Note de la fic : Non notée
L'oubli de la fin
Par : Atzerkins
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Alias Silent Hill 2
Publié le 26/05/2014 à 02:29:31 par Atzerkins
L'oubli de la fin, ou comment j'ai bâclé mon essai
C'était en ce jour que je décidai d'en finir une bonne fois pour toute avec ce cauchemar. Ma femme était morte trois ans auparavant, ce qui ne m'empêcha pas de recevoir une lettre de sa part, avec son écriture qui la rendait unique. Je pris fort longtemps à réfléchir et ma décision ne fût sans doute pas celle que j'aurais du choisir. Je me regardais dans le miroir de ces toilettes depuis un petit moment maintenant, mais l'image de cet homme blond et faible, habillé entièrement en vert, avec une barbe d'une semaine, me faisait penser à celle d'un assassin. Je repris mes esprits et me releva finalement pour laisser mes yeux admirer une salle remplie de rouilles et d'autres saletés de la même espèce. Finalement je sortis de ces cabines lugubres, mais le chaos qui régnait à l'extérieur était tout aussi répugnant. Devant moi se trouvait un énorme tunnel bloqué par une grille ainsi qu'un panneau sur lequel était inscrit " Bienvenue ", la suite illisible devait être le nom de la ville. Je rejoignis ma voiture, la seule qui soit encore en état et non à moitié détériorée, afin de récupérer la lettre de ma chère femme. Je m'avançai finalement vers la porte à côté de la grille, sans doute le seul chemin.
De l'autre côté de la porte, ce n'est pas l'état de ce couloir qui me choquait le plus mais l'obscurité presque totale. Je ne savais même pas ce qu'étaient toutes ces taches d'un rouge profond, ou parfois d'un vert de moisi, que je distinguais à peine, même muni d'une lampe de poche. J'avançais dans le plus profond des silences, jusqu'à enfin finir par atteindre une nouvelle porte. Cette fois-ci, je me retrouvais en pleine forêt d'arbres abattus et cachés par la brume, et mon trajet fût accompagné du bruit d'une tronçonneuse en marche, bien qu'il me sembla ne plus l'entendre à partir d'un moment. J'atteignis finalement un cimetière, ce qui me parût tout de même étrange, mais j'étais trop joyeux d'apercevoir quelqu'un pour me soucier de ces détails. Je m'approchai de la personne et j'attendis à côté de celle-ci qu'elle finisse sa prière devant une tombe, je lui adressai finalement la parole :
" Bonjour, mademoiselle. Bonjour, mademoiselle, répétais-je après un long silence.
- Oh, bonjour ... Vous voulez savoir comment accéder à la ville, je suppose ?
- C'est en quelque sorte ça, mais qu'est-il arrivé ici ?
- Prenez le chemin près de l'église, dit-elle en pointant derrière elle, vous atteindrez sûrement la ville. Je ne vous recommande pas d'y aller. "
Elle s'en alla en courant sans même me laisser le temps de la remercier. Je n'avais toujours pas d'explications sur la situation actuelle, mais je pris le chemin indiqué sans même m'en soucier, je voulais seulement revoir ma femme.
C'était fait, j'avais atteint la ville, mais désormais à la place du chemin de retour se trouvait un profond fossé, comme si la route avait été déchirée. Je comprenais ce que voulait dire cette femme maintenant, aucun retour n'était possible. Il me sembla apercevoir l'ombre d'une silhouette au travers de la brume, et quand je me mis à sa suite, je trouvais du sang en grande quantité au lieu de ses empreintes. J'atteignis finalement un magasin dont la façade avait été remplacée par des barricades, parmi lesquelles je dus me frayer un passage jusqu'à l'intérieur. De l'intérieur émanait des grésillements de radio, et je n'eus pas de mal à trouver la fameuse machine, qui ne prit pas une grande place dans ma poche, mais malgré toutes mes tentatives celle-ci continuait de grésiller. Alors je me rendis compte que j'avais oublié la silhouette et me retournant brusquement et attrapant au passage une barre de fer, je me trouvai face à un cadavre qui tenait debout. Il m'envoya à la figure un liquide noir et étrange que j'eus tout juste le temps d'esquiver. Alors qu'il se préparait à renvoyer un de ses crachats, je le frappai avec toute ma force. La silhouette tomba à terre et je l'écrasai de mon pied, quant à la radio, les grésillements s'arrêtèrent, c'était peut-être cette chose qui les provoquait.
