Note de la fic :
Publié le 22/07/2014 à 01:06:11 par picsou_riche
Il était rouge, sa petite remarque était un peu mal placée s'il tentait de me draguer (comme si ce n'était pas évident). Il se rattrapa rapidement, en s'excusant de ça. Je lui répondis par un petit sourire.
Il n'y a pas à dire mon jeu d'acteur était parfait, je mériterais un Oscar ou un César, c'est sur.
Après avoir mangé, il fallait allez au prochain cours, de la philo, génial, j'avais tellement envie de philosopher sur Descartes et le doute méthodique « Je pense ; donc je suis ».
En fait le cours parlait plus de la mort, un sujet que j'ai à cœur tiens donc, entre Martin et ma situation actuelle.
La mort n'est rien, puisqu'elle ne nous concerne pas. En effet, quand nous sommes vivant alors nous ne sommes pas mort, donc la mort n'est pas notre sujet, et si nous sommes morts, alors nous n'avons plus de conscience, alors, la mort ne nous concerne plus. Donc pour l'Homme, la mort n'a guerre d'importance, elle ne nous concerne pas.
- Tu parles, devient mort-vivant, on en reparlera.
A la sortie du cours, où je n'étais malheureusement pas à côté de ma victime, je lui proposais de passer un peu de temps avec lui, puisque nous avions maintenant une heure de libre avant le prochain cours. Il accepta.
Nous passions un peu de temps ensemble sur un banc sous le préau, discutant de tous et de rien.
- Et sinon, je me demandais, me dit-il, je crois t'avoir déjà vu...
- Ah bon ? Répondis-je avec étonnement, un peu faux.
- Oui, tu me dis quelque chose. Tu sais il y a quelques jours, et ne me prends pas pour un fou s'il te plaît, j'ai croisé une fille dans la rue, mais elle était... affreuse... Comment dire, elle semblait morte quoi ! Et quand je suis passé à côté d'elle... Je me suis écroulé par terre, je m'étais réveillé à l'hôpital. Et y a peu, j'ai fais un cauchemars où la même fille était présente, mais encore plus hideuse, carrément squelettique, les orbites vides en sang, sans yeux quoi... Un truc horrible, et si réaliste.
- C'est tordu. T'es sur que ça va bien ?
- Voilà tu vas me prendre pour un débile... Pourquoi je t'ai dis ça...
- Non, je te crois, et je te prends au sérieux. Cette fille, dans mon quartier elle est connue et assez redoutée, ceux qui la croise, en général... Meurt quelques jours après. Affreusement, tu vois... Alors ça m'inquiète un peu... J'aimerais t'aider là.
Sauf que je vais t'aider à crever, cher Martin, ait peur de cette fille, ait peur de moi. Quel délice que de te voir trembler.
- Tu es sure de… ce que tu dis ? Questionnât-il avec peur qu'il avait du mal à dissimuler.
- Bien sur, je peux t'aider ? Sinon, elle va te trouver, te tuer...
- Merci Hope, j'aime bien ton prénom au fait.
- Oh, merci. Ca veut dire « espoir » en Anglais, dans le sens d'espérer, de souhaiter, tu vois ce que je veux dire ?
- Yes. Martin, c'est... Pas beau quoi.
Je confirme.
- Mais non, mais non. Tiens, on devrait allez devant la salle, ça va être l'heure.
Il vu l'heure et répondit que oui, alors nous partîmes pour allez devant la salle. C'était un cours d'Espagnol cette fois.
La journée passa normalement, et nous dûmes nous quitter pour la soirée. Or, je devais en finir au plus vite, alors je lui proposait de passer la nuit chez moi...
Sauf que mon chez moi n'est pas accueillant, alors je m'en voulue de ma bêtise. C'est à dire qu'entre deux cadavres découpés en morceaux de quelques voyageurs égarés, et le côté rustique de ma petite maison qui tombe en ruine...
Heureusement, il refusât, me disant qu'il n'osait pas, et que de toute façon ses parents n'auraient pas voulus qu'il aille chez quelqu'un d'autre.
- C'est surtout que t'as pas de capote là hein ! Et moi non plus.. Merde.
- Quoi ?! Dit-il ahurie.
- Je déconne, répondis-je en souriant. Je comprends, c'est pas grave.
- Putain... En plus c'est pas faux.
- Mais je peux venir chez toi alors !
- Euh... Ben si je demande à mes parents...
