Note de la fic :
Publié le 28/06/2014 à 00:08:16 par LePatriarche
Un héros se doit de faire la part des choses. Avant de s'engager dans une joute compliquée, vous décidez de soigner vos arrières, car oui, pour atteindre un adversaire puissant, on se sert généralement d'otages, votre famille et Morgane pourrait donc être un fardeau douloureux, ainsi, il vous faut les cacher.
La téléportation sera bien utile dans ce cas de figure, un gain de temps considérable. Il vous suffit donc de penser fort à un endroit ou à une personne pour vous téléporter à proximité. En un claquement de doigt, vous voilà chez vous. Waouh, près de 25 minutes de course éffrénée économisé en une fraction de seconde.
- Youhou ! C'est moi j'suis rentré ! Y'a quelqu'un ?!
Personne à l'horizon. Votre ouie est redevenu banal, impossible pour vous de distinguer les bruits au dehors, où se mêle les forces de police et les sbires des deux Ordres. Les pistolets, les mitraillettes et les grenades sont légions dans une ville transformé en champ de bataille, les habitants ont certainement dû être évacués pour des besoins de sécurité.
Soudain, une lettre attire votre attention, disposé sur la table basse du salon, il n'y a que quelques mots inscrits sur un bout de papier :"Grâce aux 10.000 balles d'Olivier, on a décidé sur le coup, moi et ta très cher mère, de rejoindre une petite destination touristique. En quelques minutes, nos bagages étaient faits, ayant hâte de quitter ce lieu ennuyeux, nous avons pressés le pas jusqu'à l'aéroport pour prendre le premier avion qui vient, nous même nous ne savons pas où nous allons haha. PS : On a pris Stéphane avec nous, t'es incapable de prendre soin d'un handicapé, etant toi-même handicapé Bise. Peace "
Ok, au moins ils sont en lieu sûr, vous ne savez pas où, mais ils sont en lieu sur, dans un avion à plusieurs dizaines de kilomètres du sol, au moins, vous êtes rassurés.
Ah y'a aussi un PS2 sur la lettre :" Ta soeur nous a envoyée un message bizarre, comme quoi elle partait aussi en "voyage" pour quelques temps afin de se changer les idées, donc c'est cool. La maison pour toi tout seul petit coquin, ramène pas des putes please ! ".
Toujours le mot pour rire, sacré bougre d'âne, un argent difficilement gagné par vos soins se retrouve facilement claqué par ses soins, mais son impatience et sa maladresse mettent la famille en sécurité, c'est ce qui compte.
Vous allez donc à l'hopital pour récupérer Morgane, la pauvre doit certainement vous attendre, connaissant son tempérament de feu, celle-ci a du refuser l'aide de la police ou des pompiers, car en lui donnant votre parole, cette dernière s'attend à quelque chose en retour, signe d'un caractère fidèle
En un claquement de doigt, vous voilà dans sa chambre d'hopital. Personne à l'horizon. Bizarre. Peut-être qu'on l'a forcé à s'en aller, sa déçeption a du être immense suite à votre absence, mais un bon resto' lui changera les idées... En fouillant un peu dans sa chambre, vous ne trouvez aucun indice, aucun message secret ou autre, même chez elle, le néant. Vous sniffez abondamment ces soutifs et ces petites culottes pour vous donner du courage, un grand guerrier a toujours besoin de l'affection et de l'odeur d'une femme
Après avoir rangé deux strings dans vos poches, vous marchez tranquillement dans les rues de la ville pour en savoir plus sur vos 3 cibles : Marco, Joe et Giovanni. Des tirs surviennent de partout, en bleu la police, en noir l'Ordre Noir et en rouge l'Ordre Rouge, au moins c'est pratique comme code couleur.
Une maison de retraite attire votre attention, vous aperçevez deux hommes, l'un d'entre eux n'est autre que le général MontGomery, un de vos alliés rencontrés précédemment, courant derrière un autre vieillard en fauteuil roulant
- C'est quoi cette course du Moyen Age ? ça s'amuse comme on peut dans ce climat apocalyptique à ce que j'vois.
- Dis lui d'arrêter Olivier, c'est mauvais pour son coeur, s'exprima essoufla le général. Fais pas le con Aulne Danlcu !
