, avec tout les rôdeurs de la ville, attirer par le bruit de la détonation, qui arrive vers eux.
A suivre...
Juste pour répondre à Droran, concernant les changements de temps, les premiers chapitres de la FIC est écrit depuis de l'année, mais ne vous inquiétez, le texte va être au présent à partir du deuxième chapitre je crois.
Sur ordre de David, les mercenaires ont soignés toute les blessures, ce qui étonne les hommes à chaque fois qu'il vont le soigner, mais ils préfèrent ne pas discuter les ordres du chef, ils savent que ça peut très mal tourner, enfin ils savent que ça va très mal tourner si ils contredisent David.
Après une semaine de soins, le prisonnier se réveille. Il est en parfaite santé. David, mit au courant de cela, entre dans la chambre où est le prisonnier qui est assis sur son lit.
David prend une chaise sur le lit et la place devant l'étranger et commença à parler :
« Salut, comment t'appelles tu ? »
« Je m'appelle Johnny, et toi ? »
« Euh, je pense pas que t'est à savoir mon nom. Mais je vais être clair, tu vois le monde qui a dehors ? Et bah ici c'est pire, t'est ma chose maintenant tu comprends ? Tu comprends ?!! Toi t'est rien ici, t'est juste le machin qui m'as me servir de défouloir. »
« T'est qui espèce de taré ? » Répond spontanément l'homme.
« Moi je suis un taré ? Moi je suis un taré ?!! Et bien je vais te montrer à quelle point je suis taré. »
David sort son couteau, il prend la main de l'étranger, la pose sur la table à côté, et la transperce. Puis il se met à crier :
« T'est ma chose, tu comprends, t'est mon animal de compagnie, je fais ce que je veux de toi et toi tu te la fermes ok !! il se calme et reprend, alors maintenant, on va soigner ta main et tu vas te reposer, demain va être une dure journée pour toi. »
Sur ces mots, David sort de la pièce sans se retourner, et va regarder la télé, laissant l'étranger, la main en sang, le regard rempli de douleur et ayant des larmes aux yeux tellement il avait mal. Les mercenaires viennent le soigner une nouvelle fois. Et la torture recommença pendant une semaine, David prenait plaisir à torturer l'homme, qui était fatigué de ses tortures, il se faisait soigner à chaque fois, mais la torture devenait de plus en plus douloureuse et dangereuse, et les ressources humanitaires de l'homme ne pouvait pas tenir pendant une semaine à toute ses attaques incessantes de la folie de David.
Mais au bout d'une semaine, David se lasse de son jouet, il décide alors d'avoir un dernier divertissement avec cet homme, il retourne dans la chambre de l'étranger est lui dit :
« Écoute, je sais qu'on a pas commencer en bon terme nous deux, mais il faut voir le bon côté des choses, tu m'as bien divertis durant cette semaine, je ne me suis jamais autant amusé que durant ces 7 jours, c'était cool je te jure. Et j'ai un dernier jeu à te proposer, ou plutôt je vais te forcer à jouer à mon dernier jeu, si tu gagnes, je te jure que je te laisserais partir, mais si tu perds, bah tu meurs c'est tout, David regarde d'un air amusé l'homme fatigué par tous ces jeux, il rajouta, allez choper un zombie dans la rue et amené le moi, et emmenez aussi notre cher ami dans la salle close. »
La salle close est une pièce, comme son nom l'indique, où se défoulait les mercenaires, il prenait des membres de gang rival, et ils s'amusaient à les passés à tabac à cinq contre un.
Lorsque le zombie fût amené et que l'homme fût lui aussi dans la salle, David qui a le zombie au bout d'une perche, approche le zombie et le balance sur le prisonnier.
L'homme avait le zombie sur son torse, il le retenait avec ces bras pour ne pas qu'il le dévore, David, à quelques mètres, regardait la scène d'un air amusé :
« Aller mon pote, vas y résiste, dit David en rigolant, »
L'homme, fatigué de cette bataille, n'avait plus de force dans les bras pour repousser le zombie qui commença à lui dévorer le bras.
« Oh t'as perdu, c'est dommage, t'avais l'air fort pourtant, mais bon ce p*tain de monde t'as vaincu mon pote. »
David s'approcha, sortit son colt, tira une balle dans la tête de zombie, s »'approcha ensuite du survivant mordu, mit son pied sur son torse et lui dit :
« Tu vois hermano, tu ne me connais pas, mais moi je te connais, et il faut dire tu m'as bien amusé. »
David se retourna vers ses hommes qui regardaient eux aussi la scène : « Vous aussi il vous as bien amusé hein ? »
« Ah oui patron, ça c'est du divertissement, répondirent les hommes. »
« Et j'aime bien ton t-shirt, tu crois que je peux te l'emprunter quand je t'aurais mis une balle ? réponds -moi p*tain !!! »
L'homme le regardait, il savait que David n'allait pas le sauver, il regretta d'avoir demander de l'aide à David et à son gang, il ne répondit pas, Ce qui énerva David qui lui mit un violent coup de pied dans le ventre.
Le chef de gang se baissa et ajouta :
« Tu as perdu, c'est la règle du jeu, t'est un p*tain de perdant mon pote !! Laisse moi juste te poser une question avant que je te mette une balle. On t'as déjà donner la définition du mot « Folie » ? Non ? Je vais te la donner, la « folie » c'est lorsque l'on commet les mêmes erreurs deux fois, rappelle toi d'il y a deux semaines, tu te souviens quand tu nous a volé nos armes hein ? Ces armes qui étaient en plein milieux de la rue, et oui je t'ai vu, mais maintenant, t'est là, par terre, comme une merde !! en train de souffrir, tu sais, ça me fait du mal de te voir comme ça, je te jure, ça me fait du mal de voir ton beau t-shirt traîner par terre, d'ailleurs, j’espère qu'il ait à ma taille, je me verrais bien avec. «
Il se retourna une nouvelle fois vers ses hommes et dit :
« Et vous les gars vous penser qu'il irait bien sur moi ? »
« Oui patron, il irait à merveille sur vous. »
« Tu vois, même mes hommes le disent, bon, il est temps de te donner ta récompense. »
David plaça son colt sur le front de l'homme, et il tira.
« Voilà ce que devienne les perdants, allez les gars, débarrassez moi du zombie et du type au beau t-shirt, et d'ailleurs donnez le moi, je vais aller l'essayer, »
Après cette scène, David prend le t-shirt et va l'essayer, mais pendant qu'il l'essaya, il entend plusieurs détonations qui font sauter les portes et fenêtres de la planque, il entend aussi des grognements de zombies au pas de la porte. Leur sécurité vient de céder et il se retrouve tous maintenant sans protection, avec tout les rôdeurs de la ville, attirer par le bruit de la détonation, qui arrive vers eux.
A suivre...
Juste pour répondre à Droran, concernant les changements de temps, les premiers chapitres de la FIC est écrit depuis de l'année, mais ne vous inquiétez, le texte va être au présent à partir du deuxième chapitre je crois.