Toujours muni de ma barre, de fer ou d'un quelconque autre métal, je parcourais la ville accompagné par des grésillements à tout bout du champ, comme si la ville était remplie par ces choses. Mon attention se porta sur un bâtiment qui semblait être un hôtel, d'après les indications à l'extérieur, qui étaient en suffisamment bonne était pour que je puisse les lire. Je frappai ce qui me sembla être un grillage d'un coup de pied afin de le faire s'effondrer et pouvoir accéder à la porte, que j'ouvris. Le hall d'entrée était suffisamment vaste pour que ma lampe n'en atteigne pas les murs, ce qui me fit prendre un temps fou avant de trouver quoique ce soit et encore je ne découvris qu'un comptoir fermé, du moins je sentais sous ma main que des grillages en obstruaient l'accès. Dans un endroit comme celui-ci il aurait été tout à fait logique de chercher à découvrir ce que cachait ce comptoir et ainsi donc je me préparais à le faire. Je ne pris même pas la peine d'être discret, la radio faisait suffisamment de bruit pour que je sois découvert par quelqu'un à cent mètres. Malheureusement le grillage ne cédait pas, alors je pris la peine de l'examiner avec ma lampe, et je vis un siège face à une télévision, comme si quelqu'un penserait à la regarder dans une situation pareille. Je traversai le couloir pour trouver une porte, et je la pris.
J'avais fini par atteindre le second étage de ce bâtiment, finalement petit contrairement à l'impression que donnait le hall. C'était un environnement presque identique à celui du couloir que j'avais dû traverser afin d'accéder à la ville. J'avais également découvert des créatures identiques à celle que j'avais affrontée et qui subirent le même sort. Ce n'était pas de simples monstres qui allaient détruire ma détermination, mais ma volonté qui allait les écraser. Je parcourais le dernier couloir non visité de tout l'immeuble, du moins d'après le plan que j'avais écrit moi-même. Ce n'était pas à ça que je m'attendais, j'étais préparé à affronter des infamies maintenant, mais pas à faire face à une petite fille, dans cette ville. Le couloir était obstrué par des barreaux et alors que je hurlais pour espérer me faire remarquer par la fillette, celle-ci disparût dans les ténèbres. Je m'effrondrai sur le sol, le désespoir finissait par m'atteindre. La radio ne grésillait même plus, et bientôt ce fût un silence total, alors que quelques temps avant j'entendais les cris de l'enfant qui avait l'air de s'amuser.
Ce furent d'atroces grésillements qui me réveillèrent, je n'étais pas pressé, peu importait le temps que j'avais perdu en étant évanoui. Je ne me rappelai le lieu où j'étais qu'une fois que je me pris des barreaux et que je fus renvoyé à terre. Lorsque je me relevai, j'allumai ma lampe pour voir s'il n'y avait pas un quelconque moyen de fracasser cet obstacle, mais ce que je vis en relevant la tête ne me donnait plus vraiment envie d'aller de l'autre côté : un homme d'une haute stature, habillé d'un simple tablier, blanc mais tacheté de partout et déchiré jusqu'aux hanches, et d'un casque hexagonale sur sa tête. La face avant était par contre bien allongée et pendait mal gré son dos en arrière. Impossible de dire si cet homme était encore une de ces créatures ou un être humain fou, mais le fait est que la radio me déconseiller de m'en approcher. J'étais raide comme un mort, pétrifiée par une peur que je n'avais jamais ressentie, ce démon semblait m'en vouloir, mais pourquoi ? Je courus dans le sens opposé et je redescendis aussi vite que possible au hall. Cette fois-ci c'était une télévision qui grésillait, et je vis assis sur le fauteuil mon propre cadavre. Et ma lampe éclairait suffisamment pour que je puisse distinguer que la porte avait disparue, comme les fenêtres.