L'homme en fauteuil à l'air grand et corpulent, mais sur un fauteuil c'est nettement moins impressionant. 3 cheveux blancs sur le caillou, une bouche baveuse, le nez faisant face à une invasion de morve et un souffle agonisant caractérise cet homme fortement âgé, qui roule à n'en plus finir comme s'il venait de s'évader de son hospice.
Soudain, alors que des escaliers se présentaient à lui, le con s'est engouffré dedans, provoquant une chute hilarante Ce dernier convulse, au sol, vous le rejoignez pour lui proposer de l'aide, ce dernier vous aggripe par le poignet, et entreprend un monologue, la voix basse, la gorge enrouée et les lèvres s'agitant très légèrement sous l'impulsion de ces cordes vocales :
- J'avais 9 ans quand mon père est décédé d'un accident de parachute, puis 19 à mon mariage, puis 29 lors de l'obtention de mon job dans une morgue infecte qui puait le mort, puis 39 à ma castration, un de mes collègues s'est fait chopé pour une sale histoire, ils m'ont confondu avec un autre et j'ai du porter le chapeau. C'etait très douloureux. A partir de ce jour, je me suis promis d'enculer la société, comme je le pouvais. J'ai renoncé à toute tentative de copuler avec une minette, impossible pour moi d'avoir une relation. A 44 ans, ma femme s'est aperçu du pot-aux-roses et m'a jeté à la mer alors qu'on partait en vacances d'été. J'ai survécu plusieurs années dans un camp de base au sud du Massif Central. Mon ex femme a fortement regretté mon abandon et s'est suicidée quelques années plus tard. A 69 ans, j'ai intégré une maison de retraite, et de puis ce jour, je donne tout mon possible pour survivre le plus et engranger le maximum de cotisations, ces petits BOLOSS travaillent à n'en plus finir dans des conditions exécrables pour me permettre d'inhaler un peu plus d'oxygène, ma ligne est excellente depuis, les infirmières ne savent pas d'où me vient ce courage à survivre, vu qu'il n'y a plus rien pour me rattacher à la vie. Des vrais salopes ces infirmières tu ne trouves pas ? Même une p*te n'aurait pas voulu de moi ! Un vieux débris niqué par la société, voilà ce que j'étais, et pour mourir dignement, j'ai donné mon maximum... Pour rendre à la vie... Ce qu'elle m'a donné... Mais au final... Impossible de la lui mettre au fond... Aulne Danlcu rend...
- PUTAIN TA GUEULE !!
Asphyxié par ce discours sans queue ni tête, vous étranglez fermement l'homme pour abréger ces souffrances. Une bonne chose de faite, il ne lui restait certainement plus que quelques mots à sortir, mais vous connaissez grosso merdo le principal : Il a vécu pour rien, c'est triste à dire mais c'est comme ça.
De vos mains enflammées, vous organisez une incinération rapide au monsieur, histoire de faire les choses dans les règles de l'art.
- Pauvre homme, un casse couille dans l'âme.
- Il nous a quittés trop tôt, répliquez vous.
- Dixit l'homme qui l'a achevé ! Et puis bon, à 109 ans, il a largement eu le temps de faire sa vie. Et moi aussi je n'en ai plus pour très longtemps avorton
- Pourquoi ?
- J'ai refusé l'aide de ces abrutis de pompiers, vaut mieux laisser une place à un jeune, une femme, ou un homme dans la force de l'âge. Finalement, mon esprit humain et militaire aura repris le dessus, moi qui pensait détester la France...
- Comme quoi, avant de mourir, on fait des choses improbables
- C'est inhumain, juste parce que j'suis vieux je vais bientôt clamsé c'est ça hein...
- Non le prenez pas comme ça...
- MAIS JE DECONNE ! Bien sûr que j'vais crever, mais je m'en branle comme de l'an 40 si j'puis dire. Autant mourir de manière marrante tu ne crois pas ?
- Comment ça ?
- Achève moi, s'il te plait, avant que la mort ne s'en charge elle-même. Fini pour fini, autant que ce soit par un allié, dit-il en vous serrant la main, content de vous avoir connu, le regard plein d'émotion viril.
1) Le téléporter au dessus de la Tour Eiffel et le lâcher
2) Le téléporter en Sibérie pour une mort lente et cruelle
3) Lui faire un tarif ami après tout, il vous apprécie, alors le brûler vif très rapidement.
