Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 9 : Les forestiers
Publié le 22/09/2013 à 20:45:32 par Camion2LaGalayr
J'entendis derrière moi la voix d'un homme: "N'essaye même pas de prendre ton épée" Je n'avais même pas l'intention de le faire et j'était trop apeuré pour le faire. Mon regard se dirigea vers mes compagnons, ils étaient tous menacés par un homme derrière eux de la même façon que moi.
Je sentis l'homme qui était derrière moi faire un signe avec son autre main et un cinquième homme sortit de la forêt à notre gauche, il était habillé de vêtements en cuir, je le savais car comme mon père était archéologue, il m'avait dit qu'au Moyen-Age, c'était l'armure du pauvre. Il avait également un fourreau avec un épée courte à l'intérieur, et un pantalon noir plutôt léger. Il n'était pas rasé et ses vêtements dans l'ensemble étaient sales. L'homme s'approcha de nos affaires et fouilla dans nos sacs.
"Qu'est-ce que vous voulez de nous ? s’insurgea Maxime
_Calme toi morveux, entre collègues ont se doit de partager les résultats de nos chasses, dit ironiquement l'homme qui me menaçait.
_Comment ça collègues ? On est juste des réfugiés de guerre qui se sont écrasés par avion près de la plage là-bas, dit Marie.
_Alors comme ça vous êtes nouveaux, vous avez vraiment eu de la chance de rester en vie jusqu'à présent, dit l'agresseur de Marie en ricanant.
_C'est vrai que seul des débutants n'aurais pas assuré leurs arrières pendant leurs repas, s'esclaffa un autre.
_Ne vous inquiétez pas les enfants, on va juste servir un peu dans vos équipements puis ont s'en va bien gentiment, dit l'homme derrière moi.
_On a besoin de notre équipement pour survivre ici ! Autant mourir tout de suite, cria Maxime
_Chef ! Il ont de la bouffe, un peu d'eau, deux arcs, des objets à la con et des médicaments ! dit l'homme qui fouillait nos affaires
_Prend les médicaments, ils ont rien que l'on a déjà, dit l'homme qui me menaçais et qui apparemment est le chef.
_Ok, on vous laisse les médicaments mais vous pouvez nous expliquer où on a atterrit ? demandais-je.
_T'es dans le trou du cul de la terre ici, si tu fait pas gaffe tu te fait bouffer par les draugr ou tu te prend une putain de flèche des sacs d'os, dit leur chef.
_Vous savez où l'on pourrais trouver des gens pour nous aider à rentrer chez nous ? demanda Marie.
_La façon la plus rapide de partir d'ici c'est de crever, personne n'as jamais réussi à se barrer d'ici, dit l'agresseur de Marie.
_Il y aurais pas un endroit où l'on pourrais trouver de l'eau et de la nourriture ? et il n'y aurais pas une ville ou un village ? demanda Maxime.
_Six kilomètre à l'est il y a une rivière, le village le plus proche s'est Labona qui se trouve à 16 kilomètre au nord-est, répondis le chef.
_Maintenant vous pouvez..... retirer votre lame s'il vous plait, demandais-je poliment.
_T'as pris tout les médicaments ? demanda le chef
_Je les prends pas tous, il y en a pas mal, dit l'homme"
Après avoir pris nos médicaments les chasseurs sont partis dans la forêt aussi vite qu'ils sont venus. Alice totalement terrifié éclata en sanglots, Marie accourra pour la consolée, Maxime quant à lui laissa éclater sa rage, nous avions perdu une grande partie de nos médicaments mais je réalisais que ça aurait pu être bien pire.
"Putain !! Quel bande d'enfoirés ! hurla Maxime
_Hey, surveille ton langage, il y a la petite là, réprimanda Marie.
_Ecoute Maxime, ça aurais pu être pire alors calme toi et puis maintenant nous savons où trouver de l'eau et un village, lui répondis-je.
_Ils nous ont volés quasiment tout nos médicament ces ...
_Oui on a compris, interrompu Marie."
Après que Maxime se soit calmé, nous avons repris notre route cette fois vers l'est. Il nous a fallu moins d'une heure pour trouver la rivière dont les chasseurs nous ont parlés, là-bas nous avons pu refaire le plein d'eau et en nous avons profiter pour faire une pause. Cette fois nous avions retenus la leçon et Maxime se désigna pour monter la garde.
L'eau de la rivière était claire, je ne pensais pas qu'à notre époque ce genre de rivières existaient encore. Marie s'était accroupie près de l'eau pour remplir la gourde, Alice s'était assise sur un rocher, je me suis approché d'elle pour lui parler:
"Ca va Alice, t'es pas trop fatiguée de la marche ?
_Non, j'ai eu le temps de me reposé, je suis prête à repartir.
_T'inquiète pas, on va encore rester un petit moment ici mais fait attention de pas tombé de ton rocher.
_Oui, je surveille comme Maxime.