J'étais retourné à l'étage, mais cette fois-ci il n'y avait plus de boucher, mais le monde semblait être encore plus alterné qu'il ne l'avait été. Et je trouvais cette fois-ci un escalier me menant au toit. C'est là que je vis ma femme, et alors que je courais vers elle pour la sauver, je vis l'homme derrière elle qui l'attrapa et lui troua le ventre à l'aide d'une énorme lame émettant un son atroce au contact du sol. C'est à ce moment-là que quelque chose me revint en mémoire et que je compris enfin ce qui se produisait ici. Alors son tueur se suicida de lui-même en sautant et je pus revenir vivant jusqu'à la sortie de la ville sans aucun problème, et je recroisais la gamine qui semblait heureuse et ne m'apercevait apparemment pas. Elle était innocente après tout, contrairement à moi, et il me sembla apercevoir d'autres personnes, comme si j'étais enfin purifié et que la ville m'acceptait. Mais cela ne m'intéressait pas, j'étais venu pour autre chose. J'atteignis finalement ma voiture et je m'arrêtai devant le coffre, puis je cherchai la lettre : elle n'était plus là, car je savais où était ma femme. Je m'assurai que le coffre était fermé, et je m'assis dans la voiture, pour aller dans la direction d'un lac désormais visible : l'endroit où je la rejoindrais dans la mort, où je serais purifié du crime que j'avais commis. Je me rappelai ma femme encore vivante, avant qu'elle ne devienne folle et que je ne veuille achever ma souffrance. Elle m'aurait sans doute pardonné, si elle était encore vivante ...
C'était en ce jour que je décidai d'en finir une bonne fois pour toute avec ce cauchemar. Ma femme était morte trois ans auparavant, ce qui ne m'empêcha pas de recevoir une lettre de sa part, avec son écriture qui la rendait unique. Je pris fort longtemps à réfléchir et ma décision ne fût sans doute pas celle que j'aurais du choisir. Je me regardais dans le miroir de ces toilettes depuis un petit moment maintenant, mais l'image de cet homme blond et faible, habillé entièrement en vert, avec une barbe d'une semaine, me faisait penser à celle d'un assassin. Je repris mes esprits et me releva finalement pour laisser mes yeux admirer une salle remplie de rouilles et d'autres saletés de la même espèce. Finalement je sortis de ces cabines lugubres, mais le chaos qui régnait à l'extérieur était tout aussi répugnant. Devant moi se trouvait un énorme tunnel bloqué par une grille ainsi qu'un panneau sur lequel était inscrit " Bienvenue ", la suite illisible devait être le nom de la ville. Je rejoignis ma voiture, la seule qui soit encore en état et non à moitié détériorée, afin de récupérer la lettre de ma chère femme. Je m'avançai finalement vers la porte à côté de la grille, sans doute le seul chemin.
De l'autre côté de la porte, ce n'est pas l'état de ce couloir qui me choquait le plus mais l'obscurité presque totale. Je ne savais même pas ce qu'étaient toutes ces taches d'un rouge profond, ou parfois d'un vert de moisi, que je distinguais à peine, même muni d'une lampe de poche. J'avançais dans le plus profond des silences, jusqu'à enfin finir par atteindre une nouvelle porte. Cette fois-ci, je me retrouvais en pleine forêt d'arbres abattus et cachés par la brume, et mon trajet fût accompagné du bruit d'une tronçonneuse en marche, bien qu'il me sembla ne plus l'entendre à partir d'un moment. J'atteignis finalement un cimetière, ce qui me parût tout de même étrange, mais j'étais trop joyeux d'apercevoir quelqu'un pour me soucier de ces détails. Je m'approchai de la personne et j'attendis à côté de celle-ci qu'elle finisse sa prière devant une tombe, je lui adressai finalement la parole :
" Bonjour, mademoiselle. Bonjour, mademoiselle, répétais-je après un long silence.
