Note de la fic :
Publié le 08/06/2014 à 00:19:38 par LePatriarche
La 4)
- Dernière chance pour toi Arnold, tu t'agenouilles devant moi et j'oublie cet affront.
- Les gars, frappez le dans les couilles, ce sera super efficace ! On attaque CHAAAAARGE !!
C'est pas possible, il est atteint mentalement à ce niveau là. Mais bon, il l'aura cherchez, d'un coup de pied flingueur, vous propulsez son premier acolyte à plusieurs mètres, le deuxième tente de vous enchainer avec le baton, mais vous le lui arrachez des mains tout en lui tordant le poignet d'une part...
- Argghhhhhhhh !!!!
... Et lui infligeant des gifles avec. La douleur doit certainement être inimaginable pour ce freluquet, et vous les tabassez à même le sol, sous le regard craintif d'Arnold.
- Regard tes amis se faire matraquer par un baton à terre !
- Espèce de lache... Dit-il d'une voix douce et assez inaudible pour ce donner un semblant de crédit auprès de ces fidèles.
Mais même si ces deux serviteurs dénichés tout juste dans les chiottes 5 minutes plus tot ne sont pas fautifs, vous montrez l'exemple, et puis, ils n'avaient qu'à pas s'attaquer à vous, il est donc logique de remettre les choses dans leurs contextes, et de renvoyer les grosses merdes dans les chiottes. A l'aide de vos deux mains, vous transportez ce binome de faiblards dans les chiottes, puis vous revenez à la cour, devant Arnold, un genou à terre devant vous, la peur s'est totalement emparé de lui, c'est bien.
- Qu'est-ce que tu comptes faire de moi ? S'il te plait, laisse mes gars tranquille, faut t'en prendre à moi
- Donc j'peux te tabasser à la mort, du moment que je touche pas aux deux autres débilos ?
-... Enfin, non... Mais oui...
- Ah ok t'as perdu tes couilles ! Si tentez que tu en avais, mais bref.
- ECLATE MOI LA TRONCHE ET BOTTE MOI LE CUL SI TU VEUX, MAIS TOUCHE PAS A MES DEUX GARS !!
Un groupe de gars passent juste derrière, et entendent cette phrases au sous entendu hautement malsain... Oui, ils ont du comprendre que votre "becher" allait s'engouffrer dans son "erlenmeyer", pour la faire de manière assez poli.
Assez courageux, vous passez outre ces précédentes confrontations, votre main saisit sa nuque comme un papa qui inculque le respect à son moucheron, puis vous vous dirigez tous les deux vers la salle de cours, où Patricia est assise en attendant l'arrivée du professeur.
- Salut Pat', alors comment ça boom ?
- Comme un lundi
- Ok la répartie de merde bonjour, et sinon... Attend mais j'rêve pas ? T'es belle aujourd'hui !
Cette phrase est tout bonnement exceptionnelle, c'est à la fois un compliment de trouver son look distinguée, mais une insulte, tout en considérant que ces précédents styles lui allaient comme une merde et faisait d'elle une pimbèche de premier ordre. Intérieurement, vous bandez sur cette répartie au combien judicieuse.
- Alors tu veux quoi ? Dit-elle las de vos commentaires.
- Pour m'excuser de mes conneries, je te ramène un serviteur, il bosse pour moi, et il fera tout ce que tu lui dira, promis.
- Comment il s'appelle ?
- Arnold, mais appelle le Félix, Snorky, Centrifugeuse ou Masturbin, au choix...
- Hum... Va pour Masturbin
La fille prend son pied à martyriser le pauvre gamin. Bizarrement, son visage reflète une immense tristesse et une immense peur, mais dans ces yeux se révèle une étincelle, une lueur d'espoir, une excitation grandissante à la vue des beaux cheveux blonds ondulants de Patricia, une fille au regard si charmant et à la tenue courte mais exaltant ces formes au plus haut point. ( Poétique non ? )
- Je serais... Content d'être là pour toi... Dit-il timide en baissant les yeux comme la victime qu'il est.
Votre victime préférée serait-elle en proie à l'amour ?
1) Faire chanter Patricia pour qu'elle se mette en couple avec son serviteur, ça lui apprendra à s'habiller de manière vulgaire.
2) Obliger Arnold à se soumettre complètement envers sa maitresse, ça lui apprendra à ce pauvre fou.
3) Se poser et attendre monsieur Rectum, grand fan "d'anatomie" et réputé pour ces nombreuses digressions sexuelles.