4) Le décapiter proprement et amicalement puis jetez son corps sans tête dans la bataille, c'est ce qu'il aurait voulu.
5) Le garder en vie et lui montrer vos talents cachés, enfin un VRAI supporter de vos conneries.
La téléportation sera bien utile dans ce cas de figure, un gain de temps considérable. Il vous suffit donc de penser fort à un endroit ou à une personne pour vous téléporter à proximité. En un claquement de doigt, vous voilà chez vous. Waouh, près de 25 minutes de course éffrénée économisé en une fraction de seconde.
- Youhou ! C'est moi j'suis rentré ! Y'a quelqu'un ?!
Personne à l'horizon. Votre ouie est redevenu banal, impossible pour vous de distinguer les bruits au dehors, où se mêle les forces de police et les sbires des deux Ordres. Les pistolets, les mitraillettes et les grenades sont légions dans une ville transformé en champ de bataille, les habitants ont certainement dû être évacués pour des besoins de sécurité.
Soudain, une lettre attire votre attention, disposé sur la table basse du salon, il n'y a que quelques mots inscrits sur un bout de papier :"Grâce aux 10.000 balles d'Olivier, on a décidé sur le coup, moi et ta très cher mère, de rejoindre une petite destination touristique. En quelques minutes, nos bagages étaient faits, ayant hâte de quitter ce lieu ennuyeux, nous avons pressés le pas jusqu'à l'aéroport pour prendre le premier avion qui vient, nous même nous ne savons pas où nous allons haha. PS : On a pris Stéphane avec nous, t'es incapable de prendre soin d'un handicapé, etant toi-même handicapé Bise. Peace "
Ok, au moins ils sont en lieu sûr, vous ne savez pas où, mais ils sont en lieu sur, dans un avion à plusieurs dizaines de kilomètres du sol, au moins, vous êtes rassurés.
Ah y'a aussi un PS2 sur la lettre :" Ta soeur nous a envoyée un message bizarre, comme quoi elle partait aussi en "voyage" pour quelques temps afin de se changer les idées, donc c'est cool. La maison pour toi tout seul petit coquin, ramène pas des putes please ! ".
Toujours le mot pour rire, sacré bougre d'âne, un argent difficilement gagné par vos soins se retrouve facilement claqué par ses soins, mais son impatience et sa maladresse mettent la famille en sécurité, c'est ce qui compte.
Vous allez donc à l'hopital pour récupérer Morgane, la pauvre doit certainement vous attendre, connaissant son tempérament de feu, celle-ci a du refuser l'aide de la police ou des pompiers, car en lui donnant votre parole, cette dernière s'attend à quelque chose en retour, signe d'un caractère fidèle
En un claquement de doigt, vous voilà dans sa chambre d'hopital. Personne à l'horizon. Bizarre. Peut-être qu'on l'a forcé à s'en aller, sa déçeption a du être immense suite à votre absence, mais un bon resto' lui changera les idées... En fouillant un peu dans sa chambre, vous ne trouvez aucun indice, aucun message secret ou autre, même chez elle, le néant. Vous sniffez abondamment ces soutifs et ces petites culottes pour vous donner du courage, un grand guerrier a toujours besoin de l'affection et de l'odeur d'une femme
Après avoir rangé deux strings dans vos poches, vous marchez tranquillement dans les rues de la ville pour en savoir plus sur vos 3 cibles : Marco, Joe et Giovanni. Des tirs surviennent de partout, en bleu la police, en noir l'Ordre Noir et en rouge l'Ordre Rouge, au moins c'est pratique comme code couleur.
Une maison de retraite attire votre attention, vous aperçevez deux hommes, l'un d'entre eux n'est autre que le général MontGomery, un de vos alliés rencontrés précédemment, courant derrière un autre vieillard en fauteuil roulant
- C'est quoi cette course du Moyen Age ? ça s'amuse comme on peut dans ce climat apocalyptique à ce que j'vois.
- Dis lui d'arrêter Olivier, c'est mauvais pour son coeur, s'exprima essoufla le général. Fais pas le con Aulne Danlcu !
L'homme en fauteuil à l'air grand et corpulent, mais sur un fauteuil c'est nettement moins impressionant. 3 cheveux blancs sur le caillou, une bouche baveuse, le nez faisant face à une invasion de morve et un souffle agonisant caractérise cet homme fortement âgé, qui roule à n'en plus finir comme s'il venait de s'évader de son hospice.