- Oh, bonjour ... Vous voulez savoir comment accéder à la ville, je suppose ?
- C'est en quelque sorte ça, mais qu'est-il arrivé ici ?
- Prenez le chemin près de l'église, dit-elle en pointant derrière elle, vous atteindrez sûrement la ville. Je ne vous recommande pas d'y aller. "
Elle s'en alla en courant sans même me laisser le temps de la remercier. Je n'avais toujours pas d'explications sur la situation actuelle, mais je pris le chemin indiqué sans même m'en soucier, je voulais seulement revoir ma femme.
C'était fait, j'avais atteint la ville, mais désormais à la place du chemin de retour se trouvait un profond fossé, comme si la route avait été déchirée. Je comprenais ce que voulait dire cette femme maintenant, aucun retour n'était possible. Il me sembla apercevoir l'ombre d'une silhouette au travers de la brume, et quand je me mis à sa suite, je trouvais du sang en grande quantité au lieu de ses empreintes. J'atteignis finalement un magasin dont la façade avait été remplacée par des barricades, parmi lesquelles je dus me frayer un passage jusqu'à l'intérieur. De l'intérieur émanait des grésillements de radio, et je n'eus pas de mal à trouver la fameuse machine, qui ne prit pas une grande place dans ma poche, mais malgré toutes mes tentatives celle-ci continuait de grésiller. Alors je me rendis compte que j'avais oublié la silhouette et me retournant brusquement et attrapant au passage une barre de fer, je me trouvai face à un cadavre qui tenait debout. Il m'envoya à la figure un liquide noir et étrange que j'eus tout juste le temps d'esquiver. Alors qu'il se préparait à renvoyer un de ses crachats, je le frappai avec toute ma force. La silhouette tomba à terre et je l'écrasai de mon pied, quant à la radio, les grésillements s'arrêtèrent, c'était peut-être cette chose qui les provoquait.
Toujours muni de ma barre, de fer ou d'un quelconque autre métal, je parcourais la ville accompagné par des grésillements à tout bout du champ, comme si la ville était remplie par ces choses. Mon attention se porta sur un bâtiment qui semblait être un hôtel, d'après les indications à l'extérieur, qui étaient en suffisamment bonne était pour que je puisse les lire. Je frappai ce qui me sembla être un grillage d'un coup de pied afin de le faire s'effondrer et pouvoir accéder à la porte, que j'ouvris. Le hall d'entrée était suffisamment vaste pour que ma lampe n'en atteigne pas les murs, ce qui me fit prendre un temps fou avant de trouver quoique ce soit et encore je ne découvris qu'un comptoir fermé, du moins je sentais sous ma main que des grillages en obstruaient l'accès. Dans un endroit comme celui-ci il aurait été tout à fait logique de chercher à découvrir ce que cachait ce comptoir et ainsi donc je me préparais à le faire. Je ne pris même pas la peine d'être discret, la radio faisait suffisamment de bruit pour que je sois découvert par quelqu'un à cent mètres. Malheureusement le grillage ne cédait pas, alors je pris la peine de l'examiner avec ma lampe, et je vis un siège face à une télévision, comme si quelqu'un penserait à la regarder dans une situation pareille. Je traversai le couloir pour trouver une porte, et je la pris.
