Note de la fic :
Publié le 26/05/2014 à 22:46:55 par LePatriarche
La 3)
Une fois à la casa de la familia, votre frère vous adresse des paroles pleines de bénédictions, il vous aime fort ce petit, malgré sa terrible maladie, c'est vraiment quelqu'un d'une grandeur d'ame énorme. Contrastant relativement avec le colossal fils de pute que vous êtes, comment vos parents ont-ils pu créer deux personnes si différentes pensez-vous, mais osef, dites vous pour vous rassurer.
Ainsi, vous repensez à ce meurtre assez désordonnée : Votre soeur était présente, a vu le psychopathe et pourra certainement donné des infos à la police, vous avez laissé plusieurs traces et empreintes sur le corps avec des baisers, mais la police, c'est une bande d'incompétent vous rassurez vous encore
Vous allez donc dans l'allée, baisser votre braguette, pour soulager un besoin plus que vital sur la bagnole du voisin, monsieur Gontrand, un vieux d'une soixantaine d'année qui adore faire chier son petit monde pour se sentir exister, à la différence de vous, qui tuez ce petit monde.
- Oh petit merdeux !!! D'où tu montres ton appareil génital en public sur MA propriété ?! S'écrie farouchement l'homme qui dégustait un verre de thé sur sa terrasse, qui voit tout de la scène.
- Tendez moi votre tasse vieux débris !
Sur ces mots, vous précipitez votre "robinet" sur la tasse de thé du voisin, s'en suit dès lors une course poursuite entre le vieil homme apeuré criant " Doux Jésus, ce gamin est le diable" et vous, un gamin inconscient la teub à l'air qui court derrière un vieux, la scène est tordante.
- Ca c'est pour Hector ! Mon chat que t'as écrasé y'a deux semaines, vieux débris ! J'espère que tu vas claquer seul chez toi d'une violente crise cardiaque, tellement violente que ta mère va se ressussciter et re-creuver devant toi ! Dites vous dans un élan de rage et de stupeur.
Monsieur Gontrand rentre chez lui l'air furibond, et ressort avec un... Un... Un fusil
- Alors petit bâtard, je vais t'apprendre les bonnes manières moi ! Dit-il sournoisement en chargeant le fusil avec des balles de plomb.
1) S'excuser platement pour ensuite prendre le fusil au monsieur.
2) Simuler une crise cardiaque et faire le mort.
3) Crier à l'aide comme une victime.
Une fois à la casa de la familia, votre frère vous adresse des paroles pleines de bénédictions, il vous aime fort ce petit, malgré sa terrible maladie, c'est vraiment quelqu'un d'une grandeur d'ame énorme. Contrastant relativement avec le colossal fils de pute que vous êtes, comment vos parents ont-ils pu créer deux personnes si différentes pensez-vous, mais osef, dites vous pour vous rassurer.
Ainsi, vous repensez à ce meurtre assez désordonnée : Votre soeur était présente, a vu le psychopathe et pourra certainement donné des infos à la police, vous avez laissé plusieurs traces et empreintes sur le corps avec des baisers, mais la police, c'est une bande d'incompétent vous rassurez vous encore
Vous allez donc dans l'allée, baisser votre braguette, pour soulager un besoin plus que vital sur la bagnole du voisin, monsieur Gontrand, un vieux d'une soixantaine d'année qui adore faire chier son petit monde pour se sentir exister, à la différence de vous, qui tuez ce petit monde.
- Oh petit merdeux !!! D'où tu montres ton appareil génital en public sur MA propriété ?! S'écrie farouchement l'homme qui dégustait un verre de thé sur sa terrasse, qui voit tout de la scène.
- Tendez moi votre tasse vieux débris !
Sur ces mots, vous précipitez votre "robinet" sur la tasse de thé du voisin, s'en suit dès lors une course poursuite entre le vieil homme apeuré criant " Doux Jésus, ce gamin est le diable" et vous, un gamin inconscient la teub à l'air qui court derrière un vieux, la scène est tordante.
- Ca c'est pour Hector ! Mon chat que t'as écrasé y'a deux semaines, vieux débris ! J'espère que tu vas claquer seul chez toi d'une violente crise cardiaque, tellement violente que ta mère va se ressussciter et re-creuver devant toi ! Dites vous dans un élan de rage et de stupeur.
Monsieur Gontrand rentre chez lui l'air furibond, et ressort avec un... Un... Un fusil
- Alors petit bâtard, je vais t'apprendre les bonnes manières moi ! Dit-il sournoisement en chargeant le fusil avec des balles de plomb.
1) S'excuser platement pour ensuite prendre le fusil au monsieur.
2) Simuler une crise cardiaque et faire le mort.
3) Crier à l'aide comme une victime.