_Ok mais fait attention."
Après que Marie est fini de remplir les réserves d'eau et que nous nous soyons reposés un peu nous somme donc partit au nord-ouest vers un village du nom de Labona.
Je sentis l'homme qui était derrière moi faire un signe avec son autre main et un cinquième homme sortit de la forêt à notre gauche, il était habillé de vêtements en cuir, je le savais car comme mon père était archéologue, il m'avait dit qu'au Moyen-Age, c'était l'armure du pauvre. Il avait également un fourreau avec un épée courte à l'intérieur, et un pantalon noir plutôt léger. Il n'était pas rasé et ses vêtements dans l'ensemble étaient sales. L'homme s'approcha de nos affaires et fouilla dans nos sacs.
"Qu'est-ce que vous voulez de nous ? s’insurgea Maxime
_Calme toi morveux, entre collègues ont se doit de partager les résultats de nos chasses, dit ironiquement l'homme qui me menaçait.
_Comment ça collègues ? On est juste des réfugiés de guerre qui se sont écrasés par avion près de la plage là-bas, dit Marie.
_Alors comme ça vous êtes nouveaux, vous avez vraiment eu de la chance de rester en vie jusqu'à présent, dit l'agresseur de Marie en ricanant.
_C'est vrai que seul des débutants n'aurais pas assuré leurs arrières pendant leurs repas, s'esclaffa un autre.
_Ne vous inquiétez pas les enfants, on va juste servir un peu dans vos équipements puis ont s'en va bien gentiment, dit l'homme derrière moi.
_On a besoin de notre équipement pour survivre ici ! Autant mourir tout de suite, cria Maxime
_Chef ! Il ont de la bouffe, un peu d'eau, deux arcs, des objets à la con et des médicaments ! dit l'homme qui fouillait nos affaires
_Prend les médicaments, ils ont rien que l'on a déjà, dit l'homme qui me menaçais et qui apparemment est le chef.
_Ok, on vous laisse les médicaments mais vous pouvez nous expliquer où on a atterrit ? demandais-je.
_T'es dans le trou du cul de la terre ici, si tu fait pas gaffe tu te fait bouffer par les draugr ou tu te prend une putain de flèche des sacs d'os, dit leur chef.
_Vous savez où l'on pourrais trouver des gens pour nous aider à rentrer chez nous ? demanda Marie.
_La façon la plus rapide de partir d'ici c'est de crever, personne n'as jamais réussi à se barrer d'ici, dit l'agresseur de Marie.
_Il y aurais pas un endroit où l'on pourrais trouver de l'eau et de la nourriture ? et il n'y aurais pas une ville ou un village ? demanda Maxime.
_Six kilomètre à l'est il y a une rivière, le village le plus proche s'est Labona qui se trouve à 16 kilomètre au nord-est, répondis le chef.
_Maintenant vous pouvez..... retirer votre lame s'il vous plait, demandais-je poliment.
_T'as pris tout les médicaments ? demanda le chef
_Je les prends pas tous, il y en a pas mal, dit l'homme"
Après avoir pris nos médicaments les chasseurs sont partis dans la forêt aussi vite qu'ils sont venus. Alice totalement terrifié éclata en sanglots, Marie accourra pour la consolée, Maxime quant à lui laissa éclater sa rage, nous avions perdu une grande partie de nos médicaments mais je réalisais que ça aurait pu être bien pire.
"Putain !! Quel bande d'enfoirés ! hurla Maxime
_Hey, surveille ton langage, il y a la petite là, réprimanda Marie.
_Ecoute Maxime, ça aurais pu être pire alors calme toi et puis maintenant nous savons où trouver de l'eau et un village, lui répondis-je.
_Ils nous ont volés quasiment tout nos médicament ces ...
_Oui on a compris, interrompu Marie."
Après que Maxime se soit calmé, nous avons repris notre route cette fois vers l'est. Il nous a fallu moins d'une heure pour trouver la rivière dont les chasseurs nous ont parlés, là-bas nous avons pu refaire le plein d'eau et en nous avons profiter pour faire une pause. Cette fois nous avions retenus la leçon et Maxime se désigna pour monter la garde.
L'eau de la rivière était claire, je ne pensais pas qu'à notre époque ce genre de rivières existaient encore. Marie s'était accroupie près de l'eau pour remplir la gourde, Alice s'était assise sur un rocher, je me suis approché d'elle pour lui parler:
"Ca va Alice, t'es pas trop fatiguée de la marche ?
_Non, j'ai eu le temps de me reposé, je suis prête à repartir.
_T'inquiète pas, on va encore rester un petit moment ici mais fait attention de pas tombé de ton rocher.
_Oui, je surveille comme Maxime.
_Ok mais fait attention."
Après que Marie est fini de remplir les réserves d'eau et que nous nous soyons reposés un peu nous somme donc partit au nord-ouest vers un village du nom de Labona.