Soudain, alors que des escaliers se présentaient à lui, le con s'est engouffré dedans, provoquant une chute hilarante Ce dernier convulse, au sol, vous le rejoignez pour lui proposer de l'aide, ce dernier vous aggripe par le poignet, et entreprend un monologue, la voix basse, la gorge enrouée et les lèvres s'agitant très légèrement sous l'impulsion de ces cordes vocales :
- J'avais 9 ans quand mon père est décédé d'un accident de parachute, puis 19 à mon mariage, puis 29 lors de l'obtention de mon job dans une morgue infecte qui puait le mort, puis 39 à ma castration, un de mes collègues s'est fait chopé pour une sale histoire, ils m'ont confondu avec un autre et j'ai du porter le chapeau. C'etait très douloureux. A partir de ce jour, je me suis promis d'enculer la société, comme je le pouvais. J'ai renoncé à toute tentative de copuler avec une minette, impossible pour moi d'avoir une relation. A 44 ans, ma femme s'est aperçu du pot-aux-roses et m'a jeté à la mer alors qu'on partait en vacances d'été. J'ai survécu plusieurs années dans un camp de base au sud du Massif Central. Mon ex femme a fortement regretté mon abandon et s'est suicidée quelques années plus tard. A 69 ans, j'ai intégré une maison de retraite, et de puis ce jour, je donne tout mon possible pour survivre le plus et engranger le maximum de cotisations, ces petits BOLOSS travaillent à n'en plus finir dans des conditions exécrables pour me permettre d'inhaler un peu plus d'oxygène, ma ligne est excellente depuis, les infirmières ne savent pas d'où me vient ce courage à survivre, vu qu'il n'y a plus rien pour me rattacher à la vie. Des vrais salopes ces infirmières tu ne trouves pas ? Même une p*te n'aurait pas voulu de moi ! Un vieux débris niqué par la société, voilà ce que j'étais, et pour mourir dignement, j'ai donné mon maximum... Pour rendre à la vie... Ce qu'elle m'a donné... Mais au final... Impossible de la lui mettre au fond... Aulne Danlcu rend...
- PUTAIN TA GUEULE !!
Asphyxié par ce discours sans queue ni tête, vous étranglez fermement l'homme pour abréger ces souffrances. Une bonne chose de faite, il ne lui restait certainement plus que quelques mots à sortir, mais vous connaissez grosso merdo le principal : Il a vécu pour rien, c'est triste à dire mais c'est comme ça.
De vos mains enflammées, vous organisez une incinération rapide au monsieur, histoire de faire les choses dans les règles de l'art.
- Pauvre homme, un casse couille dans l'âme.
- Il nous a quittés trop tôt, répliquez vous.
- Dixit l'homme qui l'a achevé ! Et puis bon, à 109 ans, il a largement eu le temps de faire sa vie. Et moi aussi je n'en ai plus pour très longtemps avorton
- Pourquoi ?
- J'ai refusé l'aide de ces abrutis de pompiers, vaut mieux laisser une place à un jeune, une femme, ou un homme dans la force de l'âge. Finalement, mon esprit humain et militaire aura repris le dessus, moi qui pensait détester la France...
- Comme quoi, avant de mourir, on fait des choses improbables
- C'est inhumain, juste parce que j'suis vieux je vais bientôt clamsé c'est ça hein...
- Non le prenez pas comme ça...
- MAIS JE DECONNE ! Bien sûr que j'vais crever, mais je m'en branle comme de l'an 40 si j'puis dire. Autant mourir de manière marrante tu ne crois pas ?
- Comment ça ?
- Achève moi, s'il te plait, avant que la mort ne s'en charge elle-même. Fini pour fini, autant que ce soit par un allié, dit-il en vous serrant la main, content de vous avoir connu, le regard plein d'émotion viril.
1) Le téléporter au dessus de la Tour Eiffel et le lâcher
2) Le téléporter en Sibérie pour une mort lente et cruelle
3) Lui faire un tarif ami après tout, il vous apprécie, alors le brûler vif très rapidement.
4) Le décapiter proprement et amicalement puis jetez son corps sans tête dans la bataille, c'est ce qu'il aurait voulu.
5) Le garder en vie et lui montrer vos talents cachés, enfin un VRAI supporter de vos conneries.