- Dernière chance pour toi Arnold, tu t'agenouilles devant moi et j'oublie cet affront.
- Les gars, frappez le dans les couilles, ce sera super efficace ! On attaque CHAAAAARGE !!
C'est pas possible, il est atteint mentalement à ce niveau là. Mais bon, il l'aura cherchez, d'un coup de pied flingueur, vous propulsez son premier acolyte à plusieurs mètres, le deuxième tente de vous enchainer avec le baton, mais vous le lui arrachez des mains tout en lui tordant le poignet d'une part...
- Argghhhhhhhh !!!!
... Et lui infligeant des gifles avec. La douleur doit certainement être inimaginable pour ce freluquet, et vous les tabassez à même le sol, sous le regard craintif d'Arnold.
- Regard tes amis se faire matraquer par un baton à terre !
- Espèce de lache... Dit-il d'une voix douce et assez inaudible pour ce donner un semblant de crédit auprès de ces fidèles.
Mais même si ces deux serviteurs dénichés tout juste dans les chiottes 5 minutes plus tot ne sont pas fautifs, vous montrez l'exemple, et puis, ils n'avaient qu'à pas s'attaquer à vous, il est donc logique de remettre les choses dans leurs contextes, et de renvoyer les grosses merdes dans les chiottes. A l'aide de vos deux mains, vous transportez ce binome de faiblards dans les chiottes, puis vous revenez à la cour, devant Arnold, un genou à terre devant vous, la peur s'est totalement emparé de lui, c'est bien.
- Qu'est-ce que tu comptes faire de moi ? S'il te plait, laisse mes gars tranquille, faut t'en prendre à moi
- Donc j'peux te tabasser à la mort, du moment que je touche pas aux deux autres débilos ?
-... Enfin, non... Mais oui...
- Ah ok t'as perdu tes couilles ! Si tentez que tu en avais, mais bref.
- ECLATE MOI LA TRONCHE ET BOTTE MOI LE CUL SI TU VEUX, MAIS TOUCHE PAS A MES DEUX GARS !!
Un groupe de gars passent juste derrière, et entendent cette phrases au sous entendu hautement malsain... Oui, ils ont du comprendre que votre "becher" allait s'engouffrer dans son "erlenmeyer", pour la faire de manière assez poli.
Assez courageux, vous passez outre ces précédentes confrontations, votre main saisit sa nuque comme un papa qui inculque le respect à son moucheron, puis vous vous dirigez tous les deux vers la salle de cours, où Patricia est assise en attendant l'arrivée du professeur.
- Salut Pat', alors comment ça boom ?
- Comme un lundi
- Ok la répartie de merde bonjour, et sinon... Attend mais j'rêve pas ? T'es belle aujourd'hui !
Cette phrase est tout bonnement exceptionnelle, c'est à la fois un compliment de trouver son look distinguée, mais une insulte, tout en considérant que ces précédents styles lui allaient comme une merde et faisait d'elle une pimbèche de premier ordre. Intérieurement, vous bandez sur cette répartie au combien judicieuse.
- Alors tu veux quoi ? Dit-elle las de vos commentaires.
- Pour m'excuser de mes conneries, je te ramène un serviteur, il bosse pour moi, et il fera tout ce que tu lui dira, promis.
- Comment il s'appelle ?
- Arnold, mais appelle le Félix, Snorky, Centrifugeuse ou Masturbin, au choix...
- Hum... Va pour Masturbin
La fille prend son pied à martyriser le pauvre gamin. Bizarrement, son visage reflète une immense tristesse et une immense peur, mais dans ces yeux se révèle une étincelle, une lueur d'espoir, une excitation grandissante à la vue des beaux cheveux blonds ondulants de Patricia, une fille au regard si charmant et à la tenue courte mais exaltant ces formes au plus haut point. ( Poétique non ? )
- Je serais... Content d'être là pour toi... Dit-il timide en baissant les yeux comme la victime qu'il est.
Votre victime préférée serait-elle en proie à l'amour ?
1) Faire chanter Patricia pour qu'elle se mette en couple avec son serviteur, ça lui apprendra à s'habiller de manière vulgaire.
2) Obliger Arnold à se soumettre complètement envers sa maitresse, ça lui apprendra à ce pauvre fou.
3) Se poser et attendre monsieur Rectum, grand fan "d'anatomie" et réputé pour ces nombreuses digressions sexuelles.