A ces mots il appel ses parents qui acceptent que je vienne. Tant mieux.
Et je n'aurais pas besoin de capote pour le tuer, oh non.
Il n'y a pas à dire mon jeu d'acteur était parfait, je mériterais un Oscar ou un César, c'est sur.
Après avoir mangé, il fallait allez au prochain cours, de la philo, génial, j'avais tellement envie de philosopher sur Descartes et le doute méthodique « Je pense ; donc je suis ».
En fait le cours parlait plus de la mort, un sujet que j'ai à cœur tiens donc, entre Martin et ma situation actuelle.
La mort n'est rien, puisqu'elle ne nous concerne pas. En effet, quand nous sommes vivant alors nous ne sommes pas mort, donc la mort n'est pas notre sujet, et si nous sommes morts, alors nous n'avons plus de conscience, alors, la mort ne nous concerne plus. Donc pour l'Homme, la mort n'a guerre d'importance, elle ne nous concerne pas.
- Tu parles, devient mort-vivant, on en reparlera.
A la sortie du cours, où je n'étais malheureusement pas à côté de ma victime, je lui proposais de passer un peu de temps avec lui, puisque nous avions maintenant une heure de libre avant le prochain cours. Il accepta.
Nous passions un peu de temps ensemble sur un banc sous le préau, discutant de tous et de rien.
- Et sinon, je me demandais, me dit-il, je crois t'avoir déjà vu...
- Ah bon ? Répondis-je avec étonnement, un peu faux.
- Oui, tu me dis quelque chose. Tu sais il y a quelques jours, et ne me prends pas pour un fou s'il te plaît, j'ai croisé une fille dans la rue, mais elle était... affreuse... Comment dire, elle semblait morte quoi ! Et quand je suis passé à côté d'elle... Je me suis écroulé par terre, je m'étais réveillé à l'hôpital. Et y a peu, j'ai fais un cauchemars où la même fille était présente, mais encore plus hideuse, carrément squelettique, les orbites vides en sang, sans yeux quoi... Un truc horrible, et si réaliste.
- C'est tordu. T'es sur que ça va bien ?
- Voilà tu vas me prendre pour un débile... Pourquoi je t'ai dis ça...
- Non, je te crois, et je te prends au sérieux. Cette fille, dans mon quartier elle est connue et assez redoutée, ceux qui la croise, en général... Meurt quelques jours après. Affreusement, tu vois... Alors ça m'inquiète un peu... J'aimerais t'aider là.
Sauf que je vais t'aider à crever, cher Martin, ait peur de cette fille, ait peur de moi. Quel délice que de te voir trembler.
- Tu es sure de… ce que tu dis ? Questionnât-il avec peur qu'il avait du mal à dissimuler.
- Bien sur, je peux t'aider ? Sinon, elle va te trouver, te tuer...
- Merci Hope, j'aime bien ton prénom au fait.
- Oh, merci. Ca veut dire « espoir » en Anglais, dans le sens d'espérer, de souhaiter, tu vois ce que je veux dire ?
- Yes. Martin, c'est... Pas beau quoi.
Je confirme.
- Mais non, mais non. Tiens, on devrait allez devant la salle, ça va être l'heure.
Il vu l'heure et répondit que oui, alors nous partîmes pour allez devant la salle. C'était un cours d'Espagnol cette fois.
La journée passa normalement, et nous dûmes nous quitter pour la soirée. Or, je devais en finir au plus vite, alors je lui proposait de passer la nuit chez moi...
Sauf que mon chez moi n'est pas accueillant, alors je m'en voulue de ma bêtise. C'est à dire qu'entre deux cadavres découpés en morceaux de quelques voyageurs égarés, et le côté rustique de ma petite maison qui tombe en ruine...
Heureusement, il refusât, me disant qu'il n'osait pas, et que de toute façon ses parents n'auraient pas voulus qu'il aille chez quelqu'un d'autre.
- C'est surtout que t'as pas de capote là hein ! Et moi non plus.. Merde.
- Quoi ?! Dit-il ahurie.
- Je déconne, répondis-je en souriant. Je comprends, c'est pas grave.
- Putain... En plus c'est pas faux.
- Mais je peux venir chez toi alors !
- Euh... Ben si je demande à mes parents...
A ces mots il appel ses parents qui acceptent que je vienne. Tant mieux.
Et je n'aurais pas besoin de capote pour le tuer, oh non.