J'avais fini par atteindre le second étage de ce bâtiment, finalement petit contrairement à l'impression que donnait le hall. C'était un environnement presque identique à celui du couloir que j'avais dû traverser afin d'accéder à la ville. J'avais également découvert des créatures identiques à celle que j'avais affrontée et qui subirent le même sort. Ce n'était pas de simples monstres qui allaient détruire ma détermination, mais ma volonté qui allait les écraser. Je parcourais le dernier couloir non visité de tout l'immeuble, du moins d'après le plan que j'avais écrit moi-même. Ce n'était pas à ça que je m'attendais, j'étais préparé à affronter des infamies maintenant, mais pas à faire face à une petite fille, dans cette ville. Le couloir était obstrué par des barreaux et alors que je hurlais pour espérer me faire remarquer par la fillette, celle-ci disparût dans les ténèbres. Je m'effrondrai sur le sol, le désespoir finissait par m'atteindre. La radio ne grésillait même plus, et bientôt ce fût un silence total, alors que quelques temps avant j'entendais les cris de l'enfant qui avait l'air de s'amuser.
Ce furent d'atroces grésillements qui me réveillèrent, je n'étais pas pressé, peu importait le temps que j'avais perdu en étant évanoui. Je ne me rappelai le lieu où j'étais qu'une fois que je me pris des barreaux et que je fus renvoyé à terre. Lorsque je me relevai, j'allumai ma lampe pour voir s'il n'y avait pas un quelconque moyen de fracasser cet obstacle, mais ce que je vis en relevant la tête ne me donnait plus vraiment envie d'aller de l'autre côté : un homme d'une haute stature, habillé d'un simple tablier, blanc mais tacheté de partout et déchiré jusqu'aux hanches, et d'un casque hexagonale sur sa tête. La face avant était par contre bien allongée et pendait mal gré son dos en arrière. Impossible de dire si cet homme était encore une de ces créatures ou un être humain fou, mais le fait est que la radio me déconseiller de m'en approcher. J'étais raide comme un mort, pétrifiée par une peur que je n'avais jamais ressentie, ce démon semblait m'en vouloir, mais pourquoi ? Je courus dans le sens opposé et je redescendis aussi vite que possible au hall. Cette fois-ci c'était une télévision qui grésillait, et je vis assis sur le fauteuil mon propre cadavre. Et ma lampe éclairait suffisamment pour que je puisse distinguer que la porte avait disparue, comme les fenêtres.
J'étais retourné à l'étage, mais cette fois-ci il n'y avait plus de boucher, mais le monde semblait être encore plus alterné qu'il ne l'avait été. Et je trouvais cette fois-ci un escalier me menant au toit. C'est là que je vis ma femme, et alors que je courais vers elle pour la sauver, je vis l'homme derrière elle qui l'attrapa et lui troua le ventre à l'aide d'une énorme lame émettant un son atroce au contact du sol. C'est à ce moment-là que quelque chose me revint en mémoire et que je compris enfin ce qui se produisait ici. Alors son tueur se suicida de lui-même en sautant et je pus revenir vivant jusqu'à la sortie de la ville sans aucun problème, et je recroisais la gamine qui semblait heureuse et ne m'apercevait apparemment pas. Elle était innocente après tout, contrairement à moi, et il me sembla apercevoir d'autres personnes, comme si j'étais enfin purifié et que la ville m'acceptait. Mais cela ne m'intéressait pas, j'étais venu pour autre chose. J'atteignis finalement ma voiture et je m'arrêtai devant le coffre, puis je cherchai la lettre : elle n'était plus là, car je savais où était ma femme. Je m'assurai que le coffre était fermé, et je m'assis dans la voiture, pour aller dans la direction d'un lac désormais visible : l'endroit où je la rejoindrais dans la mort, où je serais purifié du crime que j'avais commis. Je me rappelai ma femme encore vivante, avant qu'elle ne devienne folle et que je ne veuille achever ma souffrance. Elle m'aurait sans doute pardonné, si elle était encore vivante ...